Louis Morissette aborde sa «poursuite contre quelqu’un»

Véro, puis tout le monde était comme complètement traumatisé de comment c’était désagréable et stressant.
Louis Morissette était récemment de passage au balado Party Pyjama, animé par le duo pétillant Marina Bastarache et Maxime Gibeault. Comme le veut le principe du podcast, il s’est prêté à une série de jeux aussi drôles qu’imprévisibles, dans une ambiance détendue et amicale remplie de rires et de complicité. Louis s’est laissé aller à quelques confidences savoureuses et anecdotes croustillantes.
Louis serait-il un bon avocat?
Durant l’épisode, l’animatrice s’est adressée à Louis pour lui poser la question suivante: «Penses-tu que tu ferais un bon avocat?»

Le producteur n’a pas hésité bien longtemps avant d’affirmer qu’il pense que oui.
«À ce qui paraît, tu ne lâches jamais ton point», affirme Marina.
«Je pense que oui. Je pense que oui. Je pense que je pourrais», réaffirme Morissette.
«Moi, je me dis: Iiiih, je ne suis pas sûre que ça me tente de m’astiner avec lui (rires)», poursuit l’animatrice, amusée, sachant pertinemment à qui elle parle.

«À ce qui paraît, tu ne lâches jamais ton cr*sse de point», réitère à son tour Maxime.
Louis Morissette évoque sa «poursuite»
«Je pense que j’ai raison (…) je peux… je peux… je pourrais être détestable. Puis présentement, au moment où on se parle, je suis… je suis dans une poursuite contre quelqu’un, donc on a eu toutes les… les interrogatoires avec l’avocat de l’autre côté, puis euh… c’est… Je suis passé, puis du monde de l’équipe ici, puis Véro, puis tout le monde était comme complètement traumatisé de comment c’était désagréable et stressant. Moi, j’ai adoré ça», témoigne Louis Morissette, un large sourire aux lèvres.

«J’ai adoré ça, là. Ah, c’était une joute… c’était une joute psychologique et oratoire qui me… qui me stimulait», ajoute-t-il.

«Est-ce que tu arrivais à te restreindre si ton avocat te disait: Ok, parle pas, laisse-moi parler pour telle affaire. T’arrivais-tu à rester en arrière et à le laisser en avant», questionne Marina, visiblement intriguée.
«Ah, c’est arrivé une fois ou deux qu’il m’a juste mis la main sur le comme: Chut, chut, chut (…) réponds pas à celle-là, je vais y aller (…) Mais j’aime… j’aime… j’aime ça, c’est un travail que j’aurais fait», se remémore Louis.

Visiblement, Louis Morissette ne recule devant rien et fait face aux procédures judiciaires avec confiance.