LNH : Mike Hoffman disponible

Dans les Coulisses
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Chez les Panthers, ça ne va pas bien du tout, mais alors, pas du tout. Outre la diminution des amateurs qui se présentent peu nombreux à l’amphithéâtre, cette équipe n’a pas d’étoffe. Tellement, que des rumeurs plaçaient Jonathan Huberdeau sur le marché, pour ensuite mettre Mike Hoffman sur la bubble également. Pourtant, ils sont électrisants ces deux-là, malgré la fiche moribonde des Panthers (iii). Plus rien ne va, tout tourne carré.

C’est simple, Dale Tallon semble avoir ouvert les valves et il est assis dans son bureau à écouter ses homologues d’ici le 25 février. D’ailleurs, il a dansé dernièrement avec son homologue des Penguins de Pittsburgh dans le but d’acquérir les services de Derick Brassard et Riley Sheahan… qui sont déjà installés parmi le rang des joueurs disponibles, tout comme Troy Brouwer et James Reimer. Bref, Brassard et Sheahan sont fraîchement arrivés et pourraient déjà se retrouver ailleurs dans la Ligue nationale.

Après cette saison-ci, Hoffman aura toujours une année à son accord qui lui rapporte en moyenne 5,187,500$. Hoffman offre des performances très séduisantes avec une récolte de 45 points, dont 25 buts, en 55 rencontres. Un buteur, ça vaut de l’or. Par contre, un buteur avec une attitude à revoir, ça vaut moins cher qu’un buteur avec de l’attitude. En plus, il a une clause à son contrat : il peut remettre une liste de dix formations pour lesquelles il accepterait de jouer.

Au prix juste, il pourrait quitter le soleil de Sunrise pour évoluer au sein d’une équipe aspirante, à condition que celle-ci contienne un leadership puissant, pouvant gérer monsieur Hoffman.

Le Canadien a ça, non? Tallon et Bergevin sont de grands chums, non? OK, j’arrête de tergiverser et on connaît tous le plan de Marc Bergevin.

En rafale

– Voici l’impact d’un Shea Weber au sein d’une formation.

– Une autre preuve du leadership qui règne entre les joueurs du Canadien de Montréal.

– On dirait que Michael Chaput fait la baboune.

– P.K. Subban demeure tout un séducteur.

– Scott Gordon en veut à Evgeni Malkin.