Accidents vasculaires cérébraux

Depuis plusieurs années, de nombreux travaux et études sont faits sur le lien entre la consommation de chocolat et ses bienfaits sur la santé cardiaque.

Il a été démontré que la consommation de chocolat, le noir en particulier, diminuait les risques de troubles cardiovasculaires. Maintenant, nous savons qu’il agit surtout pour prévenir les accidents vasculaires cérébraux (AVC).

Le chocolat diminue la pression sanguine en améliorant la circulation du sang et diminue l’inflammation. Jusqu’à aujourd’hui, peu d’études observationnelles ont été rendues publiques.

19 357 personnes âgées de 35 à 67 ans, sans antécédent d’infarctus et d’AVC, ont participé à ce type d’étude pendant huit ans, mentionne Top Santé.

Les chercheurs ont constaté que ceux qui mangeaient le plus de chocolat avaient une pression artérielle moins élevée, étant ainsi moins exposés aux risques d’infarctus et d’AVC.

Pour la première fois, on constate que l’effet du chocolat est surtout bénéfique contre les AVC comparativement aux infarctus.

De récentes études ajoutent de nouvelles vertus au régime méditerranéen. Après avoir déclaré que ce type d’alimentation réduisait les risques de dépression, de cancer, de maladies cardiaques et de mort prématurée, voilà que celui-ci diminue les risques d’accidents vasculaires cérébraux.

Le médecin et professeur de neurologie Nikolaos Scarmeas, de l’Institut Taub à l’Université de Columbia de New York, présentera ses résultats en avril lors du congrès de l’Académie américaine de neurologie qui se déroulera à Toronto.

Selon la nouvelle recherche, les personnes âgées adeptes de l’alimentation méditerranéenne auraient moins de chances de développer des accidents cardiovasculaires ou des troubles au cerveau.

Ce type d’alimentation privilégie l’huile d’olive extravierge, le riz, les fruits et légumes, l’eau, les œufs, les noix, les viandes maigres, la volaille, les poissons et le fromage. La viande rouge est présente seulement deux ou trois fois par mois.

Dans de précédentes études, on affirmait que le régime méditerranéen réduisait de 40 % les risques de maladies du cœur et de 33 % les risques de cancer de l’estomac.