Étiquette : Abdellatif Kechiche

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Abdellatif Kechiche traîne Léa Seydoux devant les tribunaux

La guerre ouverte entre l’actrice Léa Seydoux et le réalisateur Abdellatif Kechicheprend plus d’ampleur que le film lui-même, récompensé de la Palme d’Or au dernier Festival de Cannes.

La vie d’Adèle met en vedette Léa Seydoux et Adèle Exarchopoulos. Alors que les deux actrices ont confié aux médias que le tournage du long métrage avait été difficile, au-delà de ce qu’elles auraient pu imaginer, Kechiche déverse tout son venin sur Seydoux, 28 ans.

Abdellatif Kechiche, qui affirme que les déclarations de Léa Seydoux lui ont attribué le rôle « d’une espèce de sadique et de pervers manipulateur » et qu’ils ont sali sa réputation, décide de régler la situation devant les tribunaux.

Voici.fr rapporte que le réalisateur a publié un long plaidoyer sur le site Rue89 pour « officialiser » sa menace. Les accusations sont longues. Selon lui, Léa Seydoux le « traîne dans la boue », raconte des « mensonges et outrances avec une inconséquence qui ébahit ».

Mais le réalisateur ne s’arrête pas là. Selon PurePeople, il accuse également le journaliste Aureliano Tone et le producteur Jean-François Lepetit. Selon lui, toutes les médisances à son sujet sont fausses.

Donc, trois personnes qui racontent la même chose et qui auraient tout faux…

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Abdellatif Kechiche traîne Léa Seydoux devant les tribunaux

La guerre ouverte entre l’actrice Léa Seydoux et le réalisateur Abdellatif Kechicheprend plus d’ampleur que le film lui-même, récompensé de la Palme d’Or au dernier Festival de Cannes.

La vie d’Adèle met en vedette Léa Seydoux et Adèle Exarchopoulos. Alors que les deux actrices ont confié aux médias que le tournage du long métrage avait été difficile, au-delà de ce qu’elles auraient pu imaginer, Kechiche déverse tout son venin sur Seydoux, 28 ans.

Abdellatif Kechiche, qui affirme que les déclarations de Léa Seydoux lui ont attribué le rôle « d’une espèce de sadique et de pervers manipulateur » et qu’ils ont sali sa réputation, décide de régler la situation devant les tribunaux.

Voici.fr rapporte que le réalisateur a publié un long plaidoyer sur le site Rue89 pour « officialiser » sa menace. Les accusations sont longues. Selon lui, Léa Seydoux le « traîne dans la boue », raconte des « mensonges et outrances avec une inconséquence qui ébahit ».

Mais le réalisateur ne s’arrête pas là. Selon PurePeople, il accuse également le journaliste Aureliano Tone et le producteur Jean-François Lepetit. Selon lui, toutes les médisances à son sujet sont fausses.

Donc, trois personnes qui racontent la même chose et qui auraient tout faux…

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Adèle Exarchopoulos vient au secours de Léa Seydoux

Abdellatif Kechiche n’a pas mâché ses mots en accusant sciemment Léa Seydoux d’avoir « gâché la sortie du film » parce qu’elle a sali non pas le long métrage, mais bien son réalisateur. Peur de passer pour un bourreau, Kechiche s’est dit grandement « humilié » par les propos de l’actrice.

Adèle Exarchopoulos, covedette de Seydoux, s’est confiée lors d’une entrevue qu’elle a accordée aux Inrocks. « Je m’attendais à un tournage intense, exigeant, mais pas à ce point-là », a-t-elle expliqué, volant au secours de sa collègue.

Elle avoue même qu’il y a certaines scènes de souffrance « où tu en veux à celui qui te la fait jouer comme s’il te l’infligeait », ajoutant qu’elle était certaine qu’Abdellatif comprenait très bien ce qu’elle entendait par là.

Mais ce que Kechiche a omis de citer dans son délire, c’est que les deux actrices avaient également dit qu’il « est un génie ». D’ailleurs, Adèle Exarchopoulos affirme que ce tournage a été une « école magnifique. J’ai appris sur moi et mon métier comme jamais. Abdel m’a tirée vers le haut… tout le reste, c’est que des conneries. Abdel et Léa, je les aimerai toujours, je ne les oublierai jamais ».

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Adèle Exarchopoulos vient au secours de Léa Seydoux

Abdellatif Kechiche n’a pas mâché ses mots en accusant sciemment Léa Seydoux d’avoir « gâché la sortie du film » parce qu’elle a sali non pas le long métrage, mais bien son réalisateur. Peur de passer pour un bourreau, Kechiche s’est dit grandement « humilié » par les propos de l’actrice.

Adèle Exarchopoulos, covedette de Seydoux, s’est confiée lors d’une entrevue qu’elle a accordée aux Inrocks. « Je m’attendais à un tournage intense, exigeant, mais pas à ce point-là », a-t-elle expliqué, volant au secours de sa collègue.

Elle avoue même qu’il y a certaines scènes de souffrance « où tu en veux à celui qui te la fait jouer comme s’il te l’infligeait », ajoutant qu’elle était certaine qu’Abdellatif comprenait très bien ce qu’elle entendait par là.

Mais ce que Kechiche a omis de citer dans son délire, c’est que les deux actrices avaient également dit qu’il « est un génie ». D’ailleurs, Adèle Exarchopoulos affirme que ce tournage a été une « école magnifique. J’ai appris sur moi et mon métier comme jamais. Abdel m’a tirée vers le haut… tout le reste, c’est que des conneries. Abdel et Léa, je les aimerai toujours, je ne les oublierai jamais ».

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Léa Seydoux a gâché la sortie de La vie d’Adèle

On revient sur une polémique lancée par Léa Seydoux, qui avait affirmé que la Palme d’or gagnée par le film La vie d’Adèle (Blue is the Warmest Color), avait un peu allégé le fardeau qu’avait représenté le tournage. « C’était tellement horrible! » avait-elle alors déclaré.

Aujourd’hui, Voici.fr affirme que le réalisateur Abdellatif Kechiche n’est toujours pas redescendu de ses grands chevaux. Il accuse l’actrice de manquer de respect envers son métier qu’il considère comme « sacré ». 

« La Palme d’or n’a été qu’un bref instant de bonheur, ensuite, je me suis senti humilié, déshonoré, j’ai senti un rejet de ma personne, que je vis comme une malédiction… » a confié l’homme de 52 ans.

En entrevue à Télérama, Kechiche explique pourquoi il en veut autant à Seydoux. En fait, c’est l’actrice qui a insisté auprès de lui pour tourner ce film. Même après le début du tournage, le réalisateur lui a proposé « d’en rester là », mais elle a tenu à poursuivre. 

Il ne comprend toujours pas pourquoi elle est allée se plaindre à la presse une fois la Palme d’Or décernée. Et il n’est pas près de lui pardonner. 

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Léa Seydoux a gâché la sortie de La vie d’Adèle

On revient sur une polémique lancée par Léa Seydoux, qui avait affirmé que la Palme d’or gagnée par le film La vie d’Adèle (Blue is the Warmest Color), avait un peu allégé le fardeau qu’avait représenté le tournage. « C’était tellement horrible! » avait-elle alors déclaré.

Aujourd’hui, Voici.fr affirme que le réalisateur Abdellatif Kechiche n’est toujours pas redescendu de ses grands chevaux. Il accuse l’actrice de manquer de respect envers son métier qu’il considère comme « sacré ». 

« La Palme d’or n’a été qu’un bref instant de bonheur, ensuite, je me suis senti humilié, déshonoré, j’ai senti un rejet de ma personne, que je vis comme une malédiction… » a confié l’homme de 52 ans.

En entrevue à Télérama, Kechiche explique pourquoi il en veut autant à Seydoux. En fait, c’est l’actrice qui a insisté auprès de lui pour tourner ce film. Même après le début du tournage, le réalisateur lui a proposé « d’en rester là », mais elle a tenu à poursuivre. 

Il ne comprend toujours pas pourquoi elle est allée se plaindre à la presse une fois la Palme d’Or décernée. Et il n’est pas près de lui pardonner. 

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Cinéma

Cannes 2013 s’achève sur un palmarès de qualité, à défaut de surprendre

Le cru 2013 du Festival de Cannes n’a que rarement surpris. Donné favori, La Vie d’Adèle a logiquement soulevé la Palme d’or. Histoire d’amour enflammée entre deux adolescentes, le film d’Abdellatif Kechiche permet à la France de glaner son cinquième prix suprême, six ans après Entre les murs de Laurent Cantet.

Détenteurs de la Palme d’or 1991 et de trois Prix de la mise en scène, les frères Coen ont encore démontré leur maestria cannoise. Ils ont ajouté le Grand Prix à leur palmarès pour Inside Llewyn Davis, retour nostalgique sur la contestation folk des années 1960 au Greenwich Village de New York.

Côté interprétations, Bérénice Bejo a décroché le trophée féminin pour sa prestation sensible dans Le Passé d’Asghar Farhadi. Chez les hommes, Bruce Dern, 76 ans, succède à Mads Mikkelsen pour le Prix d’interprétation masculine.

La surprise du palmarès 2013 vient sans conteste du sacre d’Amat Escalante, décoré du Prix de la mise en scène pour Heli. Le cinéaste lui-même ne s’attendait visiblement pas à ce trophée reçu pour son troisième long métrage, plongée âpre et sans fard aucun dans la violence des narcotrafiquants qui gangrènent le Mexique.

Le grand perdant du 66e Festival de Cannes reste sans conteste La Grande Bellezza. Le retour en Italie de Paolo Sorrentino a fait chou blanc, en dépit d’une mise en scène inspirée et de la performance étincelante de son complice habituel, Toni Servillo.

Le Franco-Cambodgien Rithy Panh a quant à lui obtenu le prix Un Certain Regard, pour le documentaire L’Image manquante, nouvel opus de son oeuvre témoignage sur les exactions des Khmers rouges en Cambodge dans les années 1970.

Rappel du palmarès du 66e Festival de Cannes :

Longs métrages

Palme d’or
La Vie d’Adèle d’Abdellatif Kechiche

Grand Prix
Inside Llewyn Davis de Joel et Ethan Coen

Prix de la mise en scène
Amat Escalante pour Heli

Prix du jury 
Tel père, tel fils de Hirokazu Kore-Eda

Prix du scénario
Jia Zhangke pour A Touch of Sin

Prix d’interprétation féminine 
Bérénice Bejo dans Le Passé d’Asghar Farhadi

Prix d’interprétation masculine 
Bruce Dern dans Nebraska d’Alexander Payne

Caméra d’or
Ilo Ilo d’Anthony Chen 

Courts métrages

Palme d’or : Safe de Moon Byung-gon

Mention spéciale (ex aequo) : Le Fjord des baleines de Gudmundur Arnar Gudmundsson, 37°4 S d’Adriano Valerio