Le fugitif Julian Assange reçoit depuis quelque temps des visites de la part de Pamela Anderson, comme on le rapportait. L’actrice et activiste de maintenant 49 ans apporte attentions et conseils au fondateur de WikiLeaks, considéré par certains comme un héros et par d’autres comme un traitre.
Enfermé dans l’ambassade de l’Équateur à Londres, Julian Assange peut certainement compter sur un appui de taille en la personne de la vocale Pamela Anderson. Celle-ci, tout comme Assange, ne confirme (ou infirme) cependant pas les rumeurs de liaison qui circulent.
« Je ressens une proximité avec Julian. J’ai eu plus de conversations stimulantes avec cet homme que tous mes ex-maris et amoureux combinés. Nos intentions n’étaient pas d’être romantiques, mais de joindre nos forces. Les rumeurs sont flatteuses. Je pense que j’ai ce qu’il faut pour être une première dame efficace. Si je devais choisir un leader du monde pour me tenir à ses côtés, ce serait Julian Assange », lance Pamela Anderson sans préciser de quel pays exactement elle voit Assange devenir un leader, lui qui demeure un citoyen australien.
Anderson ne manque d’ailleurs pas de sermonner le gouvernement australien, qui n’est jamais venu en aide à l’un de ses ressortissants.
« L’Australie a échoué à exercer sa protection diplomatique sur Julian, lui refusant l’assistance la plus basique », croit notamment Pamela Anderson.
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