Sébastien Delorme «torture» les fans

Crédit: Capture TVA/Instagram @delorme_sebastien

C’est de la torture ça!

De 2016 à 2022, la quotidienne District 31 a bercé le quotidien des Québécois, grâce à ses personnages attachants, ses intrigues uniques et ses leçons de vie marquantes, notamment.

Parmi les personnages qui ont marqué l’imaginaire de la province, on y compte Stéphane Pouliot (Sébastien Delorme), Patrick Bissonnette (Vincent-Guillaume Otis) et Bruno Gagné (Michel Charette).

Les fans encore déchirés par la fin de la populaire émission seront ravis d’apprendre que Sébastien Delorme a, d’une certaine façon, fait revivre le trio…

Le comédien a partagé sur les réseaux sociaux un moment empreint de nostalgie qui a immédiatement ramené tout le monde dans cet univers adoré.

De vrais chorégraphes

Le comédien, ou plutôt Poupou pour les intimes, maintenant au cœur de la série Indéfendable, a enchanté ses admirateurs en partageant une vidéo pleine de légèreté en compagnie de ses anciennes co-stars.

On y découvre la bande se prêter au jeu avec un enthousiasme contagieux, enchaînant quelques pas de danse sur la célèbre chanson-thème de Friends, I’ll Be There for You du groupe The Rembrandts.

Sourires complices, énergie contagieuse et douce nostalgie s’entremêlent, offrant un moment chaleureux qui témoigne de la réelle camaraderie qui unissait, et sans doute unit encore aujourd’hui, les interprètes de District 31, bien au-delà des plateaux de tournage.

De la torture pour les vraies fans

Dans les commentaires, plusieurs ont d’ailleurs exprimé à quel point l’émission leur manque.

«C’est de la torture ça», lance un internaute.

«C’était le bon temps», ajoute un fan.

«On s’ennuie de ces trois-là», déclare un autre.

Enraciné dans la culture

District 31 a profondément marqué le paysage télévisuel québécois, devenant bien plus qu’une simple série policière.

Dès son lancement en 2016, l’œuvre de Luc Dionne s’est imposée comme un phénomène culturel, attirant chaque soir de nombreux téléspectateurs et créant un véritable rituel collectif.

L’impact social de la série est indéniable. À travers ses intrigues, District 31 a ouvert des conversations sur la corruption, les violences conjugales, les enjeux psychologiques des premières lignes ou encore le système judiciaire.

En six saisons, elle a redéfini les standards de la fiction télé québécoise et laissé une empreinte durable dans la culture populaire.

Par la richesse de ses personnages et sa capacité à aborder des enjeux sociaux actuels, la série a transcendé le simple divertissement pour devenir un véritable phénomène culturel.

Son héritage continuera fort probablement d’influencer les créations futures.

Avez-vous suivi District 31? Et surtout… êtes-vous encore amer que la série ait tiré sa révérence?