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Le sexting : une forme de communication répandue chez les adolescents

Les chercheurs du campus médical de l’Université du Texas ont associé l’échange de sextos à un comportement plus actif sexuellement chez les adolescents.

Il a été observé que l’échange de photos exposant la nudité précédait dans certains cas les relations intimes. Dans d’autres cas, il encourageait l’ouverture sexuelle ou indiquait que le jeune est actif ou espère être actif sexuellement.

« Nous savons désormais que cette pratique est très commune », a affirmé Jeff Temple. Cela fait désormais partie des mœurs des adolescents, tout comme l’utilisation de drogue ou d’alcool. »

Selon Temple, l’équilibre mental n’a rien à voir avec le sexting, pas plus qu’il n’est lié à des pratiques sexuelles à risque. « Cela fait partie du développement de l’adolescent. »

La recherche est encore en cours et s’étend sur une période de 6 ans. Les jeunes interrogés remplissent de façon périodique des questionnaires détaillés sur leur propension au sexting, leurs activités sexuelles et autres comportements reliés.

Le seul bémol, c’est que la pratique encourage les jeunes du premier cycle du secondaire à faire de même.

Science World Report mentionne que l’étude a été publiée dans la revue Pediatrics.

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Les enfants aimeraient 1 heure de plus à l’école pour pratiquer un sport

L’étude coïncide avec le lancement de la Journée sportive ultime de Weetabix, rapporte Female First. De ceux qui ont répondu au sondage, près de la moitié (47 %) affirmaient qu’il faudrait plus de sport en milieu scolaire. Ceux-ci étaient même prêts à rester plus longtemps à l’école.

Les résultats démontrent également que cette initiative serait bénéfique chez 60 % des parents. Ceux-ci affirment que voir leurs enfants pratiquer un sport les encouragerait à y participer, ou du moins à faire plus d’activité physique.

D’autre part, si les activités sportives étaient à nouveau prioritaires dans les écoles, le petit déjeuner des enfants devrait être modifié en conséquence pour leur fournir l’énergie nécessaire. Weetabix a récolté des données selon lesquelles la moitié des enfants sautait au moins 1 déjeuner par semaine, et 15 % ne déjeunaient jamais.

La campagne sportive de Weetabix est associée avec le double médaillé d’or olympique Mo Farah. « En tant qu’athlète et, plus important encore, en tant que père, je sais à quel point il est important d’encourager les enfants à être actifs. »

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Impact positif des aires de jeux naturelles chez les enfants

Selon medicalnewstoday.com, ces enfants sont également plus créatifs et utilisent donc plus leur imagination que les autres. Les faits sont rapportés par Dawn Coe, professeure adjointe du Department of Kinesiology, Recreation, and Sport Studies aux États-Unis. Il s’agit d’ailleurs de la première étude portant sur le sujet.

« Les aires de jeux aux structures rappelant la nature ont éclos un peu partout à travers le pays, mais rien de concluant sur l’impact n’avait été fait à ce jour », affirme Dre Coe. « Maintenant, nous savons. »

L’étude a débuté en juin 2011, alors que Dre Coe relevait l’activité physique des enfants utilisant les glissades de plastique et les balançoires en métal du UT Early Learning Center. Chaque utilisation de la glissade, l’intensité de l’activité physique, le temps passé sous le porche pour éviter le soleil, tout était pris en considération.

Par la suite, de grandes rénovations ont eu lieu au Learning Center. Des glissades faisant partie de la pente du terrain, de petits arbres et une crique artificielle, en plus de rochers et de fleurs, ont été intégrés à l’aire de jeu.

Cary Springer, une statisticienne de l’Office of Information Technology, est revenue sur les lieux pour assister Dre Coe. Les données par la suite recueillies ont démontré des changements significatifs.

Les enfants avaient plus que doublé leur temps de jeu, puis sautaient régulièrement en bas des buches, arrosaient les plantes, puis développaient des mouvements faisant travailler beaucoup plus la structure osseuse et musculaire.

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Tabagisme passif – nouvelle étude in utero inquiétante

Une nouvelle étude menée en Espagne, à la Rovira i Virgili University, démontre que même si la mère n’est pas fumeuse, le simple fait qu’elle soit exposée à la fumée passive créera une diminution des capacités physiques, motrices et sensorielles du bébé.

Selon les chercheurs du Behaviour Evaluation and Measurement Research Centre (CRAMC), cités par santelog.com, il ne s’agit pas de risque, mais de certitude. Ces effets ont été mesurés sur 282 nouveau-nés, de mères fumeuses ou exposées passivement.

On sait déjà que le tabagisme pendant la grossesse peut conduire au trouble du déficit de l’attention avec hyperactivité (TDAH), à l’obésité, aux troubles d’apprentissage et à l’asthme. Les spécialistes sensibilisent déjà grandement les femmes, ne serait-ce qu’en leur indiquant que 15 % de la fumée du tabac, lorsqu’elles fument, se rend directement au fœtus.

Les auteurs de la recherche expliquent dans la revue Early Human Development : « Les nouveau-nés exposés in utero à la nicotine, que ce soit de manière active ou passive, montrent des signes de troubles dans leur développement neurocomportemental, ce qui pourrait être un indicateur de pathologies, indépendamment des caractéristiques sociodémographiques, obstétricales et pédiatriques ».

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Allaitement et grossesse : la caféine ne nuit pas au sommeil de bébé

Une étude brésilienne de l’Université fédérale de Pelotas, qui paraîtra en mai dans la revue Pediatrics, affirme que bien que la caféine soit connue pour déranger le sommeil chez les adultes, elle ne semble pas affecter celui des nourrissons qui ont une mère « accro à la caféine ».

Pour utiliser le terme « accro », les spécialistes estiment que la personne doit boire 300 milligrammes (2 à 4 tasses) ou plus d’une boisson contenant de la caféine par jour. Cette donnée était à l’image d’une femme sur cinq ayant participé à l’étude.

C’est donc en analysant les habitudes de sommeil de 4200 bébés à leur naissance et les réponses des nouvelles mères à un questionnaire trois mois plus tard que les chercheurs sont arrivés à ce constat.

Les chercheurs ont étudié l’effet de deux boissons, le café et le thé chaud.

Le nombre d’heures de sommeil et le nombre de fois que l’enfant se réveillait durant la nuit ont été pris en considération. Pour qualifier une activité nocturne perturbée, il fallait que le bébé se réveille au moins trois fois.

Les chercheurs ont confirmé que les raisons données par les mères concernant le réveil fréquent et l’analyse ne pouvaient pas confirmer une cause à effet entre le café et les troubles du sommeil chez les petits.

Les experts expliquent que la caféine, bien qu’elle soit un sujet préoccupant, n’a jamais été un cas alarmant comme la consommation de tabac ou de drogues durant la grossesse ou l’allaitement.

On suggère tout de même aux femmes d’éliminer ou de réduire leur consommation de café à une tasse par jour durant cette période, car ceci demeure tout de même « un stimulant du système nerveux central qui peut augmenter le rythme cardiaque du bébé in utero et causer une certaine détresse ».

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Le recul de l’heure nuit aux enfants

On lit dans le Journal of Physical Activity and Health que le passage de l’heure avancée à l’heure normale aurait des désavantages pour la santé des enfants. Il semble que la diminution des heures d’ensoleillement ait un impact sur l’ampleur de l’exercice pratiqué par ces derniers.

Il semble que les enfants passeraient plus de temps à jouer à l’extérieur si la lumière du jour n’était pas diminuée.

Pour tirer ces conclusions, on a suivi 325 enfants dans leur routine quotidienne durant plus de 800 jours, soit à travers les quatre saisons de l’année. Il en est ressorti que les enfants étaient plus actifs quand les journées comprenaient plus de 14 heures d’ensoleillement.

De plus, lors des longues journées, les enfants avaient passé 22 % plus de temps à l’extérieur, à y jouer. Lorsque les jours sont devenus plus courts, leur temps passé dehors a diminué de 13 %.

Cette observation pourrait avoir un impact sur de futures mesures à prendre pour promouvoir l’activité physique et pour contrer l’épidémie d’obésité actuelle.

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Enfant et télé : les parents à la rescousse

Il semble que le surpoids et l’obésité peuvent être évités chez l’enfant si la mère et le père proposent des activités sportives au lieu de le laisser devant la télévision.

Cette influence serait tout aussi efficace si les parents posent des actions positives quant à l’alimentation de leur progéniture.

Précisément, le temps d’écoute de la télévision pourrait diminuer de près d’une heure par jour.

Ce sont là les conclusions d’une récente étude publiée dans le Medicine & Science in Sports & Exercise.

Il s’agit d’une recherche menée conjointement par les universités de Wollongong and Newcastle en Australie. Elle a porté sur 165 enfants âgés de 5 à 9 ans et faisant tous de l’embonpoint.

Dans l’ensemble, après 6 mois, les participants regardaient en moyenne la télé 55 minutes. Après 1 an, la moyenne était de 39 minutes.

Ce qui apparaît comme le plus durable et efficace est bien l’activité physique. On ne peut donc que constater encore une fois l’influence du parent sur le comportement de son enfant.

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Peu d’enfants bougent suffisamment même en pratiquant un sport

Une récente étude américaine nous apprend que seul le quart des enfants pratiquant des sports organisés y comble ses besoins quotidiens en activité physique.

Rappelons que le temps nécessaire d’exercices est de 90 minutes au Canada et de 1 heure aux États-Unis.

Parue dans Archives of Pediatrics and Adolescent Medicine, cette étude de l’Université de San Diego a porté sur 200 enfants de 7 à 14 ans.

Ils ont tous été observés durant leur entraînement de soccer, de baseball ou de balle molle et un accéléromètre a permis de mesure leur degré d’activité physique.

De nombreux parents seront surpris d’apprendre que les enfants bougent beaucoup moins qu’ils ne le croient en faisant partie d’une équipe sportive.

En fait, 30 minutes de la période d’entraînement sont au départ jugées complètement inactives, car les enfants écoutent les consignes de leur entraîneur.

Les adhésions aux équipes sportives sont en augmentation, mais ces chercheurs affirment que les attentes des parents sont exagérées.

D’autres bienfaits de la participation à une équipe devraient donc être mis de l’avant, comme le développement des capacités et l’occasion de se faire des amis, par exemple.