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La télévision aggrave-t-elle le diabète?

Une recherche parue dans Diabetes Care nous indique qu’une corrélation entre le temps passé devant la télévision et le diabète infantile existe. Les chercheurs peinent toutefois à expliquer cette relation.

Ils ont remarqué que des enfants ayant le diabète de type 1 qui passaient beaucoup d’heures à écouter la télévision avaient des taux de sucre sanguins moins bons que les autres.

Après avoir suivi 296 sujets ayant le diabète de type 1, dont des enfants, ils ont constaté que ceux qui passaient 4 heures ou plus par jour devant un écran présentaient un taux d’hémoglobine A1C de 9,3 %, en comparaison au taux de 8,5 % de ceux qui le faisaient moins longtemps.

Une explication possible de ce lien, selon les chercheurs, serait que les enfants qui écoutent beaucoup la télévision sont aussi portés à grignoter plus que les autres. Toutefois, la présente recherche ne peut encore rien prouver en ce sens.

D’autres facteurs de qualité de vie pourraient aussi être pris en compte, comme l’activité physique et l’obésité, voire le revenu familial, mais ils ne peuvent pas non plus expliquer la corrélation ici présentée.

Malgré tout, les experts soulignent l’indicateur que cette recherche soulève quant aux habitudes de vie d’un enfant diabétique – ou non – et dans quelle mesure il est modifiable.

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L’activité physique en réponse au poids de naissance

On lit sur Medscape les résultats d’une récente recherche ayant porté sur certains des bienfaits de l’activité physique. Précisément, on a voulu évaluer ses effets sur des enfants qui avaient un faible poids de naissance, puis sur la résistance à l’insuline.

Les chercheurs ont étudié différentes données, dont le poids à la naissance, l’IMC, l’activité physique et l’absorption du glucose et de l’insuline chez 269 jeunes participants.

En regard aux comparaisons, il est apparu une très forte corrélation entre le poids de naissance et la résistance à l’insuline, après ajustements de certains facteurs. Ensuite, une association inverse a été reconnue entre ce même poids et cette même résistance, dans le groupe d’enfants qui ne faisaient que peu d’activité physique.

On a donc conclu qu’effectivement, une activité physique importante peut atténuer les effets du faible poids de naissance sur la résistance, ou la sensibilité, à l’insuline chez les jeunes. Toutefois, on mentionne que d’autres recherches sont nécessaires, pour appuyer ces conclusions.

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Les personnes âgées actives dorment mieux

En vieillissant, le sommeil est moins réparateur, ceci en raison du fait que les phases de sommeil lent profond sont plus courtes. Il est toutefois possible de remédier à cela, simplement en bougeant plus.
 
Des chercheurs de l’Université de Sherbrooke ont démontré que l’activité physique chez les personnes âgées peut aider à améliorer la qualité du sommeil.
 
Habituellement, une nuit de sommeil comporte 4 à 5 cycles de 90 minutes. Ils sont composés de différentes phases, dont celle du sommeil paradoxal, où les rêves se produisent, et celle du sommeil lent profond, qui nous permet de refaire des forces.
 
Chez les enfants, cette dernière phase représente 20 % de la nuit, mais pour les personnes âgées, elle ne représente que 5 %.
 
Durant l’étude, on a constaté qu’après quatre mois d’activité physique, les participants mentionnaient mieux dormir. De plus, les phases de sommeil lent profond étaient augmentées.
 
Ces résultats seront présentés lors du Congrès international de l’Association mondiale de la médecine du sommeil.
 
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Donnons de bonnes habitudes aux tout-petits

Le Journal of the American Dietetic Association présente une revue des moyens d’action potentiels pour prévenir efficacement l’obésité chez les jeunes enfants. Des représentants de différentes instances de recherches américaines ont analysé 42 études pertinentes sur le sujet.

On soutient que la prise de saines habitudes de vie dès l’âge préscolaire aurait des impacts majeurs sur la santé générale de la population. Il s’agirait d’un moment clé pour faire découvrir les bienfaits de l’activité physique et d’une saine alimentation aux enfants.

Déjà, les chercheurs ont reconnu certaines possibilités afin de revoir les standards et mesures actuels. Il est temps d’agir, car en ce moment, de nombreux enfants de moins de cinq ans peuvent être déjà considérés comme obèses, aux États-Unis.

Au cours des trois dernières décennies, les garderies en sont venues à prendre le rôle de la famille en ce qui a trait aux habitudes alimentaires, d’où l’instauration de programmes dédiés.

Les parents devraient toutefois, selon les chercheurs, devenir les arbitres de l’alimentation de leur enfant et soutenir les changements qui pourraient s’opérer dans les programmes nutritionnels.

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Les coups de chaleur touchent beaucoup les enfants

On apprend sur UPI.com que de nombreuses personnes sont incommodées par la chaleur en pratiquant un sport ou une activité récréative, au point de se rendre à l’hôpital.
 
Chaque année, selon les chiffres obtenus par des autorités de la santé américaine, près de 6 000 personnes entrent aux urgences dans ces conditions aux États-Unis.
 
De plus, les Centers for Disease Control and Prevention’s Morbidity and Mortality Weekly Report ajoutent qu’il s’agit la plupart du temps d’enfants et d’adolescents. Ces derniers représentent les trois quarts des cas.
 
Les deux activités sportives menant le plus souvent, parmi toutes, aux urgences, sont le football et l’exercice physique. On recommande donc, encore une fois, de suivre les règles de base de prévention.
 
Ainsi, lors de la pratique d’un sport ou de toute autre activité récréative durant la saison estivale, on prévoit plusieurs pauses et l’on voit à boire beaucoup de liquide pour demeurer hydraté.
 
De plus, on suggère fortement de réduire, voire d’éviter l’activité physique lors des journées particulièrement chaudes et humides.
 
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Toute la famille au yoga!

Nous connaissons déjà les bienfaits que peut procurer le yoga aux adultes, mais en est-il de même pour les enfants? Il semble que oui. Toutefois, le yoga des tout-petits est un peu différent et certains mouvements en particulier sont conseillés.

Par exemple, se concentrer sur sa respiration est un très bon exercice pour l’enfant. L’échauffement l’est aussi, comme lorsqu’il est assis ou couché par terre et qu’il suit les instructions du moniteur (ou du parent) pour se calmer.

Quant aux mouvements comme tels, il doit s’agir principalement d’étirements. On peut par exemple demander aux tout-petits d’imiter la position d’animaux et de plantes.

La partie la plus importante demeure bien sûr la relaxation. Étendu au sol, les yeux fermés, l’enfant se concentrera à visualiser, s’imaginant par exemple flotter dans les airs.

S’il est pratiqué correctement, le yoga peut devenir une réelle activité physique. De plus, selon MayoClinic, des études ont démontré ses bienfaits sur la santé en général, réduisant l’obésité et aidant à maîtriser certains problèmes, comme le syndrome du côlon irritable ou les maux de tête.

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Reprendre le chemin de l’école

Des chercheurs de l’Université de Cincinnati indiquent aux parents qu’une bonne routine scolaire n’a rien de compliqué. Afin de promouvoir l’éducation et la santé, on doit se souvenir de quelques lignes directrices, lisons-nous sur Medical News Today.

Ainsi, on devrait s’assurer que notre enfant fait de l’activité physique, qu’il profite de bonnes nuits de sommeil et qu’il prend un déjeuner satisfaisant. Ces trois clés seraient celles du succès en ce qui a trait à la réussite à l’école.

De plus, les chercheurs soutiennent que la rentrée peut avoir certaines répercussions sur la santé physique des enfants. Le temps passé à étudier n’en est effectivement pas un accordé à l’activité physique.

Pourtant, demeurer actif tout au long de l’année scolaire est bénéfique : il semble que notre esprit fonctionne mieux lorsqu’il est physiquement stimulé. Quant au déjeuner, nous connaissons déjà ses bienfaits : il demeure la meilleure préparation pour une longue journée d’école.

Le déjeuner prévient aussi l’obésité, tout comme le feraient de bonnes nuits de sommeil. Celles-ci devraient même être allongées jusqu’à 10 heures pour les enfants à l’école, pour ne jamais descendre en dessous de 8 heures par nuit.

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L’activité physique pour prolonger la vie avec un cancer du cerveau

Le Journal of Clinical Oncology nous apprend que la pratique régulière d’une activité physique modérée peut prolonger l’espérance de vie des patients avec un cancer du cerveau.
 
243 personnes ont participé à une étude américaine sur le sujet. Elles avaient toutes un gliome malin récurrent.
 
En faisant une activité comme de la marche vigoureuse 30 minutes, cinq fois par semaine, les personnes ont pu prolonger leur espérance de vie de 36 %. Pour les plus actifs, on parle d’une survie moyenne de 22 mois après le diagnostic, et de 12 à 13 mois pour les sédentaires.
 
Pour un gliome malin récurrent, on parle habituellement d’un pronostic de 4 à 6 mois. Des médicaments peuvent prolonger jusqu’à un an en moyenne, mais il y a parfois des atteintes neurologiques importantes.

L’activité physique semble également améliorer la qualité de vie des patients, en plus de freiner la progression de la maladie.

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L’activité physique est plus efficace qu’une saine alimentation

Le rapport Obésité au Canada mentionne que pour prévenir l’obésité, il n’y a pas mieux que d’augmenter son taux d’activité physique plutôt que d’adopter une saine alimentation.
 
Selon l’étude canadienne, si tous les citoyens du pays changeaient leur alimentation, on pourrait réduire le cas d’obésité de 350 000 personnes.
 
Par contre, bouger plus de 15 minutes par jour, à faible intensité, diminuerait les cas d’obésité d’un million de personnes, soit 646 000 femmes et 405 000 hommes.
 
« On a été un peu surpris. On pensait que la nutrition aurait un impact plus important que ça. Mais c’est plutôt l’activité physique qui arrive en tête », déclare le vice-président recherche et analyse à l’Institut canadien d’information sur la santé (ICIS), Jérémy Veillard.
 
Toutefois, le problème de l’obésité étant complexe et causé par divers facteurs, on ne pourrait tout régler.
 
Pour perdre du poids, c’est l’adoption d’une saine alimentation qui est le plus efficace.

L’obésité touche un adulte sur quatre au Canada et un enfant sur onze.

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Tendre la main à papa

Beaucoup de soutien est offert aux mères quant à l’éducation des enfants et l’organisation de la maisonnée, mais on pense peu aux pères. Pourtant, ces derniers pourraient y trouver de grands bénéfices, selon une recherche de l’Université de Chicago.

De plus, pour son bien-être comme pour celui de son enfant, papa ne devrait pas hésiter à assumer pleinement son rôle. Il devrait chercher les occasions de se rapprocher et de s’occuper de son enfant, et ce, même s’il ne reçoit pas les mêmes encouragements que maman.
 
Étant différent de la mère, le père a beaucoup à offrir à l’enfant. Par exemple, il est plus fréquent que ce soit lui qui instaure les activités physiques au sein de la famille.
 
En s’appuyant sur certaines ressources, il peut renforcer ses forces personnelles comme parent. Le père devrait aussi participer au développement de son enfant, en posant des questions de lui-même au pédiatre, par exemple.

Le rôle du papa a bien changé au cours des dernières années, lisons-nous finalement sur EurekAlert. De 2000 à 2010 seulement, la proportion de pères dirigeant une famille monoparentale est passée de 5 % à 15 %. En 1970, ils représentaient seulement 1 % de ces familles.