Les moustiques à la rescousse des humains
Le moustique transmetteur du paludisme, communément appelé malaria, pourrait servir dans la recherche pour combattre la maladie.
Selon une étude publiée dans le magazine Science, des chercheurs de l’Institut national de la santé et de la recherche médicale ont découvert que la modification d’un seul gène, le TEP1, affecte la résistance du moustique à l’infection.
L’étude a porté sur le moustique Anopheles gambiae, le principal transmetteur de la malaria en Afrique. On a analysé sa résistance au parasite et on a découvert que son gène TEP1 était différent de celui des autres espèces.
Cela pourrait donc mener à des programmes plus efficaces pour enrayer cette affection qui touche 250 millions de personnes par année et fait un million de morts, surtout en Afrique.