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Les efforts pour contrer l’obésité des jeunes commencent à porter des fruits

C’est Medical News Today qui rapporte ces données encourageantes. Bien que l’obésité infantile demeure préoccupante, les résultats sont tout de même encourageants.

En 2010, selon les centres de prévention et de contrôle des maladies, aux États-Unis, plus d’un tiers des enfants et adolescents présentaient un surplus de poids ou étaient déjà obèses. Cependant, entre 2008 et 2011, à la suite de mesures prises par le système de santé, le taux d’obésité a chuté dans 19 États.

La nouvelle étude menée par Eunice Kennedy au National Institute of Child Health and Human Development, à Bethesda, offre des résultats appréciables. Les données récoltées auprès de 35 000 enfants et adolescents démontrent qu’entre 2001 et 2009, les habitudes alimentaires et l’exercice physique ont pris une plus grande place chez les jeunes.

Par exemple, en 2001, la consommation de fruits et de légumes était présente de 2 à 4 jours par semaine. En 2009, elle a grimpé de 5 à 6 jours. D’autre part, les jeunes sont désormais plus conscients de l’importance de manger un déjeuner et consomment moins de boissons sucrées.

Bien que l’exercice soit encore loin de l’heure par jour recommandée, les jeunes ont tout de même augmenté de 4,33 à 4,53 les heures d’activité physique par semaine. De même, le temps passé devant la télévision a diminué.

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Faites-vous trop de sport?

Comme toute chose, le sport en trop grande quantité nuit à votre santé. Plus précisément, il est nocif pour votre coeur.

Une étude publiée dans la revue médicale Mayo Clinic Proceedings explique comment le fait de pratiquer un sport trop intensément peut vous mener à souffrir de troubles cardiaques.

Pour en arriver à cette conclusion, le Dr James O’Keefe, cardiologue à l’Institut de cardiologie de l’Hôpital Saint-Luc à Kansas City dans le Missouri, a analysé les résultats médicaux d’athlètes d’endurance et a découvert qu’ils présentaient un risque 5 fois plus élevé que la population régulière de développer de la fibrillation auriculaire, des irrégularités du rythme cardiaque.

O’Keefe explique : « Quand vous pratiquez un exercice intense, un cœur en bonne santé va pomper quatre à cinq fois plus de sang que lorsque vous êtes assis. Faire cela pendant des heures demande au cœur de faire quelque chose pour lequel il n’a pas été conçu ».

Le Dr Carl Lavie, directeur médical de la réadaptation cardiaque et de la prévention au John Ochsner Heart and Vascular Institute à La Nouvelle-Orléans, ajoute pour sa part : « Vous n’avez pas besoin de vous mettre en difficulté et pousser vos limites pour être en bonne santé ».

Malgré toute votre bonne volonté, il est donc recommandé de tout simplement écouter votre corps. Il vous dira quand le temps sera venu de faire une pause.

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L’activité physique après le cancer

Sur le site Le Parisien, il est entre autres question d’un article concernant le retour à la « normale » après un cancer.

Selon la Dre Laure Copel, médecin oncologue, « la gymnastique est un moyen efficace pour réduire considérablement les risques de récidives de cancer de sein ». Les activités semblant être en tête de liste sont le karaté, la plongée, le step ou encore le jogging.

Le but est d’y aller avec votre forme, votre âge et vos intérêts. Les patients ayant recours à l’activité pendant leur chimio ou après un cancer rapportent avoir une meilleure estime de soi, une meilleure qualité de vie et retrouver rapidement leur moral, alors que la maladie peut souvent avoir des effets dévastateurs.

« Les personnes qui pratiquent une activité physique dynamique régulière trois fois par semaine voient leur taux de rechute diminuer jusqu’à 50 %, en particulier quand c’est associé à une bonne alimentation », explique Dre Copel.

« L’activité physique est associée à une diminution du risque des cancers du côlon, du sein (après la ménopause) et de l’endomètre », écrit l’Institut national français du cancer (Inca) dans un document faisant le point sur l’activité physique et les cancers.

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La majorité des enfants ne se conforme pas aux recommandations d’activité physique

Le gouvernement américain et l’American Academy of Pediatrics ont publié des recommandations claires pour la bonne forme physique des enfants : ceux-ci devraient faire au moins 60 minutes d’activité physique modérée quotidienne et ne devraient pas passer plus de deux heures par jour devant la télé, les jeux vidéo ou l’ordinateur.

Même si 70 % des enfants étaient assez actifs, 54 % dépassaient la limite pour les écrans. Dans un article publié dans la revue médicale JAMA Pediatrics, les chercheurs ont noté que le fait de se conformer à une recommandation ne prédisait pas nécessairement que l’autre était respectée, et ils ont donc rappelé l’importance d’émettre celles-ci séparément.

L’étude a porté sur 1218 enfants âgés de 6 à 11 ans. Les filles, les enfants plus vieux, les hispanophones, les enfants de familles plus aisées et les obèses étaient moins susceptibles d’atteindre leurs 60 minutes d’activité.

Les enfants hispanophones en particulier respectaient pourtant plus que les autres les limites pour les écrans, ce qui a poussé les chercheurs à dire que même si les enfants ne passent pas beaucoup de temps devant la télé, ça ne veut pas nécessairement dire qu’ils feront plus d’exercice, rapporte Med Page Today.

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L’exercice diminue les symptômes de TDAH

Les résultats de cette récente étude, la première qui incorpore l’activité physique comme traitement, sont publiés dans le Journal of Pediatrics. La recherche a été menée par une équipe d’experts à la Michigan State University.

Le principe est simple et même logique. Parmi un groupe de 40 enfants âgés de 8 à 10 ans, la moitié souffrait de TDAH. Après une série rapide d’exercices d’une durée de 20 minutes, ils étaient tous soumis à un petit test informatique, puis à un autre de mathématique.

Dans 100 % des cas, les enfants ont démontré une amélioration de la concentration et du résultat des tests. Ainsi, les chercheurs sont catégoriques. Les programmes scolaires ne cessent de diminuer les heures d’activité physique. Pour la santé et le comportement des enfants, il faudrait fournir le budget aux écoles pour réintégrer ce manque d’exercice.

Le chercheur principal, Matthew Pontifex, professeur adjoint en kinésiologie, explique : « Ces résultats sont l’évidence même que l’exercice est un outil non pharmaceutique important dans le traitement du TDAH. Ainsi, peut-être qu’à l’avenir, ce sera notre première recommandation pour diminuer les symptômes de ce trouble comportemental ».

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Plus de temps sur les réseaux sociaux est lié à moins d’activité physique

Une étude irlandaise dévoile que plus on passe de temps sur les réseaux sociaux comme Facebook ou Twitter, moins on est actif physiquement.
 
Les chercheurs de l’Université d’Ulster ont présenté leurs résultats lors de la conférence annuelle British Psychological Society’s Division of Health Psychology de Liverpool.
 
Après avoir interrogé 350 étudiants sur leurs habitudes sur les réseaux sociaux et leurs activités sportives, on constate que plus les étudiants passent de temps sur le Web, moins ils pratiquent de sport.
 
De plus, les fans de Facebook sont aussi les moins enclins à pratiquer des sports d’équipe.
 
« Le temps est une ressource limitée, donc le temps passé sur les réseaux sociaux se fait au détriment d’autres activités. Notre étude suggère que l’activité physique pourrait être une de ces activités », explique la directrice de l’étude, Wendy Cousins.
 
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Le sport pendant la grossesse influence l’intelligence du bébé

Bien que l’activité soit conseillée lors d’une grossesse, il faut néanmoins consulter son médecin afin de ne pas transformer sa bonne volonté en danger pour l’enfant à naître. Les efforts doivent être modérés et respecter les limites de la mère.

Si l’on en croit les informations publiées sur le site Techno-Science, cette étude fait suite à une recherche précédente effectuée sur des ratons. À l’époque, il avait été démontré que les ratons nés de mères qui avaient été munies d’appareils pour courir régulièrement dans leur cage possédaient une plus grande densité neuronale dans les lobes temporaux.

Dave Ellemberg, codirecteur de l’étude de l’Université de Montréal, a expliqué : « Nous avons voulu savoir si c’était la même chose chez les humains, ce qui n’avait jamais été vérifié auparavant ».

Les résultats sont concluants. Les bébés, soumis à des tests auditifs de 8 à 12 jours après leur naissance, étaient beaucoup plus sensibles aux stimuli auditifs lorsque la mère avait pratiqué une activité physique régulièrement.

Il va de soi que ceci ne représente qu’un seul facteur étudié, mais comme le mentionne Dave Ellemberg, il n’y a pas de raison « de croire que cet avantage se limite à une seule fonction ».

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Les femmes d’affaires négligeraient l’alimentation de leurs enfants

Une étude menée par un économiste de la santé a démontré que les mères américaines avec des emplois à temps plein passaient 3 h 30 de moins par jour que les mères au foyer à cuisiner, faire l’épicerie et jouer avec leurs enfants.

De plus, les femmes d’affaires achèteraient davantage de repas déjà préparés ou commanderaient plus souvent des repas pour emporter.

Toutefois, les experts affirment que tout le blâme ne revient pas aux femmes.

La situation ne serait pas mieux pour les pères hommes d’affaires, puisque ceux-ci passeraient seulement 13 minutes par jour à faire ce genre d’activités, tandis que les pères au foyer en passeraient 41.

« Ce n’est pas correct d’associer la hausse du taux d’obésité chez les enfants aux mères, étant donné que les pères comblent si peu les manques », indique l’auteur de la recherche, John Cawley.

Rappelons que les spécialistes soutiennent qu’avant l’âge de six ans, le parent joue un grand rôle d’influence et d’exemple concernant l’alimentation de son enfant. Il s’agit également d’une période où les papilles gustatives des petits se développent. Il faut donc les habituer à adopter de bons aliments très tôt.

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Activité physique: les parents devraient montrer l’exemple

En fait, leur étude a démontré que lorsque les parents faisaient plus d’activité physique, les enfants en faisaient plus également.

Publiée dans le Journal of Physical Activity and Health, la recherche a permis de voir que les jours où les mères faisaient 2000 pas de plus qu’à l’habitude, leurs enfants en faisaient 2117 de plus.

Lorsque le père faisait 2000 pas de plus, les résultats étaient similaires.

Cet effet a tendance à être plus important le weekend. Le fait que toute la famille passe plus de temps ensemble y serait pour quelque chose, puisque tous trouveraient le temps de faire de l’exercice ensemble.

Toutefois, il n’y a pas que les parents pour influencer leurs enfants à faire de l’activité physique.

Rappelons que selon Eric Tesdahl, un étudiant diplômé du département en développement humain et organisationnel de l’Université Vanderbilt, les enfants semblent vouloir bouger davantage s’ils sont entourés ou ont des amis actifs, et l’inverse est vrai aussi.

Pour donner l’occasion aux enfants moins actifs de s’activer, l’auteur de l’étude propose une solution simple. Lors de la pratique de sports, les enfants moins actifs devraient être regroupés avec des enfants plus actifs, pour influencer leur comportement sédentaire et leur permettre de changer leur vision des choses et leurs habitudes de vie.

Crédit photo : FreeDigitalPhotos.net

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L’activité physique et le contrôle du poids sont des atouts contre le cancer du sein

Faire du sport et contrôler son poids après la ménopause peut aider à réduire de 30 % les risques de cancer du sein, mentionne une étude qui sera publiée sous peu dans la revue Cancer.
 
Nous savions déjà que l’activité physique était un atout majeur dans la lutte contre le cancer du sein, mais les chercheurs n’avaient pas vraiment mesuré l’impact de l’intensité, de la fréquence et du contrôle du poids.
 
1504 femmes ont été suivies. 233 avaient un cancer non invasif, et 1271 avaient un cancer invasif. 1555 femmes faisaient partie du groupe témoin. Toutes les participantes étaient âgées de 20 à 98 ans.
 
Les résultats montrent que les femmes qui ont fait de l’exercice dans leurs années de procréation ou postménopausiques ont réduit les risques de cancer, et ce, peu importe si les activités étaient d’intensité modérée ou intense.
 
Les femmes qui faisaient de l’activité de 10 heures à 19 heures par semaine réduisaient de 30 % les risques de développer la maladie.
 
« L’observation d’un risque réduit de cancer du sein, en particulier pour les femmes qui se sont engagées dans l’exercice après la ménopause, est particulièrement encourageante si l’on prend en compte l’âge tardif de l’apparition du cancer du sein », mentionne l’auteure de l’étude, Lauren McCullough.
 
À noter que toute prise de poids substantielle annule par contre les bienfaits de l’activité physique.