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Être actif à l’adolescence est le plus important

Les femmes qui sont physiquement actives tout au cours de leur vie ont moins de chances de développer des déficiences cognitives, surtout si elles étaient actives durant leur adolescence, mentionnent des chercheurs canadiens dans leur étude publiée dans le Journal of the American Geriatrics Society.
 
Les chercheurs ont comparé le niveau d’activité physique de 9 344 femmes à l’adolescence, à 30 ans, à 50 ans et en fin de vie. 15,5 % des femmes étaient inactives lorsqu’elles étaient adolescentes, alors qu’elles étaient 29,7 % à ne pas bouger à 30 ans, 28,1 % à 50 ans et 21,1 % en fin de vie.
 
Finalement, les experts ont démontré que le risque de déficience cognitive chez les femmes inactives se situait entre 50 et 100 %.
 
Ils ont également observé que les performances cognitives étaient meilleures si les femmes bougeaient durant leur adolescence.
 
La Dre Laura Middleton du Sunnybrook Health Sciences Centre au Canada explique : « Notre étude montre que les femmes qui pratiquent une activité physique régulière, quel que soit l’âge, ont moins de chances de développer un jour des troubles cognitifs que les femmes inactives, mais la pratique d’une activité physique à l’adolescence est encore plus importante pour la prévention de la déficience cognitive ».
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Faites bouger vos petits

Les enfants actifs auront toujours de meilleurs résultats scolaires. Plus l’envie de bouger est instaurée tôt, plus votre enfant continuera de s’adonner à l’exercice physique régulièrement.
 
Selon la nouvelle étude de la West Virginia University à Morgantown, la santé physique a un lien direct avec les performances académiques.
 
On a évalué 1 200 jeunes enfants pour déterminer si la forme physique affectait les performances à l’école. Les enfants ayant été actifs ont obtenu de meilleurs résultats dans les quatre matières évaluées, soit la lecture, les mathématiques, les sciences et les sciences sociales.
 
De plus, l’étude insiste sur le fait que le lien met l’accent sur l’activité physique et non sur le poids de l’enfant. Donc, ceux qui sont en forme avec quelques livres en trop peuvent également avoir d’excellents résultats. Quoique bien souvent, un enfant actif a moins de chances d’avoir un surplus de poids.
 
Pour les chercheurs, c’est la démonstration du lien entre le corps et l’esprit. De plus, les enfants qui bougent sont de meilleure humeur et sont plus aptes à se concentrer.
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La promotion de l’activité physique est une source d’anxiété

Un sondage, mené pas la sociologue Suzanne Laberge de l’Université de Montréal, révèle que les messages qui prônent l’activité physique sont une source importante d’anxiété et de culpabilité chez certaines personnes.
 
L’étude ciblait tous les messages incitant les gens à bouger plus. Bien qu’il est important de le faire, on croit qu’il faudra trouver de nouveaux moyens pour rejoindre les gens et pour que cela soit surtout plus réaliste
 
Ces messages ont le même effet sur les personnes de poids santé, en embonpoint ou obèses. Ils sont stressants.
 
Pour la majorité des personnes, l’activité physique est une préoccupation constante. Les femmes ont plus tendance que les hommes à se sentir coupables de ne pouvoir s’adonner à l’exercice.
 
Selon l’étude, les répondants affirment que les messages ne tiennent pas compte de leurs contraintes quotidiennes, comme les horaires, les installations qui ne sont pas accessibles à tous et le budget également. On croit qu’il faudrait tenir compte de ces contextes difficiles dans les messages véhiculés.
 
De plus, 1 personne sur 5 est totalement indifférente à cette promotion de l’activité physique et ne change pas son rythme de vie pour autant.
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Les femmes enceintes actives auront des bébés plus brillants

À l’Université de Montréal, une étude est en cours afin de déterminer le lien entre l’activité physique de la mère durant sa grossesse et les capacités cognitives de son enfant une fois qu’il est né.
 
L’université a recruté soixante femmes âgées de 20 à 35 ans et enceintes pour la première fois. 30 devront suivre un programme d’activités physiques trois fois par semaine et 30 resteront sédentaires.
 
On souhaite démontrer si les résultats sont les mêmes chez les humains que chez les animaux. En 2003, en Thaïlande, des chercheurs avaient observé des rats de laboratoire et avaient conclu que chez les mères qui avaient été actives durant leur grossesse, les bébés apprenaient mieux, savaient mieux s’orienter et avaient une meilleure mémoire.
 
Au microscope, la densité neurale dans l’hippocampe du cerveau des bébés dont les mères avaient été actives était beaucoup plus grande que chez les autres bébés. Trois ans plus tard, en 2006, des Américains arrivaient à des résultats similaires avec des ratons laveurs.
 
Cette fois, l’étude est entreprise sur l’humain afin de savoir si cela se confirmera également. Selon l’hypothèse des chercheurs, les résultats obtenus chez les animaux devraient être très similaires chez l’humain.
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L’exercice pour contrer le cancer du sein

Après l’âge de 30 ans, l’exercice physique serait bénéfique pour contrer le cancer du sein, selon une étude présentée durant la réunion annuelle de l’American College of Sports Medicine tenue à Seattle.

Dans cette étude, Lisa Sprod et ses collègues de l’Université du Colorado du Nordont ont demandé à 4 296 femmes de parler de leurs activités physiques durant 4 étapes de leur vie, soit de 10 à 15 ans, de 15 à 30 ans, de 30 à 50 ans et au-delà de 50 ans.

Les chances de développer le cancer du sein par rapport à leur activité physique lorsqu’âgées de 10 à 30 ans n’ont révélé aucune corrélation, mais les femmes qui ont continué à faire de l’exercice passé l’âge de 30 ans ont réduit de façon considérable leur risque de développer la maladie.

« Nous avons établi la normale à 60 minutes par semaine. Celles qui faisaient moins de 60 minutes d’exercice par semaine étaient classées dans le groupe sous la moyenne et celles qui en faisaient au-delà de 60 minutes étaient classées dans le groupe au-dessus de la moyenne. »

Les chercheurs ont ensuite remarqué que les femmes de 30 à 50 ans qui étaient dans le groupe au-dessus de la moyenne avaient développé moins de cancer du sein que l’autre groupe. La même chose a été remarquée pour les femmes âgées de plus de 50 ans.

« Ce que cela laisse croire, c’est que plus vous faites d’exercice passé l’âge de 30 ans, plus vous réduisez vos chances de développer un cancer du sein », a conclu Mme Sprod.