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La fessée n’est jamais une bonne option

Le Royal College of Paediatrics fait une mise en garde dans une lettre envoyée au journal The Daily Telegraph.

Des spécialistes disent que le châtiment est inutile et est équivalent à une « agression physique ». Ils affirment également que c’est un « moyen de dissuasion encore trop souvent utilisé et très inefficace » pour corriger le mauvais comportement d’un enfant.

Terence Stephenson, président du Collège, suggère que les parents, au lieu d’adopter une approche positive et de définir les limites aux enfants, prennent trop souvent le moyen facile en optant pour la correction par la fessée.

« Frapper est trop souvent perçu comme la solution de facilité et malheureusement, nous voyons trop souvent des fessées qui tournent plutôt en coups de poing », confirment des pédiatres.

Rappelons qu’en 2004, en Grande-Bretagne, une loi a été renforcée en vertu de l’interdiction de toute force qui peut provoquer une quelconque rougeur sur la peau.

Stephenson dit : « Les enfants doivent être munis de la même protection contre l’agression physique que les adultes », faisant référence ici à la non-défense qu’ont les enfants devant leurs parents.

La lettre du spécialiste indique d’ailleurs que 100 enfants meurent chaque année ou sont handicapés par des blessures après avoir été frappés, et ce, presque toujours par un proche.

Une experte a ajouté également qu’il est un peu hypocrite de dire à nos enfants de ne pas utiliser la violence physique, alors que les adultes y ont recours eux-mêmes.

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Abus d’enfants : le statut socioéconomique ou la race?

Une école de l’Indiana University of Medicine a examiné les diagnostics de 2109 médecins américains qui ont participé à l’étude.

Lorsqu’on leur a présenté des scénarios qui pourraient éventuellement, mais pas nécessairement, indiquer la maltraitance des enfants, les spécialistes croyaient plus en des sévices qu’un simple accident chez les enfants blancs venant d’une famille pauvre que chez les enfants noirs venant d’un faible statut socioéconomique ou les enfants noirs ou blancs venant d’une famille plus aisée monétairement.

Ces résultats contredisent les études précédentes qui reliaient les probabilités plus accrues de sévices chez les enfants de race noire.

Les chercheurs veulent maintenant se pencher sur les multiples facteurs qui peuvent entraîner les médecins à un mauvais diagnostic dans des situations de négligence, ne sachant pas réellement comment déterminer un cas de sévices ou d’accident.

Les résultats de cette étude sont publiés en ligne dans le Journal of Pediatrics.

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Se débarrasser des toxines après les fêtes

Aux fêtes, vous avez sans doute succombé aux aliments riches en gras et à l’alcool, mais en ce début d’année, il est temps de penser à désintoxiquer votre corps. Non seulement cela vous donnera un regain d’énergie, mais cela aidera les personnes stressées et fatiguées qui ont tendance à avoir plusieurs infections.
 
Voici donc trois astuces simples que vous pouvez même faire plus d’une fois par année, rappelle Medic Magic.
 
D’abord, ayez une composition alimentaire équilibrée. Privilégiez les fruits frais ou secs, les aliments crus ou cuits à la vapeur, les jus frais, les smoothies et les soupes. Pour avoir des protéines, optez pour les légumineuses, et si vous mangez de la viande, choisissez plutôt des poissons ou du poulet, ainsi que du riz brun.
 
Assurez-vous de boire assez d’eau, et comme autres boissons, optez pour des jus de fruits frais sans sucre, des smoothies ou des tisanes à la menthe et à la camomille.
 
Prenez des suppléments de probiotiques et d’antioxydants pour améliorer votre fonction hépatique et votre digestion.
 
Pour que votre « désintoxication » soit plus efficace, évitez la caféine, l’alcool, le sel et les édulcorants artificiels.
 
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Un nouveau système de santé qui sauve des vies et de l’argent

On apprend dans le journal Obstetrics & Gynecology que ce programme — qui vise à améliorer la santé maternelle et réduire les dépenses de soins de santé — a une façon d’approcher directement et de façon préventive les femmes qui consomment drogues, cigarettes et alcool.

L’analyse coûts-avantages du programme Early Start Kaiser Permanente a été réalisée en 2008 auprès de 49 261 femmes enceintes. Cette étude a démontré que les femmes toxicomanes et les bébés à risque pouvaient améliorer leur sort et arriver à des résultats de santé similaires à ceux et celles qui ne consomment pas.

« Ce programme, qui consiste au dépistage des femmes enceintes par des tests toxicologiques dans l’urine et des questionnaires de dépistage d’abus de substances, a su prouver la diminution de la morbidité maternelle et néonatale », a déclaré l’auteure de l’étude, Nancy C. Goler.

Les experts croient que sur 4 millions de naissances, près de 2 milliards de dollars pourraient être épargnés chaque année. Pour arriver à ces résultats, le programme de santé devrait être implanté à l’échelle nationale.

Le tout peut être réaliste si le programme est accessible aux patientes. Les chercheurs suggèrent que ce dernier se retrouve facilement et rapidement dans les cliniques prénatales que fréquentent les femmes durant la grossesse.

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Répercussions graves des maladies chroniques

Selon une étude de l’Université Karlstad en Suède parue dans Acta Paediatricia, les enfants qui souffrent d’une maladie chronique ont beaucoup plus de risques de vivre des mauvais traitements que les autres.

Les enfants qui vivent avec des problèmes de santé vivent 88 % plus souvent des sévices corporels que les autres. Ils ont aussi plus tendance (154 % plus de risques) à vivre de la violence conjugale à l’âge adulte.
 
Pour arriver à ces chiffres, on a fait remplir un questionnaire à 2 510 enfants âgés de 10, 12 et 15 ans provenant de 44 écoles. Parmi les participants, près d’un sur quatre vivait avec une maladie chronique.
 
Les problèmes de santé relevés étaient vastes. On y retrouvait l’asthme, les allergies, le surpoids, la maladie mentale, les handicaps physiques ainsi que les déficiences visuelles et auditives.
 
La violence vécue par ces jeunes une fois qu’ils sont en couple à l’âge adulte ne semble pas différer selon la gravité du problème de santé.
 
Avec cette recherche, on espère mieux venir en aide aux enfants afin de prévenir les problèmes conjugaux mentionnés lorsqu’ils seront adultes.

Les études subséquentes porteront par ailleurs sur la façon dont la famille vit les problèmes de santé de l’enfant et quel soutien professionnel sont requis.

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Plus de sévices chez les enfants sourds

Une récente étude menée par l’Institut des technologies de Rochester a démontré un plus haut taux de sévices vécus par les enfants sourds et malentendants, lit-on sur ScienceDaily.

Cela comprend la négligence, les sévices physiques et sexuels et la maltraitance. Ces enfants seraient 25 % plus souvent victimes de ces problèmes que les autres.

Pour arriver à ces résultats, on a sondé 425 étudiants, dont 108 étaient sourds. On leur a demandé de décrire toute maltraitance qu’ils avaient pu vivre avant l’âge de 16 ans.

Il en est ressorti que 70 % des participants sourds ou malentendants ont dit avoir déjà vécu des mauvais traitements, contre 49 % chez les autres.

De plus, les sévices augmentaient en gravité lorsqu’ils avaient été subis par des personnes sourdes ou malentendantes.

Cette étude a par ailleurs démontré que les enfants maltraités, une fois adultes, ont plus tendance à vivre une dépression ou des problèmes cognitifs et à démontrer des symptômes d’un choc post-traumatique.

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Les adolescents de mères gaies ont un taux nul d’abus

Une étude américaine réalisée sur une longue période de temps nous révèle que les enfants de mères lesbiennes ne vivent aucune atteinte physique ou sexuelle.

Selon les résultats présentés dans Archives of Sexual Behaviour, aucun des enfants issus de telles unions, aujourd’hui adolescents, n’a fait part d’un quelconque mauvais traitement.

La recherche globale s’étendant sur 24 ans, avait pour objet les familles lesbiennes. Durant cette période, 39 fils et 39 filles y participaient. Il s’agit aujourd’hui d’adolescents âgés de 17 ans.

À un questionnaire, ils ont répondu à l’unanimité n’avoir jamais vécu de sévices de quelconque ordre par un parent ou un proche.

Les chercheurs ont ensuite comparé ces résultats à ceux provenant d’enfants issus d’unions hétérosexuelles. Parmi eux, 26 % ont déjà vécu de mauvais traitements, dont 8,3 % d’ordre sexuel.

Cela remettra en cause les allégations existantes provenant des opposants aux familles composées de couples homosexuels. Une étude semblable pourrait aussi discriminer les couples d’hommes des préjugés existants.