Serge Denoncourt sous surveillance financière
C’est dans ce cadre qu’il a eu droit à quatre petites entrevues en compagnie de personnalités différentes. Et pour une fois, il s’est surprenamment confié sur des choses plus personnelles.

Il a notamment mentionné que sa maman était une très bonne couturière. Comme ils n’étaient pas riches, elle leur faisait de magnifiques habits, autant à ses enfants qu’à elle-même.
Et comme ses parents n’avaient pas beaucoup de moyens et qu’il se serrait la ceinture, il a aujourd’hui une toute autre relation avec l’argent !
Une agence s’occupait de lui quand il a commencé à faire un peu d’argent.
« Ils m’ont enlevé mes cartes de crédit, ils m’ont tout enlevé. Ils m’ont dit: Toi, tu ne dépenses plus. Tu nous le demandes. J’étais obligé de demander des sous à mon comptable pour pouvoir dépenser. Parce que moi, si j’ai des sous… puis je ne suis pas cheap, dans le sens où je peux inviter tout le monde. Mais je peux aussi décider d’acheter un smoking Armani, je ne sais pas combien, je peux acheter un appartement à Paris. J’ai décidé que cette notion-là n’existait pas, parce que j’ai vu mes parents trop malheureux. Ce qui fait que tous les trois ans, je suis au bord de la faillite, et tout le monde est comme: whoa, whoa, whoa», dit Serge, tout en ajoutant qu’il n’a pas accès à ses sous.

Money Money Money!
Lors de son passage à l’émission, Serge ne s’est pas seulement confié sur sa relation particulière à l’argent, il a aussi révélé quelles ont été ses plus grosses dépenses au fil des années: rien de moins que sa maison en Italie… et un appartement à Paris.

Rappelons que le talentueux et divertissant Serge est aussi bien présent sur nos écrans, en tant que juge dans la grande compétition télé Quel Talent! — un rôle qu’il incarne avec sa franchise bien à lui, son regard aiguisé et son flair artistique reconnu.
Et même s’il peut parfois avoir l’air un peu bougon, et qu’il ne passe jamais par quatre chemins, c’est justement ce qu’on aime chez lui. On l’apprécie pour sa droiture et sa sincérité désarmante.
Bref, on en redemande — et on espère le voir encore plus souvent à la télé dans les mois à venir.