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Panoz lance l’Abruzzi

Le petit constructeur artisanal américain Panoz a levé le voile sur sa plus récente réalisation, l’Abruzzi.

Nommée ainsi en l’honneur de la région du Centre-Sud de l’Italie, l’Abruzzi est une voiture d’exception inspirée des courses du 24 heures du Mans.

Après trois ans de développement, l’Abruzzi sera assemblée pour la première fois plus tard cet été. 81 exemplaires de ce supercar seront construits, soit le même nombre de voitures inscrites à la mythique course depuis 1923.

L’Abruzzi est homologuée uniquement pour l’Europe et ne sera distribuée que sur le vieux continent. Elle sera offerte au prix de 400 000 euros, soit près de 500 000 $.

Sous le capot de la belle, on retrouve un V8 de 6 litres développant 600 chevaux et 450 livres de couple. La puissance du moteur monté à l’avant est transmise aux roues arrière par une boîte manuelle à six rapports.

Au niveau du châssis, Panoz a opté pour une technologie appelée REAMS (Recyclable Energy Absorbing Matrix System) qui est aussi résistante que le carbone, mais plus facile à réparer.

L’Abruzzi GT2 pourra être vue en pleine course lors des 24 heures du Mans.

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Panoz Abruzzi, première aguiche

Pour nous faire patienter en attendant la présentation de son modèle « Abruzzi Spirit of Le Mans » les 12 et 13 juin sur le circuit de la Sarthe, Panoz nous en offre une première aguiche.

La marque insiste sur le fait que l’Abruzzi est un mélange de tradition et de modernité.

Ainsi, le style évoque les anciennes voitures de course, à l’époque où les pilotes se rendaient par la route sur les circuits et espéraient en repartir par leurs propres moyens.

Panoz affirme toutefois que la conception de l’Abruzzi est des plus modernes, avec notamment un matériau baptisé REAMS (pour Recyclable Energy Absorbing Matrix System) et particulièrement performant en terme de rigidité structurelle. Notons cependant que ce composite miracle n’apparait nulle part sur la Toile en dehors du communiqué Panoz…

Le refroidissement inaugurerait également de nouvelles techniques, avec un système en 3 phases permettant d’abaisser la température avant, pendant et après le passage dans le radiateur.

Il faudra désormais se rendre sur le circuit des 24 heures du Mans, en juin, pour vérifier la véracité de toutes ces affirmations enthousiastes.