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Les astronautes passeront deux semaines sur la Lune

Lors d’une conférence de presse, la NASA a confirmé que quatre astronautes à la fois passeront jusqu’à 14 jours sur la Lune lors des prochaines missions lunaires.

Les missions Artemis sur la Lune vont débuter dès 2024. À ce moment, il est prévu que les séjours durent six jours. Ce n’est qu’en 2030 que les astronautes y passeront de longs séjours afin d’y construire les fondations de la vie humaine sur la Lune.

Ce faisant, les astronautes prépareront d’autres missions encore plus complexes.

« Nous allons faire des tests pour de futures missions pour Mars sur la Lune », a confié le scientifique de la NASA John Connolly.

Les missions Artemis se concentreront sur le pôle Sud de la Lune. C’est l’endroit où l’on retrouve le plus de glace au sein de cratères. Ce faisant, les astronautes pourront convertir cette glace en eau, vitale pour l’être humain.

Les ambitions des missions Artemis sont beaucoup plus importantes que lors des missions Apollo. Apollo 11 a séjourné 21 heures sur la Lune, alors que la dernière mission, Apollo 17 y a passé 3,1 jours.

Déjà, une nouvelle cohorte d’astronautes s’entrainent depuis septembre dernier pour les missions Artemis au siège social de la NASA à Houston aux États-Unis. 

De plus, l’agence spatiale américaine a présenté à la mi-octobre les nouvelles combinaisons que les astronautes porteront lors de ces futures missions. 

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Photo : Cover Images

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Plus de cancers en 2030

Les principaux cancers à être dans la mire des experts sont ceux du côlon, du rectum, du sein, de la prostate, que l’on associe au développement économique et au mode de vie occidental, selon une étude publiée dans la revue The Lancet Oncology.

En fait, 40 % des cas de cancer colorectal sont répertoriés dans les pays développés, tandis que ces pays ne constituent que 15 % de tous les pays.

L’inquiétude vient surtout du fait que le nombre de cancers diagnostiqués augmentera plus vite que l’accroissement naturel de la population.

En 2008, on comptait plus de 12,7 millions de gens atteints d’un cancer. En 2030, on prévoit en compter plus de 20,3 millions.

Toutefois, chez les femmes, le nombre de cancers de l’estomac et du col de l’utérus diminuera de par le monde, tandis que dans les pays riches, ce sera le cas du cancer du poumon chez les hommes.

Rappelons que les femmes qui travaillent au moins deux nuits par semaine ont 50 % plus de risque de développer un cancer du sein.