Notre Bruuuuuuno nationale, de son vrai nom, Michel Charette, décroche le rôle principal dans la toute dernière série de Fabienne Larouche et Michel Trudeau d’Aetios Productions, en collaboration avec Québecor Contenu, Le domaine du possible. Cette production ramènera l’acteur à la comédie et nous comptons les dodos avant la diffusion, l’hiver prochain.
La prémisse est centrée sur la quête du personnage qu’incarnera Charette, celle du bonheur. Le comédien jouera le rôle d’un enseignant de français au secondaire, complèèèètement au bout du rouleau, qui décidera de tout laisser derrière et de faire l’acquisition d’une fermette à la campagne. Oui, oui, Michel Charette dans une fermette, à la campagne! Ça promet, non? L’objectif du protagoniste sera d’y mener une vie de rêve, de finalement acquérir le bonheur et la paix. Et pour se faire, il amènera avec lui sa famille! Cependant, la réalité prendra le dessus de l’idéal imaginé par le protagoniste et ce dernier aura des surprises…
Les textes sont signés par François Avard, lui qui est derrière, entre autres, Les Bougons, c’est aussi ça la vie. Le domaine du possible est d’ailleurs la première comédie que l’auteur signe depuis cette série culte qui aura certainement marqué l’univers télévisuel québécois.
« Retrouver François après l’extraordinaire aventure des Bougons est un plaisir pour Michel et moi. Le talent de Michel Charette dans son premier rôle-titre dans une comédie permettra aux téléspectateurs d’observer la quête du bonheur sous un autre jour, puisque l’écriture de François n’a pas fini de nous faire rire… jaune! Merci à TVA et à Québecor Contenu pour leur confiance en ce projet audacieux », partage la productrice Fabienne Larouche par voie de communiqué.
Rappelons que nous avons connu les talents humoristiques du comédien Michel Charette dans Radio Enfer, autre série culte, celle-ci provenant des années 1990. Le retrouver dans une tout autre comédie, en tête d’affiche, écrite par celui qui est derrière Les Bougons, que demander de plus?
Un spinoff sur la vie de Jean-Lou Duval, peut-être? On jase, là!