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Concept de marketing social pour prévenir l’abus d’alcool chez les jeunes

On entend parler de jeunes qui sont transportés à l’hôpital après avoir consommé de l’alcool jusqu’à mettre leur vie en danger. Une nouvelle étude publiée dans le Health Education rapporte qu’il est probable qu’une stratégie de marketing social soit efficace pour prévenir de tels comportements.

Dans l’ouvrage intitulé Moderating teen drinking combining social marketing and education, on suggère d’informer les jeunes à partir de publicité sous forme de jeu éducatif interactif. Déjà testé auprès des 14-16 ans, le jeu Game On: Know Alcohol (GO:KA) a eu un certain succès.

Selon Medical News Today, le jeu vise la sensibilisation aux effets physiques et cognitifs et aux dangers associés à la consommation d’alcool. Divers tests, questionnaires et mises en situation sont proposés aux jeunes.

L’étude a démontré une réponse positive, surtout de la part des filles. Elles étaient plus réceptives et ouvertes à modifier leurs futures habitudes de consommation.

Sharyn Rundle-Thiele du Griffith Health Institute en Australie, coauteure du sondage, a commenté les résultats. « Les étudiants peuvent apprendre et avoir du plaisir en même temps! Les résultats de notre étude pilote démontrent que le jeu dans une perspective d’apprentissage sur les risques de l’alcool est une alternative qui peut changer les comportements. »

Jusqu’à présent, deux jeux et un questionnaire en ligne ont été développés par GAMEON.

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Alcoolisme décelé dès l’enfance?

On apprend dans Medical News Today qu’une récente étude a fait un lien entre des traits de personnalité chez des enfants de moins de 12 ans et les abus d’alcool à l’âge adulte.

Menée par une équipe de l’Université Jaume I en Espagne, elle corrobore plusieurs études précédentes ayant porté sur ce sujet. On avait déjà statué l’influence génétique à 50 %.

Désormais, on pourrait prédire les abus d’alcool à 16 ans d’un enfant de 12 ans par l’analyse de certaines caractéristiques psychologiques et de certaines variables sociales.

Ainsi, il semble que les personnes extraverties qui recherchent la nouveauté, qui ont peu d’inhibitions et qui sont impulsives sont plus à risque des abus d’alcool.

Toutefois, on souligne que ces traits ne sont pas négatifs en soi : c’est leur combinaison qui peut influencer le développement de l’alcoolisme.

À la lumière des ces résultats, on recommande fortement faire de la prévention en ciblant mieux les personnes vulnérables.