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L’acide folique pourrait réduire le risque d’autisme

Une nouvelle étude de l’Institut de Santé Publique de Norvège a analysé les données provenant de 85 176 enfants nés entre 2002 et 2008. Environ 72 % des mères avaient pris un supplément d’acide folique, à partir d’au moins un mois avant la conception de leur enfant, et jusqu’à la fin du premier trimestre de grossesse.

À la fin de la période de suivi, 270 enfants avaient reçu un diagnostic de TSA, incluant 114 enfants autistes, 56 qui avaient le syndrome d’Asperger, et 100 qui avaient plutôt la forme de trouble envahissant du développement non spécifié (TED-NS).

Les chercheurs ont ajusté les données pour tenir compte des facteurs externes comme l’âge de la mère et le niveau d’éducation de celle-ci, mais le risque de TSA est demeuré fortement associé à l’acide folique.

Les chercheurs ont noté que la prise d’acide folique était plus fréquente chez les femmes provenant de milieux plus aisés et prenant bien soin de leur santé, ce qui pourrait être associé à des facteurs de risque résiduels non mesurés.

« L’étude n’établit pas une relation de causalité entre l’acide folique et le TSA, mais procure tout de même une base que nous pourrions appliquer à d’autres analyses et que nous pourrions pousser plus loin dans de futures études », a expliqué l’auteur, le Dr Pal Suren, selon Med Page Today.

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Les femmes enceintes devraient prendre de la vitamine B12 avec de l’acide folique

Un expert irlandais a émis une recommandation s’adressant aux femmes enceintes ou qui veulent concevoir, affirmant que celles-ci devraient prendre un supplément de vitamine B12 pour réduire encore plus leurs chances d’avoir un bébé qui souffre de spina bifida ou d’autres problèmes du système nerveux central.

Les médecins recommandent déjà aux femmes qui pensent être enceintes prochainement et celles qui sont dans le premier trimestre de leur grossesse de prendre un supplément d’acide folique quotidien.

Combiner les deux vitamines serait encore plus efficace que l’acide folique (une autre forme de vitamine B) pris seul, avise cet expert en recherche sur les vitamines, le Dr John Scott.

« Il nous semble clair qu’en plus d’un supplément d’acide folique de 400 mg par jour, prendre un supplément de vitamine B12 de 2,5 mg apporte une réduction supplémentaire significative des anomalies du tube neural », a-t-il conclu dans son rapport, selon le Daily Mail.

Environ un bébé sur 1000 naît encore avec une anomalie du tube neural, et les chercheurs estiment que l’acide folique pourrait prévenir 72 % de ces cas.

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De l’acide folique dans le pain?

Pour éviter ou tenter de réduire les risques que bébé naisse avec le spina-bifida, les spécialistes conseillent fortement aux femmes qui désirent tomber enceintes ou celles qui le sont de prendre un supplément quotidien de 400 mg d’acide folique pour prévenir les anomalies congénitales.

Ce supplément en vitamine B vient combler un manque que les femmes ne réussissent souvent pas à atteindre avec les fruits, légumes frais ou autres sources de folate.

Alors que l’acide folique ne peut nuire à quiconque, et encore moins aux futures mères et leurs bébés, des spécialistes suggèrent que le pain contienne dorénavant de cette vitamine.

Au Chili, les naissances d’enfants atteints de malformations du tube neural étant fréquentes, le ministère de la Santé a exigé que l’acide folique ou des substances folates soient ajoutés à la farine, indique un article du Daily Mail.

Mentionnons que le spina-bifida, provoqué par une lacune en acide folique, est la condition la plus commune d’un groupe de troubles connus comme des défauts du tube neural. Si le tube neural ne se ferme pas complètement au cours des premières semaines de la grossesse, le cerveau et la moelle épinière ne seront pas complètement formés et des handicaps physiques, retards de développement et de l’intestin et problèmes de contrôle de la vessie peuvent survenir.

Il semblerait que des preuves anecdotiques suggèrent que les femmes qui ont un régime pauvre ou encore qui ont conçu un bébé durant l’hiver sont plus à risque de donner vie à un bébé avec le spina-bifida.

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L’acide folique peut réduire les risques de cancers pédiatriques

Depuis quelques années, l’acide folique était connu pour réduire le risque d’anomalies du tube neural chez les nouveau-nés.
 
Voilà que des chercheurs des universités de Washington et du Minnesota viennent enrichir les bienfaits de l’acide folique en période prénatale, en démontrant son incidence sur le cancer du rein (tumeur de Wilms) et les tumeurs cérébrales (tumeurs primitives neuro-ectodermiques PNET) chez l’enfant.
 
Pour en arriver à cette conclusion, les chercheurs ont remarqué qu’après 1992, moment où l’apport de 400 microgrammes d’acide folique par jour pour la future mère a été recommandé par la FDA, les taux d’incidence des tumeurs de Wilms et PNET avaient diminué.
 
Les effets bénéfiques d’un apport de vitamine B9 dans l’alimentation ou en suppléments ont surtout été constatés pour les enfants nés à partir de la fin des années 90, révèle l’étude parue dans la revue Pediatrics qui s’est basée sur les données de 8829 bambins enregistrées au National Cancer Institute entre 1986 et 2008.
 
Un surplus d’acide folique chez la femme en âge de procréer n’a pas permis de prouver la réduction des risques de cancers pédiatriques autres que ceux du rein et du cerveau.
 
Les chercheurs précisent toutefois que la bonne nouvelle est que si l’acide folique ne diminue pas les risques d’autres cancers, il ne les augmente pas non plus.
 
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Quand diabète rime avec malformations congénitales

Les femmes enceintes atteintes de diabète sont presque quatre fois plus à risque de donner naissance à un bébé qui aura une malformation congénitale, comme les maladies cardiaques et le spina-bifida.

Environ un bébé sur 13 subira ce sort lorsqu’il a une mère qui est touchée par un diabète de type 1 ou 2, si l’on compare à un bébé sur 50 pour ceux qui n’ont pas de mères diabétiques.

Cas moins alarmant cependant, la grande majorité des grossesses chez les femmes atteintes de diabète ne comportent aucun défaut de naissance, selon les spécialistes.

Selon les médecins de Charity Diabetes au Royaume-Uni et l’étude menée par des chercheurs de l’Université de Newcastle et du Bureau de la maternité de l’Enquête régionale, les femmes atteintes de diabète devraient demander des conseils pour le bon contrôle du glucose dès leur premier examen chez le médecin.

De plus, les spécialistes suggèrent aux femmes diabétiques de se protéger sexuellement, tant et aussi longtemps qu’elles n’ont pas prévu de prendre des suppléments d’acide folique en prévision de tomber enceintes.

Ils expliquent : « C’est parce que certains médicaments pris par des personnes diabétiques de type 2 peuvent causer des problèmes dans le développement du fœtus que des doses plus élevées d’acide folique sont nécessaires pour les femmes atteintes de diabète, afin de réduire le risque de complications telles que le spina-bifida ».

Pour les spécialistes, les risques de malformations congénitales peuvent être grandement réduits si des précautions sont prises tôt.

Les femmes qui développent un diabète gestationnel pendant la grossesse n’ont pas été ciblées par cette étude.

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L’acide folique influe sur le comportement

On lit sur Medical News Today que des experts soutiennent un nouvel avantage possible à la prise d’acide folique durant la grossesse. Il semble que ce nutriment aurait un effet sur le comportement de l’enfant à naître.

Nous savions déjà que l’acide folique jouait un rôle majeur quant à la prévention des anomalies de la moelle épinière (le spina-bifida, par exemple). On avance désormais qu’il pourrait aider à prévenir les problèmes de comportement chez les tout-petits.

L’absence d’acide folique en début de grossesse serait même liée au développement de problèmes affectifs ou d’un comportement d’autorejet lorsque le bébé a 18 mois, mentionne-t-on.

Ces résultats proviennent de projets d’études ayant porté sur la nutrition de la femme enceinte et ses répercussions sur les capacités intellectuelles de l’enfant.

Il semblerait que d’autres nutriments – acides gras oméga 3, vitamine B, fer, entre autres – ont aussi un effet sur les capacités mentales de l’enfant à long terme.

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Effet de l’acide folique sur le langage

On viendrait de relever un autre avantage de la prise d’acide folique durant la grossesse. Sa prise par suppléments, quatre semaines avant la conception et huit semaines après celle-ci, serait liée à un moindre risque de retard de langage sévère chez l’enfant de trois ans.

C’est ce qu’avance une récente étude de l’Institut de santé publique de la Norvège venant de paraître dans JAMA. Ce serait la première fois que le développement neurologique après la naissance est analysé quant à la prise d’acide folique.

Jusqu’ici, on avait entre autres démontré que cette vitamine (B9) réduisait le risque de malformation du tube neural chez le bébé.

Dans le cadre de cette recherche, près de 39 000 enfants ont été suivis (en parts égales de garçons et de filles, environ). Aucune association, par ailleurs, n’a pu être établie entre la prise d’acide folique par la mère et des retards de la motricité chez les enfants de trois ans.

Lors de prochaines investigations, on vise à établir un lien causal entre la vitamine B9 et les risques de retard de langage.

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L’acide folique et la réussite vont de pair

Puisque les aptitudes cognitives sont en progression durant toute l’enfance et l’adolescence, une alimentation riche en acide folique est encore une fois recommandée. Des spécialistes de l’Université Orebro, en Suède, appuient l’hypothèse de plus en plus acceptée.
 
Se retrouvant dans les fruits, les légumes, le jus, le foie et le pain à grains entiers, entre autres, l’acide folique soutiendrait le bon développement du cerveau. Encore une fois, comme le mentionne Pediatrics, on vante les mérites de cette vitamine (B9) quant à la réussite scolaire.
 
On ne peut, pour l’instant, expliquer de manière concrète quelles sont les aptitudes les plus touchées par l’absorption d’acide folique, et de nombreux autres facteurs influencent aussi la réussite à l’école, mais un lien certain est noté.
 
Aucune autre étude n’aurait jusqu’ici démontré si clairement le rôle de la vitamine B9 dans le développement cérébral chez l’enfant et l’adolescent.
 
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Dangers possibles de l’acide folique

Toutes les femmes enceintes doivent prendre de l’acide folique pour la santé de leur bébé. Cette vitamine prévient la spina-bifida, les malformations et permet de maintenir le bon développement du cerveau du fœtus.

Or, des chercheurs de l’Université McGill ont découvert qu’une absorption excessive d’acide folique pouvait causer des problèmes durant la grossesse.

L’étude en question a porté sur des rates enceintes. On leur a administré 20 fois plus d’acide folique que la dose quotidienne de 8 mg par jour.

Le muscle cardiaque des fœtus s’en est trouvé plus mince. De plus, les bébés nés lors de cette recherche présentaient des malformations de naissance ainsi qu’une plus petite ossature.

La Dre Rima Rozen, directrice de ce projet de recherche, a affirmé que même si l’acide folique est essentiel, il n’y a aucune raison d’en consommer trop, comme nous pouvons le lire dans le National Post.

Bien entendu, il ne faut pas cesser de prendre de l’acide folique si l’on est enceinte, car ses bienfaits sont véridiques. Toutefois, il faut savoir qu’une trop faible ou trop forte dose peut causer une interruption de grossesse.

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L’acide folique inefficace quant aux naissances prématurées

Nous savons que toutes les femmes enceintes ou qui prévoient l’être sont fortement encouragées à prendre de l’acide folique. Cette substance maintient la croissance des nouvelles cellules. Un manque d’acide folique cause des problèmes prénataux à l’enfant, dont ceux touchant le tube neural et la moelle épinière.

L’acide folique n’empêchera pourtant d’aucune façon une naissance prématurée, selon une récente étude norvégienne ayant porté sur 73 000 femmes et rapportée par Healthday News. De 1996 à 2006, on a répertorié 955 cas de naissance prématurée parmi les femmes qui avaient pris de l’acide folique.

Ces nouveaux résultats contredisent une recherche américaine de 2008 qui soutenait entre autres que la consommation d’acide folique 1 an avant la naissance réduisait les risques d’une grossesse écourtée.

La différence entre ces résultats pourrait s’expliquer par des raisons génétiques ou la façon même dont ces deux études ont été réalisées. Par exemple, dans l’étude américaine, les participantes étaient des femmes qui avaient pris de l’acide folique un an avant la naissance de leur enfant.

Malgré ces nouvelles données, nous rappelons qu’il est primordial pour une femme de prendre de l’acide folique durant la grossesse sur une base quotidienne afin de prévenir les déficiences du tube neural et de la moelle épinière.