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Arrêt de travail : l’insomnie serait la principale cause

Selon des chercheurs finlandais, tout ce qui touche au manque de sommeil peut mener à un arrêt de travail, aussi appelé arrêt maladie.

Après 7 ans d’analyse du sommeil de près de 4000 participants hommes et femmes, il s’avère que l’insomnie est la cause première d’absentéisme prolongé sur les lieux du travail.

Top Santé rapporte les explications de Tea Lallukka. « La durée de sommeil optimale avec le moins de risque de maladies est de 7,6 heures pour les femmes et 7,8 heures pour les hommes. Bien que la persistance d’autres problèmes de santé affecte le bien-être des personnes, les problèmes de santé pourraient diminuer de 28 % si les troubles du sommeil étaient traités et soignés. »

Il faut savoir que les troubles du sommeil affectent 1 individu sur 5 dans les pays développés. Outre l’insomnie, un sommeil non réparateur, un manque d’heures de sommeil qui s’accumule et la prise de sédatifs peuvent aussi mener à l’épuisement.

D’autre part, une carence en sommeil peut causer des accidents de la route, une dépression et mener à de nombreuses maladies, dont le cancer.

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21 janvier : la plus déprimante de 2013?

Bienvenue en ce 21 janvier! Bienvenue dans la journée… la plus déprimante de 2013?

C’est ce qu’affirme Top Santé, qui parle d’une constante en ce qui concerne le troisième lundi du mois de janvier. En effet, il semble que ce fatidique troisième lundi soit scientifiquement le plus déprimant de l’année!

Selon une étude réalisée par FirstCare (qui étudie notamment l’absentéisme et les comportements au travail), il ne s’agirait pas d’un mythe. Plus encore, on a même baptisé ce jour le Blue Monday, qui voit le taux d’absentéisme au travail battre des records presque chaque année.

« Blue Monday a été décrit comme le jour le plus déprimant de l’année avec les taux d’absentéisme les plus élevés. Nous conseillons aux patrons de bien soutenir leurs employés dans ces moments difficiles pour éviter le surcoût dû à l’absentéisme », lance un porte-parole de la société FirstCare.

C’est une combinaison de plusieurs facteurs qui permet à ce lundi d’obtenir la palme de la déprime, notamment la météo, le niveau de la dette, l’écart entre aujourd’hui et le temps des fêtes, qui n’est maintenant qu’un souvenir, et la luminosité.

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Le tabagisme et l’absentéisme

Il semble que l’exposition à la fumée du tabac joue un rôle dans l’absentéisme des enfants. Une récente étude menée par le Massachusetts General Hospital a établi un lien entre le fait de vivre avec des parents fumeurs et le nombre de jours d’absence à l’école.

Comme nous pouvons le lire dans Pediatrics, il a été démontré que ces enfants accusent des taux de maladies respiratoires plus élevés en raison de cette exposition. Cette réalité augmente donc le nombre de jours d’absence à l’école.

En fait, on a évalué que chez les enfants de 6 à 11 ans qui vivent au sein d’une famille de fumeurs, entre le quart et le tiers de leurs jours d’absence sont dus à la fumée secondaire à la maison.

Les chercheurs ont même estimé les coûts de ces taux d’absentéisme : ils s’élèveraient à 227 millions de dollars en problèmes collatéraux (entraînant des absences au travail, notamment).

Un peu plus de 3 000 enfants ont participé à cette étude. Parmi ces derniers, plus de 14 % vivaient au sein d’une famille où au moins 1 personne fumait à l’intérieur de la maison, soit 8 % avec 1 fumeur et 6 % avec 2 fumeurs ou plus.

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Le tabagisme et l’absentéisme

Il semble que l’exposition à la fumée du tabac joue un rôle dans l’absentéisme des enfants. Une récente étude menée par le Massachusetts General Hospital a établi un lien entre le fait de vivre avec des parents fumeurs et le nombre de jours d’absence à l’école.

Comme nous pouvons le lire dans Pediatrics, il a été démontré que ces enfants accusent des taux de maladies respiratoires plus élevés en raison de cette exposition. Cette réalité augmente donc le nombre de jours d’absence à l’école.

En fait, on a évalué que chez les enfants de 6 à 11 ans qui vivent au sein d’une famille de fumeurs, entre le quart et le tiers de leurs jours d’absence sont dus à la fumée secondaire à la maison.

Les chercheurs ont même estimé les coûts de ces taux d’absentéisme : ils s’élèveraient à 227 millions de dollars en problèmes collatéraux (entraînant des absences au travail, notamment).

Un peu plus de 3 000 enfants ont participé à cette étude. Parmi ces derniers, plus de 14 % vivaient au sein d’une famille où au moins 1 personne fumait à l’intérieur de la maison, soit 8 % avec 1 fumeur et 6 % avec 2 fumeurs ou plus.

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Les coûts de l’insomnie

Une recherche, publiée dans la revue médicale Sleep, nous apprend que les problèmes causés par l’insomnie des Québécois, comme le manque de productivité et l’absentéisme au travail, coûtent 6,5 milliards de dollars chaque année.

À elle seule, la consommation d’alcool en vue de trouver le sommeil se chiffre à 340 millions $. « Les coûts liés à l’alcool constituent un peu une surprise à nos yeux, de même que la fréquence de sa consommation en vue de provoquer le sommeil », a noté Meagan Daley, coauteure de l’étude et professeure au cégep Champlain-St. Lawrence, à Québec.

Mme Daley soutient toutefois que l’alcool diminue la qualité du sommeil en réduisant la durée du stade de sommeil profond.

948 sujets ont participé à cette recherche et 15 % d’entre eux souffraient d’insomnie.

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L’apnée et l’absentéisme au travail

Une recherche, dont les résultats sont publiés dans la revue médicale European Respiratory Journal, suggère que l’apnée du sommeil a des conséquences sur la vie professionnelle des personnes qui en souffrent.

7 000 travailleurs de 40 à 45 ans ont été suivis pendant 4 ans. Il s’avère que ceux qui souffraient de ce trouble du sommeil étaient 66 % plus à risque de prendre des congés de maladie pour une durée de plus de 8 semaines, et même d’être inaptes au travail.

En plus des symptômes habituels de l’apnée, comme le réveil abrupt en phase profonde du sommeil ou le ronflement, cette condition cause de l’irritabilité et des difficultés à se concentrer.

Selon le Dr Borge Sivertsen de l’Université de Bergen, en Norvège, ce phénomène pourrait s’expliquer par la somnolence durant le jour.