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La gentillesse rendrait plus heureux

Ah! Le karma. Cette notion qui promet que chaque geste aura sa conséquence, que l’on récolte ce que l’on sème, et que le bien engendre le bien et le mal, le mal.

S’il s’agit d’une philosophie bien reconnue et fort véridique pour bien des gens, n’allez pas compter sur la communauté scientifique pour corroborer ce genre de théorie.

Voilà qu’à la surprise totale, certains chercheurs se sont penchés sur la variation du bonheur en fonction de nos actions, rapporte The National Library of Medicine, plus précisément l’impact de nos bonnes actions sur notre bonheur.

Ainsi, effectuer de beaux petits gestes altruistes permettrait d’être plus heureux, selon Sonja Lyubomirsky, professeure en psychologie à l’Université de Californie, qui étudie le phénomène du bonheur depuis plus de 20 ans maintenant.

Pour elle, il est clair que des actions positives engendrent des émotions tout aussi positives, et ainsi de suite. Elle précise également que le dosage de ces actions et activités est un facteur important, et une variable.

Aussi, répéter la même action finirait par atténuer son effet « bonheur ». Il faudrait donc varier nos gestes de générosité et de gentillesse, et en effectuer le plus souvent possible.

Étrangement, elle note que le meilleur rapport gentillesse/bonheur est observé chez les gens qui font une bonne action de façon hebdomadaire.

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Réduction du sel dans votre alimentation : le défi est lancé!

L’American Heart Association/American Stroke Association lance un défi aux Nord-Américains qui aimeraient tenter de réduire leur consommation de sel quotidienne.

On en parlait récemment, les études alarmistes concernant les quantités astronomiques de sel dans notre alimentation déferlent et nous lancent des signaux inquiétants.

Au lieu de poursuivre dans la même veine et de s’en tenir aux études et sermons, l’association américaine décide d’emprunter la voie de la proactivité, rapporte www.nlm.nih.gov.

Ainsi, elle lance le défi Sodium Swap Challenge, qui invite depuis hier (7 janvier) les Nord-Américains à traquer les aliments qui contiennent le plus de sel, ce que l’association appelle The Salty Six (Les Six Salés).

Ce dangereux sextuor comprend notamment les charcuteries, les pains, les pizzas, les frites et les aliments fabriqués en usine.

Le défi est simple : réduire à 1500 milligrammes maximum votre consommation de sel par jour. L’événement dure trois semaines, et il est possible d’échanger sur le Web vos impressions et anecdotes avec les autres participants au défi.

Le sel est défini comme l’un des principaux ennemis de la santé en Amérique, et les autorités en la matière urgent les citoyens à prendre des actions au quotidien.

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Penser avant de manger, ça marche

Il existe une panoplie de trucs et conseils sur la nutrition, en plus des sempiternelles rengaines à propos des fruits, des légumes et de l’exercice régulier.

Voilà que www.nlm.nih.gov rapporte un conseil qui pourrait s’avérer l’un des plus importants de tous, quoique si simple qu’on l’oublie trop souvent. Il s’agit de penser avant de manger!

Les anglophones appellent le phénomène de manger sans réfléchir le « mindless eating », que l’on pourrait traduire par « la nutrition irresponsable ».

Par là, on entend qu’aucun questionnement n’est effectué avant la consommation d’aliments, qu’aucun processus de réflexion n’est fait avant de porter la fourchette à sa bouche.

On conseille plutôt de se demander d’abord si l’on a vraiment faim, la plupart des collations et repas devenant trop fréquents et lourds dans notre mode de vie.

De plus, évitez de vous créer des limites, des impositions, mais misez surtout sur la modération et l’incorporation d’un régime alimentaire quotidien sain, ce qui vous permettra de « tricher » à l’occasion sans remords.

L’un des meilleurs conseils (et des plus efficaces) est de noter ce que l’on mange dans un livre de bord, par exemple, afin de garder le compte des apports nutritionnels et des calories ingérées dans la journée.

On suggère aussi de consulter un spécialiste, un médecin ou un (e) nutritionniste pour vous aider à prendre de bonnes décisions.

 

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Nouvelles quotidiennes

Le Stay-Cation pour l’Action de grâces

Une nouvelle tendance qui nous vient des américains gagne de plus en plus en popularité chez nous, et il s’agit du Stay-Cation.

 

Habile (ou non) jeu de mots qui réunit stay (rester) et cation (suffixe de vacation – vacances), on parle ici de l’art de faire du tourisme tout en restant chez soi, dans sa région. Simple et souvent moins coûteux, ce système permet de s’évader tout autant que dans un autre pays, mais en découvrant des facettes de nos localités comme on ne les voient jamais, par manque de temps.

 

Alors, pour ce week-end de l’Action de grâces, pourquoi ne pas tenter le coup ?

 

Prévoyez deux nuitées dans un hôtel qui vous plait, puis choisissez quelques activités que vous avez envie de faire depuis longtemps. Par exemple, un simple repas dans un restaurant branché nouvellement ouvert peut vous faire un bien fou, ce que propose d’ailleurs www.vitamagazine.ca.

 

Une visite guidée historique (parfaite pour Québec) ou encore une petite tournée des musées (parfaite pour Montréal), autant de choses à faire dans notre cour, mais que l’on oublie facilement.

 

Ironiquement, ces mêmes activités font le bonheur des touristes étrangers en visite chez nous.

 

Alors, pour ce dernier long congé avant les fêtes, pourquoi ne pas tenter l’expérience du Stay-Cation !

 

 

 

Crédit Photo : www.freedigitalphoto.net

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Moins de sédentarité, plus d’action!

Qu’elle soit modérée ou intense, l’action chez les jeunes âgés de 4 à 18 ans permet d’améliorer de beaucoup leur tour de taille, leur pression artérielle systolique, leur taux de triglycérides, de cholestérol HDL et d’insuline.

Une différence remarquable de tous ces bienfaits a d’ailleurs été remarquée entre les jeunes qui bougent et ceux qui sont sédentaires.

Selon une étude de l’Hôpital Adenbrookes à Cambridge, en Angleterre, parue dans la revue American Medical Association, peu importe combien de temps les enfants font de l’exercice, ces derniers devraient être encouragés à être actifs, car cela améliore leur profil de risque cardiométabolique.

Ces résultats ont été confirmés par le regroupement de 14 études où des données ont été inscrites après qu’un accéléromètre ait mesuré objectivement le temps d’activité physique et le temps de sédentarité chez les enfants. Les études ont inclus un total de 20 871 participants en provenance de l’Australie, du Brésil, de l’Europe et des États-Unis.

Environ les trois quarts des enfants et les adolescents avaient de poids normal, 18 % étaient en surpoids, et 7 % étaient obèses.

Le temps moyen passé à pratiquer de l’activité physique de manière modérée à intense chaque jour était de 30 minutes, tandis que la moyenne du temps de sédentarité était estimée à près de six heures chaque jour.

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Des profits selon le taux de testostérone

Une recherche menée par des scientifiques de l’Université de Cambridge démontre que le taux matinal d’hormones mâles aurait une incidence directe sur les gains et profits que réalisent les courtiers à la bourse.

En effet, plus le taux de testostérone est élevé, plus les courtiers sont enclins à prendre des risques, ce qui augmente leurs gains. Selon les chercheurs, ce phénomène pourrait s’expliquer par la testostérone qui mousse la confiance en soi et le goût du risque.

Pour en arriver à de telles conclusions, le Dr John Coates, coauteur de l’étude, a analysé des échantillons de salive, tout en comparant les résultats boursiers de la journée.

Le Dr Coates émet toutefois un bémol : « Si la testostérone devient excessive dans l’organisme, comme cela peut facilement se produire dans des situations de bulles spéculatives, le goût du risque peut devenir obsessionnel. »