Rocket : Les gens à Laval parlent du jour et de la nuit

Dans les Coulisses
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Joël Bouchard et Sylvain Lefebvre ne vivent peut-être pas sur la même planète. Sans peinturer Lefebvre dans un coin, disons qu’il est à des années-lumière de l’approche et le type d’enseignement de Joël Bouchard. Bouchard, lorsqu’il se présente sur la patinoire pour un entraînement, il a son casque rouge sur la tête, il est volubile est TRÈS actif. Un gars passionné qui sue autant que les joueurs pendant une pratique.

Wow. Il nomme les joueurs par leur nom. J’adore. 

Le camp du Rocket s’amorçait aujourd’hui, et disons que, malgré que ce soit un camp d’entraînement, Bouchard n’y a pas été de main morte avec une séance de deux heures. Oui. Deux heures, incluant une courte pause entre les deux heures. Les gens sur place qualifient cette pratique de TRÈS intense, avec une multitude d’arrêts, où Bouchard a expliqué les aspects plus techniques de ses drills.

On dit que c’est le jour et la nuit entre les entraînements guidés par Lefebvre et ceux où Bouchard tient les guides. Les petits devront se tenir droits, parce que Bouchard ne laisse rien au hasard. Lui, il communique sans arrêt et « suis » ses joueurs de près, pour en avoir été témoin lors de son passage avec l’Armada. Marc Dumont a d’ailleurs parfaitement décrit le type d’individu qu’est Joël Bouchard.

Il est considéré comme un entraîneur hybride, qui prêche l’importance de la possession de la rondelle tout en imposant une éthique de travail. Mais au lieu de crier sur ses joueurs, Bouchard est connu comme un communicateur. Ce trait est bénéfique, en particulier dans la manière dont ses instructions sont comprises et exécutées, mais aussi en termes de respect de la part de ses joueurs, au lieu de l’exiger. – Dumont

Le Rocket, ce n’est pas uniquement une équipe qui développe des joueurs, c’est aussi un groupe d’entraîneurs et de joueurs qui souhaitent gagner. Les tactiques, la passion et la façon de communiquer des Joël Bouchard devraient absolument aider l’organisation à progresser, et le chapitre de ce matin en est une preuve concrète.

En rafale

– Justin Peters s’est décroché un essaie au sein de la Ligue américaine.

– Ty Rattie pourrait devenir le prochain William Karlsson.

– Pas question de niaiser pour le Roy Patrick.

– L’exemple parfait pour Jesperi Kotkaniemi.

– Une autre saison aux poubelles.

– Coudonc, est-ce Youppi! Evil, ça?

– La ballottés du jour :

– Une excellente nouvelle pour Jacob Olofsson.