Sa docteure le met en garde: Le party est fini pour Brathwaite

Crédit: Capture ICI ARTV

C’est un piton d’alarme.

C’est lors du plus récent épisode de Pour emporter, mené à main de maître par France Beaudoin, que Normand Brathwaite était l’invité principal.

L’homme aux multiples talents, qui évolue dans le milieu culturel depuis de nombreuses années, s’est ouvert sur plusieurs aspects de sa vie: sa vie privée, sa carrière, son rapport à l’argent, mais aussi… son état de santé.

Rappelons par ailleurs qu’à la demande de France Beaudoin, il a aussi raconté sa demande en mariage à Marie-Claude Tétreault, pour le moins particulière, et plutôt étrange.

Découvrez, ci-dessous, un extrait de ses confidences sur le sujet. ⬇

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«J’étais avec ma blonde depuis 10 jours. Puis, tu sais, j’étais comme le tout croche en ville, là. (…) À un moment donné, je vois une photo; ils avaient découpé Marie, qui est à côté de je ne sais pas quel animateur. Puis, ils ont collé ça sur le corps de Johanne. Mais Marie avait comme une tête trop grosse, tu sais, ça ne marchait pas. Là, j’ai dit: Regarde Marie, moi, là, j’aimerais ça que le monde le sache. Ça fait qu’on a fait une session photo dans Le Lundi. Puis, on revient de voyage, je lève Le Lundi, puis, je vois: La femme qui essaie de lui faire oublier Johanne. Puis, à un moment donné, je lui ai dit: Là, je suis tout croche, mais je pense que je vais être un bon gars pour toi. Et j’ai fait ce qui est d’épouvantable, je le sais, tout le monde me l’a dit. J’ai appelé Le Clan Panneton. Ils sont venus… elle mangeait son déjeuner le matin (…) Ils ont tout ramassé la maison, ils font tout… de chez Marie et ils l’ont amenée chez nous (…) elle n’était pas au courant», confie Normand.

Normand Brathwaite aborde une santé plus fragile

C’est un peu plus tard dans l’émission qu’il en est venu à parler de sa santé… qui a été très inquiétante à un certain moment.

Des confidences faites lorsque l’animatrice a évoqué le mini AVC qu’il a subi, et qu’elle a voulu savoir comment il avait vécu ça.

«C’est un piton d’alarme. Ma médecin française, je suis allé la voir et elle m’a dit: Là, là the party is over (…) Puis «The party», ce n’est pas juste prendre un verre, c’est de faire un tel show, puis après ça, prendre un taxi et aller faire un autre show, puis dire oui à tout le monde», avouait avec vulnérabilité Normand.

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C’est par la suite que France a voulu savoir s’il aurait été du genre à rester facilement accro aux substances.

«Ah oui, j’aurais pu. J’ai un côté: il faut que je me récompense quand je travaille fort, puis tout ça. Il n’y a rien de plus le fun, après Belle et Bum, que d’aller à l’Express avec le band. Ce bout-là, il faut que tu le vives, parce que tu es de même (…) Tu ne peux pas dormir…», répondait-il, voulant visiblement expliquer qu’après un moment d’adrénaline, une gâterie avec l’équipe est de mise.

Un véritable moment de vulnérabilité pour Normand, à Pour emporter, qui rappelle à quel point il est essentiel de s’écouter, ou plutôt d’écouter son corps, et d’accepter, parfois, de lever le pied sur certaines choses qu’on aime afin d’aller mieux.

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