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L’acétaminophène risqué durant la grossesse

Une étude réalisée par l’École de psychologie de l’Université Cardiff en Écosse et publiée dans le Journal of American Medicine Pediatrics soulève une certaine inquiétude concernant la consommation d’un médicament très répandu, l’acétaminophène.

Selon cette étude, encore au stade embryonnaire, les futures mamans qui consommeraient durant plus d’un trimestre de leur grossesse de l’acétaminophène augmenteraient les risques que leur enfant développe un trouble hyperkinétique, mieux connu sous le nom de trouble du déficit de l’attention, à compter de l’âge de sept ans.

Pour les chercheurs, il est encore trop tôt pour tirer une sonnette d’alarme auprès du corps médical, mais il est clair que les recherches devront être poussées plus loin. 

D’ici là, il est conseillé de consulter son médecin en cas de doute.

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Évitez à tout prix l’acétaminophène pendant la grossesse

L’étude a été dirigée par Ragnhild Eek Brandlistuen à partir de la Norvège, à l’Université d’Oslo, au département de pharmacologie. L’ampleur de la recherche est notable, alors que les mères de 48 000 enfants norvégiens se sont prêtées au questionnaire.

Les femmes ont été interrogées sur la prise d’acétaminophène pendant la grossesse. Elles étaient questionnées 30 semaines après l’accouchement et 3 ans plus tard, en relation avec le développement de l’enfant.

En se basant sur les réponses, les chercheurs ont pu conclure aisément que les femmes ayant utilisé du Tylenol au moins 28 fois pendant la grossesse avaient toutes des enfants ayant différents retards. Sur le plan de la motricité, entre autres, puis ils commençaient à marcher plus tard, avaient des difficultés à communiquer et avaient des problèmes de langage et de comportement.

Des conséquences qui étaient totalement absentes chez les mères ayant utilisé de l’ibuprofène au lieu de l’acétaminophène. Une recherche qui, selon thebump.com, n’a pas plu au fabricant de Tylenol, Johnson & Johnson.

« L’utilisation à long terme de l’acétaminophène pendant la grossesse augmente le risque de troubles comportementaux de 70 % à l’âge de 3 ans », a indiqué Brandlistuen. Pour le chercheur, il est clair que d’autres recherches doivent emboîter le pas.

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Surdose de médicament en hausse chez les préadolescents

Selon Science World Report, une recherche a mis en lumière des données qui effraient. Dès 10 ou 11 ans, les enfants prennent par eux-mêmes des médicaments qui sont en vente libre comme de l’ibuprofène et de l’acétaminophène.

Or, ils sont trop jeunes pour que les adultes leur fassent confiance, ce que les parents font malgré tout. Le Dr Gaylord Lopez, directeur du Centre Anti-poison, déplore qu’il en soit ainsi. « Conservez les instructions relatives au dosage et lisez les instructions pour vous assurer que vous ne donnez pas 2 médicaments avec le même ingrédient, comme l’acétaminophène »,conseille-t-il.

Lopez demande également aux parents de garder les médicaments « hors de la portée des enfants ». Pour des enfants de 10 ou 11 ans, le problème est qu’ils peuvent s’en procurer facilement ailleurs.

L’objectif requiert plutôt une sensibilisation auprès de nos enfants. Uniquement aux États-Unis, ce sont environ 58 000 enfants qui se retrouvent hospitalisés pour surdose d’ibuprofène ou d’acétaminophène. « Ils sont trop habitués à en prendre contre la douleur ou la fièvre », rapporte encore Lopez.

Soyez donc attentif aux habitudes de vos enfants et avisez-les du danger couru si la posologie n’est pas respectée.

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L’acétaminophène et l’alcool ne font vraiment pas bon ménage

On sait depuis longtemps qu’il ne faut pas mélanger médicaments et alcool, la plupart du temps, mais cette règle s’applique également aux médicaments retrouvés en vente libre et qui semblent de prime abord inoffensifs.

Du coup, rapporte The National Library of Medicine, plusieurs personnes consomment régulièrement ou quotidiennement du Tylenol pour de multiples raisons, et boivent tout de même quelques verres d’alcool à l’occasion.

Or, selon une étude récemment publiée, la quantité d’acétaminophène ou d’alcool ingurgitée ne serait pas gage de sécurité. Selon des chercheurs américains, qui présentaient leurs conclusions lors de la rencontre annuelle de l’American Public Health Association à Boston, une posologie normale de Tylenol et une faible quantité d’alcool sont suffisantes pour causer de sérieux problèmes de santé.

Notamment aux reins, rapportent les chercheurs impliqués dans l’étude en question, alors que les risques de déficience ou d’insuffisance rénale augmenteraient de 123 % dans ces circonstances données.

Les chercheurs s’inquiètent d’autant plus que les statistiques de consommation d’acétaminophène et d’antidouleurs sont en hausse depuis quelques années. 

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L’acétaminophène peut soulager la douleur des bébés qui subissent une chirurgie

Lorsque les nouveau-nés et bébés doivent subir une chirurgie, les médecins utilisent souvent des opiacés pour contrôler la douleur, mais ceux-ci peuvent avoir des effets secondaires très néfastes chez cette population de patients, par exemple la détresse respiratoire.

Des chercheurs néerlandais ont donc testé l’efficacité de l’acétaminophène comme analgésique de remplacement sur 71 bébés de moins d’un an qui ont subi une chirurgie thoracique ou abdominale majeure.

Tous ces petits patients ont reçu une dose de morphine à la fin de leur chirurgie, puis ils ont reçu soit plus de morphine, soit de l’acétaminophène par intraveineuse. Si les bébés semblaient trop souffrir, ils recevaient une dose de morphine « compassionnelle ».

Deux jours après la chirurgie, les bébés du groupe de l’acétaminophène avaient pris en moyenne 121 microgrammes de morphine par kilogramme de poids, comparativement à 357 microgrammes pour ceux dans le groupe de la morphine. Les marqueurs de douleur et les effets secondaires étaient similaires dans les deux groupes.

L’auteure de l’étude, la Dre Saskia De Wildt, a affirmé dans un article du Journal of the American Medical Association que « l’acétaminophène par intraveineuse est une solution intéressante en tant qu’analgésique de première ligne pour les nouveau-nés et les bébés », selon Med Page Today.

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Des flacons d’acétaminophène dangereux pour les enfants

Distribués notamment dans les Sobeys et les IGA, ce sont les flacons de 120 comprimés d’acétaminophène extra-puissant de 500 mg de marque Compliments qui font l’objet de ce rappel.

Santé Canada avise la population que les bouchons de ces flacons ne détiennent pas le fameux mécanisme de sécurité qui fait en sorte que l’enfant ne peut ouvrir facilement le contenant.

Cela engendre par le fait même une erreur d’étiquetage sur le produit.

Santé Canada rappelle que si un enfant de moins de 12 ans consomme en quantité importante ce genre de comprimés et fait une surdose, cela peut provoquer des dommages irréparables au foie, causer une insuffisance hépatique et même conduire à la mort.

Mentionnons que cette semaine, un sondage de l’Université du Michigan Mott Children’s Hospital National, réalisé auprès de parents et de grands-parents d’enfants âgés de 1 à 5 ans, a révélé que 23 % des grands-parents et 5 % des parents avouent ranger des médicaments d’ordonnance, parfois même faciles à ouvrir, dans des lieux accessibles aux petits.

En ce qui concerne les médicaments en vente libre, 18 % des grands-parents et 8 % des parents ont déclaré faire la même chose.

Aux États-Unis, il y aurait un enfant admis à l’hôpital toutes les 10 minutes pour une intoxication avec des médicaments sous prescription ou en vente libre.

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Les médicaments et la respiration

Les enfants d’âge préscolaire seraient plus à risque de souffrir d’une respiration sifflante si leur mère a pris de l’acétaminophène durant la grossesse ou s’ils ont reçu des antibiotiques peu après leur naissance.

Des chercheurs viennent de mettre ces données en comparaison avec la supposition que manger du poisson avant l’âge de neuf mois diminuait le risque de ce problème respiratoire.
 
Au total, ils ont évalué des données concernant 44 96 enfants suédois nés en 2003. Elles comprenaient des éléments portant sur l’état de santé des jeunes sujets à différents âges (à 6 et 12 mois, puis à 4 ans et demi), sur la grossesse et sur l’allaitement, entre autres.
 
Il s’est avéré que les enfants avec un historique familial de maladie atopique étaient 70 % plus enclins à avoir une respiration sifflante. Ce risque se trouvait doublé si des antibiotiques avaient été pris par l’enfant peu après sa naissance.
 
D’autre part, manger du poisson aurait diminué les risques de respiration sifflante chez les sujets de 40 %.
 
Les résultats complets de cette analyse comparative viennent de paraître dans la nouvelle édition d’Acta Peadiatrica.
 
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Vaccination des poupons : le moment opportun

Selon une étude publiée dans Pediactrics, les poupons qui ont été vaccinés dans l’après-midi et qui ont fait de la fièvre dormaient mieux au cours des 24 heures suivantes que ceux vaccinés le matin et ceux qui n’avaient pas été fiévreux.

On suggère donc que la suppression de la réponse immunitaire du corps par un agent antipyrétique (de l’acétaminophène) pourrait agir contre la venue du sommeil.

D’autre part, la fièvre est reconnue comme un signe de la réponse immunitaire. La durée du sommeil et l’augmentation de la température corporelle après un vaccin peuvent donc être considérées comme des indicateurs de la réponse des anticorps.

L’étude en question a porté sur 70 poupons, dont certains avaient reçu de leur mère une dose d’acétaminophène. Les bébés étaient âgés en moyenne de 9 semaines, et leur poids de naissance moyen avait été de 3,4 kg.

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L’acétaminophène, à éviter pour les asthmatiques

D’ici à ce que les risques présumés de l’acétaminophène soient éliminés, on conseille fortement d’éviter d’en donner à des enfants asthmatiques. Une association cause à effet vient d’être établie entre le médicament et la maladie respiratoire.

En effet, on lit dans Pediatrics qu’un récent rapport fait état d’une augmentation de la prévalence de l’asthme causée par l’administration d’acétaminophène chez l’enfant.

La relation ici présentée a été remarquée malgré l’âge des enfants, leur situation géographique et leur culture, notamment.

Il existerait un lien quant à la dose donnée et ladite prévalence, car le développement de l’asthme a souvent coïncidé avec le début de la prise d’acétaminophène. Le mécanise biologique d’une enzyme (glutathion) des voies aériennes muqueuses pourrait être en cause.

Jusqu’à nouvel ordre, on évite donc de donner de l’ibuprofène et de l’acétaminophène à un enfant asthmatique.

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Le Tylenol pour enfants demeure en vente au Canada

Selon La Presse, le Tylenol pour nourrissons sous forme de gouttes et contenant de l’acétaminophène sera toujours en vente au Canada. Rappelons que l’acétaminophène est un analgésique utilisé pour soulager les maux de tête, la fièvre et les maux de gorge.

Le fabricant de ce médicament, Johnson & Johnson, a annoncé récemment qu’il cesserait de le produire aux États-Unis, évitant ainsi tout risque de surdose. Un seul médicament sera offert à tous les enfants de 12 ans et moins. Mentionnons que plusieurs entreprises ont emboîté le pas à Johnson & Johhnson.
 
Or, tout restera inchangé au Canada. La raison en est que la concentration en acétaminophène ainsi que la posologie des médicaments pour bébés et enfants font l’objet d’une réglementation ici. Santé Canada est responsable de les réglementer et leur étiquetage a été revu en 2009.

L’acétaminophène est la première cause d’insuffisance hépatique aux États-Unis. Plusieurs milliers de personnes se rendent chaque année à l’hôpital en raison d’une surdose.