Il semble que les entreprises auraient tout intérêt à revoir leurs façons de faire afin de répondre aux besoins des parents d’aujourd’hui.
Les résultats complets de cette étude sont parus dernièrement dans l’American Sociological Review.
Il semble que les entreprises auraient tout intérêt à revoir leurs façons de faire afin de répondre aux besoins des parents d’aujourd’hui.
Les résultats complets de cette étude sont parus dernièrement dans l’American Sociological Review.
Selon les résultats d’une équipe de l’Université du Michigan, parus dans Social Science Research, l’accord travail-famille serait plus difficile à atteindre pour les couples non mariés.
Les chercheurs en question ont analysé le cas de 2 300 personnes. Il semble que les conjoints de fait ont plus tendance à occuper des postes moins payants et à devoir composer avec des horaires différents de l’habituel 9 à 5.
Les parents qui vivent selon de tels horaires auraient plus tendance à devenir dépressifs et à ne pas se sentir valorisés. Ils auraient aussi plus de difficultés à concilier le travail et la vie familiale.
Pourtant, les horaires éclatés sont chose de plus en plus commune en Amérique, variant le travail de soir, de week-end ou suivant des horaires irréguliers.
Finalement, le nombre de couples non mariés ayant des enfants étant aussi une chose des plus communes (on les a dénombrés à 2,5 millions en 2009aux États-Unis), d’autres études devront faire le point sur les réels ou possibles effets de cette situation sur les enfants.