Si l’on réduisait l’apport en sel dans le régime alimentaire collectif des citoyens, on pourrait sauver jusqu’à 500 000 vies sur une période de dix ans, rapporte The National Library of Medicine.
Comme ces chiffres sont basés sur la population des États-Unis, on pourrait même s’attendre à ce qu’il soit sérieusement bonifié si on incluait le Canada à ces prévisions.
Ce constat est le fruit d’une étude américaine, dont les résultats ont été publiés dans la plus récente édition du journal Hypertension. Pour les chercheurs de San Francisco en tête de l’étude, réduire la quantité de sel consommée par les Nord-Américains est une quête primordiale et prioritaire.
Si on regarde les statistiques de mortalité, on se rend compte que le principal tueur en Amérique prend maintenant la forme des maladies cardiaques, cardiovasculaires et de la haute pression. Or, l’un des grands contributeurs à ces problèmes de santé est le sel.
Les chercheurs rappellent que le citoyen moyen consomme trop de sel par rapport à l’apport quotidien suggéré, et ce serait particulièrement vérifiable chez la gent masculine.
On recommande d’abord d’éviter la malbouffe (restauration rapide, burgers, etc.), les restaurants à outrance et les repas-minutes congelés.