L’acide rétinoïque, un dérivé de la vitamine A, contenu dans les carottes et les patates douces pourraient aider à freiner la progression des cellules cancéreuses du sein à un stade précoce de la maladie. Passé ce stade, il n’y aurait plus aucune efficacité, mentionne le Daily Mail.
Cet acide, qui a aussi des effets rajeunissants sur la peau, affecte directement la croissance cellulaire et la prolifération de celle-ci.
Cette découverte ouvre donc la voie à la création de nouveaux traitements possibles à base d’acide rétinoïque qui a des propriétés anti-cancer.
En fait, l’acide rétinoïque entre en interaction avec le gène RAR-beta, ce qui déclenche une cascade d’effets biologiques ayant pour résultat de stopper la maladie lorsqu’elle est encore au tout début.