Catégories
Uncategorized

Manger du poisson stimule la mémoire de 15 %

Il est déjà reconnu que manger des poissons gras comme le saumon ou la truite est bénéfique pour le cerveau. Une nouvelle étude affirme que les acides gras oméga-3 contenus dans ces aliments peuvent stimuler la mémoire de 15 %, rapporte le Daily Mail.
 
Ces nouveaux résultats démontrent une fois de plus qu’une alimentation riche en poisson préserve la santé du cerveau et aide à prévenir la démence.
 
Pendant six mois, 176 personnes ont reçu des suppléments d’acides gras oméga-3 que l’on retrouve dans les poissons. On a évalué leur mémoire et leurs capacités cognitives. Après six mois, leur mémoire s’était améliorée d’au moins 15 %.
 
On croit que les acides gras (DHA) sont la clé pour prévenir les maladies dégénératives du cerveau, comme l’Alzheimer qui est la forme la plus commune de démence.
 
Les DHA se concentrent surtout dans le cerveau et sont essentiels à sa structure et à son fonctionnement.
 
Catégories
Uncategorized

Le poisson bon contre la démence

Si vous mangez du poisson régulièrement, vous avez moins de risques de souffrir de démence plus tard. C’est ce qui ressort d’une étude rapportée par le Daily Mail.
 
Les bénéfices des oméga-3, acides gras que l’on retrouve beaucoup dans les poissons, ont déjà été prouvés à maintes reprises.
 
Toutefois, les chercheurs mentionnent que les oméga-3 n’améliorent pas les performances cognitives, mais qu’ils augmentent le flux sanguin vers le cerveau. Cela réduirait les risques de démence, de déclin cognitif et d’autres troubles mentaux chez les personnes âgées.
 
Maintenant, les scientifiques souhaitent mieux comprendre le mécanisme et les effets des oméga-3 sur le débit sanguin chez les personnes en bonne santé, afin que leur découverte puisse profiter aux personnes avec des problèmes cognitifs.
 
Comme la population est vieillissante, on ne cesse de pousser les recherches, car on s’attend à ce qu’il y ait de nombreux cas de démence dans les années à venir.
 
Catégories
Uncategorized

Oméga-3 et grossesse : prévenir la dépression

Une récente recherche parue dans Nature Neurscience a démontré qu’une trop faible quantité d’oméga-3 dans le cerveau influence négativement la transmission nerveuse, et ce, dès le moment où le fœtus se trouve dans le ventre de sa mère.

On a en effet pu remarquer chez des souris qu’une telle carence affaiblissait le fonctionnement des neurones reliés aux comportements anxieux et dépressifs.

Les oméga-3, des acides gras, jouent un rôle essentiel dans le développement du cerveau depuis le passage dans l’utérus jusqu’à l’adolescence.

Dans la présente expérience ayant porté sur des souris, on a pu statuer que la carence en oméga-3 influence deux parties du cerveau, soit le cortex préfrontal et le noyau accumbens. Ces parties sont responsables de la régulation émotionnelle et de la motivation, entre autres.

Rappelons finalement que les oméga-3 ne sont pas fabriqués par le corps et doivent être fournis par l’alimentation. Leur déficit est courant dans les pays industrialisés. On recommande de varier l’alimentation plutôt que de prendre des gélules.