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L’accord travail-famille demeure la meilleure solution

Il semble que les entreprises auraient tout intérêt à revoir leurs façons de faire afin de répondre aux besoins des parents d’aujourd’hui.

Selon des chercheurs de l’Université du Minnesota, le meilleur endroit où travailler est celui où l’on peut décider de son horaire et de son lieu de travail. Il s’agit là des résultats d’un sondage réalisé auprès de 600 employés.
 
Les gens aimeraient pouvoir changer leur horaire et le lieu où ils travaillent sans avoir à demander la permission à un supérieur au préalable. Cela est en lien direct avec l’accord travail-famille.
 
Il semble qu’il y ait en effet moins de conflits au sein d’une famille dans ce type d’organisation du travail. La maîtrise de l’horaire pourrait réduire de beaucoup les conflits familiaux inhérents et être bénéfique à la qualité du travail des employés.
 
Encore mieux, les épuisements professionnels auraient baissé de 45 % après que plusieurs aspects de l’emploi aient été améliorés, comme l’organisation et la mise à niveau du salaire.

Les résultats complets de cette étude sont parus dernièrement dans l’American Sociological Review.

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Les conjoints de fait ont plus souvent des horaires éclatés

Selon les résultats d’une équipe de l’Université du Michigan, parus dans Social Science Research, l’accord travail-famille serait plus difficile à atteindre pour les couples non mariés.

Les chercheurs en question ont analysé le cas de 2 300 personnes. Il semble que les conjoints de fait ont plus tendance à occuper des postes moins payants et à devoir composer avec des horaires différents de l’habituel 9 à 5.

Les parents qui vivent selon de tels horaires auraient plus tendance à devenir dépressifs et à ne pas se sentir valorisés. Ils auraient aussi plus de difficultés à concilier le travail et la vie familiale.

Pourtant, les horaires éclatés sont chose de plus en plus commune en Amérique, variant le travail de soir, de week-end ou suivant des horaires irréguliers.

Finalement, le nombre de couples non mariés ayant des enfants étant aussi une chose des plus communes (on les a dénombrés à 2,5 millions en 2009aux États-Unis), d’autres études devront faire le point sur les réels ou possibles effets de cette situation sur les enfants.