Peur et anxiété: Lou-Pascal Tremblay avait refusé ce projet
J’ai fait tellement d’anxiété.
HollywoodPQ a évidemment profité de l’occasion pour s’entretenir avec les vedettes de l’événement, dont Lou-Pascal Tremblay, qui participe à cette nouvelle émission maintenant disponible sur Prime.
Entre plus grande peur et anxiété
Il nous a confié s’être lancé dans cette aventure avec un certain recul, mais surtout avec beaucoup de crainte.
«Moi, j’ai attaqué ce projet-là avec tellement de peur. Quand on m’a appelé pour me l’offrir, j’ai refusé. J’ai regardé après ça mon téléphone, puis ça a duré 30 secondes. Puis là, j’ai rappelé (…) Je l’ai vu comme une belle opportunité de me mettre en danger, quelque chose que je ne fais pas souvent. Puis ça n’arrive pas souvent aussi que la vie t’offre des projets qui te permettent de montrer une autre facette de toi», nous confie-t-il.
«(…) Je suis quelqu’un qui pense beaucoup à ce que les gens vont penser en général, qui ne se laisse pas beaucoup aller. Puis là, ça, c’était tout l’inverse. Fait que j’allais affronter toutes mes peurs, non seulement le fait que je ne chante vraiment pas bien dans la vie, et que ma peur première, c’est de faire du karaoké», poursuit le comédien.
«Vraiment, si tu m’avais demandé, ma plus grande peur, c’est de faire ça (…) jusqu’à ce que je commence à tourner, j’ai fait tellement d’anxiété», avoue Lou-Pascal, ajoutant s’être demandé pourquoi il avait accepté et s’être dit que ça n’avait «pas d’*sti de bon sens».
Finalement, lorsque le tournage a débuté, il s’est placé dans un tout autre état d’esprit, se rappelant qu’il était là avant tout pour avoir du plaisir. Il ne voulait surtout pas que les gens sentent qu’il était pris dans sa tête et souhaitait plutôt être entièrement présent au moment:
«Puis c’est ça que je pense qui en est ressorti, puis je suis vraiment agréablement surpris de tout ça.»
L’épreuve du visionnement
Étant donné que ce projet avait été pour lui une importante source d’angoisse, nous lui avons demandé comment il avait accueilli le visionnement.
«Je suis content que ce soit derrière. Je ne sais pas, même, si j’aurais la folie encore aujourd’hui de me dire: Ok, go, je le refais, je me rembarque là-dedans. Je l’ai fait, c’est fermé derrière moi, c’est accompli dans ma tête», affirme-t-il.
«Mais là, je suis content de le découvrir, puis c’est de bon goût, c’est drôle. Il y a des moments aussi culturels (…) On reçoit des entités, des *sti de monuments québécois, donc il y a des moments que c’est touchant (…) Il y a vraiment des beaux moments qui valent la peine d’être vus», soutient Lou-Pascal.
Un projet qui a finalement dépassé ses craintes:
«C’est ludique, c’est le fun, mais il y a quand même une dimension vraiment intéressante. Je suis content de faire partie de ça.»
Travailler avec Stéphane Rousseau
Mais comment était-ce de l’avoir comme animateur:
«Il est sans faute là, Steph, il a toujours une répartie. Il a été bon parce que tout le long des tournages de STAT, j’essayais d’aller soutirer de l’information dans sa loge.»
«Des fois, je le voyais répéter ses textes, j’essayais de voir c’est quoi les tounes qu’il allait être, mais il n’a jamais voulu rien me dire, donc il a été très bon pour garder tout ça secret. Mais non, il a fait une super bonne job, je suis fier de lui, je suis fier de dire que c’est mon ami dans la vie, puis de pouvoir faire d’autres types de projets comme ça avec lui, c’est un privilège», conclut la personnalité à ce sujet.
Mot de la fin
Merci à Lou-Pascal Tremblay pour ce moment privilégié. Nous le félicitons d’avoir surmonté sa peur et nous vous invitons à découvrir ce nouveau projet, dans lequel le comédien dévoile une facette de lui que l’on voit trop rarement.