Une nouvelle étude de l’Université d’Alabama à Birmingham mentionne que même en l’absence d’autres facteurs de risques des accidents vasculaires cérébraux (AVC) comme l’obésité, les risques sont accrus avec des nuits trop courtes, même que cela pourrait être précurseur de certains symptômes d’AVC.
Au début de l’étude qui a duré trois ans, les 6000 personnes recrutées n’avaient aucun antécédent d’AVC ou même de symptômes. Elles avaient un âge moyen, un poids normal et dormaient moins de six heures par nuit.
Après avoir enregistré les premiers symptômes d’AVC, les données démographiques, les facteurs de risques et autres symptômes ainsi que divers comportements de santé, les chercheurs constatent un lien étroit entre le manque de sommeil et le risque élevé d’AVC.
Ce sont les résultats qui ont été présentés lors du congrès Sleep tout récemment. D’autres études seront maintenant faites pour approfondir le sujet.