Marc Bergevin : Son coloc en avait pour son argent quand il ramenait une fille à la maison

Connaissez-vous Mick Vukota? On parle d’un ancien joueur du Canadien (22 matchs en 1997-1998), du Lightning et des Islanders de New York. C’est là qu’il a passé la majorité de ses 573 matchs dans la LNH.

Quand il était à New York, il avait un condo en début de carrière. Et à un certain point, il s’est retrouvé sans coloc.

À ce moment-là, Marc Bergevin est débarqué chez les Islanders. C’est là que Vukota lui a proposé de déménager chez lui, dans sa chambre vide, et Bergevin a alors accepté.

Une belle amitié s’est créée entre les deux hommes, mais Bergevin a quand même songé à quitter le condo de son ami. Pourquoi? Parce que, comme Vukota l’a raconté au podcast Spittin’ Chiclets, Bergevin ne s’entendait pas bien avec la blonde de son coloc.

 

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Ce qu’il faut savoir, c’est que le natif de l’Ouest canadien était avec sa blonde depuis peu et il l’avait invité à habiter chez lui parce qu’il était seul. Il ne semblait pas en amour par-dessus la tête.

Bergevin lui a dit que les deux gars avaient une belle relation, mais que la fille devait partir. Et ce qui devait arriver arriva.

Le lendemain, en revenant d’une pratique, je lui ai booké [à sa blonde] un vol d’avion. Je ne l’ai jamais revue. – Mick Vukota

Bergevin et son coloc s’entendaient bien et encore aujourd’hui, Vukota affirme qu’il a une excellente relation avec Bergevin. Il ne s’est visiblement pas senti forcé de faire quoi que ce soit.

Ils avaient clairement du plaisir ensemble.

Bergevin était quant à lui plus du type à ne pas s’accrocher à une seule femme. Toujours dans le même podcast, Vukota raconte que Bergevin ramenait toujours à la maison les plus belles femmes de la ville.

Rappel : quand on dit les plus belles filles de la ville, il faut rappeler qu’ils ne jouaient pas à Buffalo non plus.

Tout ça pour dire qu’en fin de soirée, Vukota était souvent dans le salon à regarder les nouvelles du sport. Et chaque fois que le Québécois avait de la visite, Bergevin s’assurait de ne pas oublier son bon ami.

Comment?

Vukota raconte que la fille en question sortait toujours de la chambre de Bergevin, faisait le tour de l’appartement avant de retourner dans la chambre pour la suite des choses.

Et le lendemain matin, Bergy disait ceci :

As-tu apprécié le victory lap? – Bergevin à Vukota

Clairement, on savait que Bergevin aimait avoir du plaisir comme joueur. Il était notamment reconnu comme un sacré farceur quand il était joueur… contrairement à ses deux dernières années comme DG du Canadien.

Mais là, on le sait encore plus.

En rafale

– Les parallèles sont frappants.

– Ça devait être quelque chose.

– Les mentalités changent.

– Quand même.

– Ce n’est pas courtois.