En guise d’hommage au célèbre agent britannique et pour souligner l’impact qu’il a eu sur la culture populaire des 50 dernières années, l’exposition a choisi les scènes d’ouverture des films présentées comme « des exercices de cinéma uniques et novateurs », explique le conservateur de l’exposition, Elvis Mitchell. De quoi « nous immerger dans la sensibilité de 007, dans sa réalisation aussi audacieuse que son personnage principal ».
On doit les premiers génériques à Maurice Binder, qui en a créé 14, de même que la désormais culte image de Bond à travers le canon du révolver ou encore les silhouettes des James Bond girls.
Robert Brownjohn a pour sa part créé ceux de Bons baisers de Russie et de Goldfinger. Daniel Kleinman produisant, lui, celui de GoldenEye en 1995.
Le visiteur peut par ailleurs écouter au casque les nombreuses versions du thème du film et les différentes bandes originales. En juillet et en septembre, deux films de la franchise seront présentés tous les jeudis au LACMA.
Enfin, dans le cadre de cet anniversaire, la célèbre Aston Martin DB5 de 007 est exposée au National Motor Museum britannique à Brockenhurst, ainsi que bon nombre d’autres véhicules de la franchise.
Les gadgets et les costumes de créateurs spécialement conçus pour l’agent seront quant à eux présentés au Barbican de Londres, du 6 juillet au 5 septembre.