Attention, il faut cependant poursuivre la saine habitude de vie à long terme pour en connaître les bienfaits.
En effet, les femmes post-ménopausées qui marchent l’équivalent de quatre heures par semaine, et ce, depuis 4 ans, ont 10 % moins de risques de développer un cancer du sein au cours de leur vie comparativement à celles qui sont sédentaires.
Or, dès que l’on cesse l’exercice, les risques reviennent en force. C’est ce que l’étude menée auprès de 60 000 et rapportée par le journal The Telegraph mentionne. Celles qui avaient arrêté leur activité physique depuis plus de 5 ans se retrouvaient au même point que celles qui n’avaient jamais fait d’exercice, soit avec un risque accru de 16 % de développer un cancer du sein.
La recherche publiée dans la revue Cancer Epidemiology, Biomarkers & Prevention affirme que dans ce cas-ci, le poids n’avait pas d’influence sur les risques associés au cancer. Peu importe le tour de taille, l’activité physique comportait les mêmes bienfaits.