MasterChef Québec: «Je ne me sens pas bien»

Crédit: Capture TVA+

Ce mardi, on reprend là où on avait laissé: à la toute fin du défi des trois éléments. Il ne reste que cinq petites minutes aux candidats pour dresser leur assiette, dans une ambiance électrique où chaque seconde compte.

«C’est pour ça que je suis venu à MasterChef», lance Louis à la fin du défi, où il a été face au monstre sous son lit: cuisiner de la pieuvre.

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Vint enfin le moment de présenter leurs plats aux juges, catégorie par catégorie.

La première à être goûtée: l’élément de l’air!

Anne-Catherine est la première à se lancer dans la catégorie air. Elle présente son aiguillette de canard, accompagnée d’une purée manquant de liquide et d’un plat qui, selon les juges, peine à trouver son identité.

De son côté, Corine propose des dumplings servis avec un bouillon savoureux. Un plat apprécié, mais dont la farce soulève quelques problèmes. Martin et Stefano notent également qu’il s’agit de la deuxième fois qu’elle mise sur les dumplings depuis le début de la compétition.

C’est ensuite au tour de Jean-Sébastien de présenter ses cappelletti. Une belle présentation à l’assiette, mais en bouche, c’est la déception: le plat manque cruellement de saveur et se révèle plutôt fade. 

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«Je ne me sens pas bien», commente Jean-Sébastien.

Vient le tour de Lydiane, qui redoutait ce moment de présentation. Contre toute attente, sa sauce «surprise» séduit les juges: un plat très réussi. Après délibération, c’est finalement Lydiane qui décroche l’immunité!

Place aux plats de l’élément terre

C’est Valérie qui ouvre le bal en présentant un Wagyu accompagné d’une mayonnaise au wasabi et d’une sauce à l’orange. La cuisson est jugée fantastique, et si la présentation se distingue par son originalité, les juges s’entendent pour dire qu’il y a beaucoup de talent dans son assiette.

Vient ensuite le tour de Nancy, qui propose un Wagyu accompagné d’une crème de patate douce et de champignons poêlés. Si le goût y est, la présentation laisse à désirer et elle n’ose pas assez dans ses choix.

Raphaël poursuit la catégorie avec son plat, mais les juges estiment que son exécution manquait d’audace. Selon eux, son assiette était trop «safe» et ils l’invitent à lâcher la retenue pour réellement briller.

Frederick conclut la catégorie avec une assiette à la présentation impeccable, la plus réussie depuis le début du défi. Sa pièce de viande est jugée la meilleure de toutes, mais sa sauce laisse un arrière-goût indésirable qui persiste en bouche.

C’est finalement Valérie qui remporte l’immunité, grâce à son assiette audacieuse et parfaitement exécutée.

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Au tour des plats de la mer

Alexandre ouvre la marche avec sa pieuvre piri piri. Un plat visuellement superbe, à la cuisson maîtrisée. Sa sauce déstabilise un peu les juges, mais demeure intéressante et bien exécutée.

Samuel enchaîne avec une pieuvre yakitori au saké. Bien joué, car son assiette est jugée fantastique: épicée, goûteuse, avec une complexité remarquable et une harmonie éclatante.

Hugo présente ensuite une pieuvre grillée accompagnée d’une sauce romesco. Les saveurs séduisent les juges, au point que Stefano déclare vouloir sa recette. Verdict: un plat extraordinaire.

Enfin, Louis conclut la catégorie avec une proposition révolutionnaire. Les juges apprécient l’originalité, mais se contredisent sur l’acidité de son plat. Un plat prodigieux et extraordinaire.

Une catégorie marquée par quatre véritables succès, qui mène à l’une des délibérations les plus difficiles de la compétition.

Après une délibération serrée, c’est finalement Samuel qui décroche l’immunité grâce à son plat audacieux et parfaitement maîtrisé.

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La dernière immunité

Finalement, c’est Hugo qui décroche la dernière immunité, grâce à une assiette qui a su séduire les juges.

Les autres candidats devront s’affronter dimanche dans une lutte féroce pour sauver leur place et éviter l’élimination.