Rihanna n’y va pas de main morte et réclame 5 millions de dollars à Topshop. La somme est néanmoins justifiée, puisque la jeune chanteuse était en négociations avec le propriétaire de Topshop, le milliardaire Sir Philip Green, depuis 8 mois.
Leurs échanges n’ayant pas abouti à une entente, Topshop a quand même mis sur le marché des t-shirts imprimés de l’image de Rihanna, sans son consentement.
Le New York Post a obtenu le témoignage d’une source proche de l’artiste : « L’équipe de Rihanna a demandé à plusieurs reprises à Topshop de cesser la vente de ces chandails. Malheureusement, la réponse a été “Nous faisons ce que nous voulons”. Ils achètent l’image d’un photographe, mais ils ne paient pas de droits aux artistes. Malheureusement, au Royaume-Uni, les lois ne protègent pas l’artiste ».
Bien que Topshop soit désormais établi aux États-Unis, son propriétaire, Philip Green, sait que les lois y sont différentes. Ainsi, les chandails ne se retrouvent pas dans les boutiques américaines.
« Ce qui est le plus offensant, c’est qu’ils ont carrément envoyé promener Rihanna et lui ont offert 5000 $ pour qu’elle leur fiche la paix », rapporte la même source.
La méga star de 25 ans a embauché la firme internationale Reed Smith pour entreprendre la poursuite. Jusqu’à présent, elle a déjà dépensé plus d’un million de dollars en litige contre cette compagnie.