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Festival d’été de Québec : Une soirée bien remplie

En cette 7e journée du Festival d’été de Québec, les différentes scènes vous offriront de quoi bouger.

Le groupe canadien Rush, venu remplir le Centre Bell l’année dernière, s’offre les Plaines d’Abraham à 20 h 30 sur la scène Bell.

La scène Loto-Québec tremblera de sons électroniques et de dubstep toute la journée en présentant Peakafeller, Kidnap Kid, Paper Diamond, Zeds Dead et Bassnectar, qui fermera le bal à 22 h.

Pour sa part, la musique francophone envahira la scène Hydro-Québec à partir de midi avec Jeanphilip. Plus tard, c’est Canailles qui enclenchera le spectacle de soirée avec son folk cajun, suivi de deux groupes bien de chez nous n’ayant plus besoin de présentation, Noir Silence (19 h 30) et Loco Locass (21 h 30).

Gros Mené rockera l’Impérial de Québec vers 20 h 45, tout de suite après Machinegun Suzie (20 h). La soirée sur cette scène sera bouclée avec The Jon Spencer Blues Explosion (22 h 15 approx.)

Pour les fans de rockabilly, vous pourrez vous offrir une performance de fin de soirée avec Bloodshot Bill au Petit Impérial (23 h 30). Juste avant, Andy Poxon Band réchauffera la scène avec son blues intemporel.

Aussi, le Cercle de la sur St-Joseph accueillera Eli et Papillion, Facteur Cheval & O’Brien et X-Ray Zebras.

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Festival d’été de Québec : Bruno Mars et Eddie Shaw & The Wolfgang

Les amateurs de musique auront droit à une soirée toute garnie au Festival d’été de Québec.

Pour les fans du talentueux Bruno Mars, ce sera sur la scène Bell que ça se passera dès 21 h 20. L’artiste y présentera plusieurs de ses succès, dont ceux de son dernier album, Unorthodox Jukebox, et fort certainement Treasure, excellente chanson dont le clip a été lancé à la mi-juin.

Et ne manquez surtout pas le légendaire Eddie Shaw & The Wolfgang à 20 h 30 sur la scène du Petit Impérial. Ayant récemment été honorée par le Blues Music Award, la bête de scène, jeune de ses 76 ans, vous emportera au son de son saxophone pour bien finir la soirée.

Alors qu’elle a livré une performance festive en chantant Saskatchewan avec Les Trois Accords hier soir (7 juillet), la délicieuse Lisa Leblanc fera quant à elle chanter la foule avec son folk rock sur la scène Loto-Québec à partir de 21 h 30.

L’Impérial de Québec vibrera au son de la musique électronique dès 20 h avec Le Matos, Keys N Krates (21 h) et Austra (22 h 30). 

La scène Hydro-Québec gâtera les amoureux de musique du monde dès midi avec le groupe Afrikan Blues Project. En soirée, vous aurez droit à Nomadic Massive (18 h), Fatoumata Diawara (19 h 30) et les colorés Amadou & Mariam.

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150 minutes d’activité physique par semaine : comment les diviser?

La plupart des organisations de la santé et des spécialistes vous confirmeront que le temps idéal qui devrait être accordé à l’exercice physique de façon hebdomadaire oscille autour de 150 minutes.

Malgré la bonne volonté et la conscientisation, le temps peut se faire rare pour plusieurs personnes en cette ère moderne et il peut devenir extrêmement difficile, voire impossible pour certains, de trouver une plage de temps de façon quotidienne.

Alors, peut-on transposer, par exemple, cinq séances quotidiennes de trente minutes par une seule longue séance de 150 minutes durant le week-end?

C’est la question qu’ont abordée des chercheurs canadiens, qui reprennent les conclusions publiées initialement dans le magazine Applied Physiology, Nutrition and Metabolism, ensuite rapportées par Santé Log.

Après moult analyses et études de dossiers précédents, les chercheurs basés à Kingston (Ontario) concluent que bien qu’il soit bénéfique de bouger tous les jours, il est bel et bien possible de retirer tout autant de bénéfices en effectuant ce fameux 150 minutes d’activité physique d’un seul coup!

Une excellente nouvelle, qui permettrait donc à chacun de choisir le moment qui lui convient le mieux dans la semaine pour une séance d’activité physique.

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Les habitudes alimentaires seraient influencées par les opinions sur l’obésité

Une nouvelle étude vient tracer un lien pour la toute première fois entre ce que les gens pensent de l’obésité et des raisons qui provoquent un gain de poids, et leur poids actuel.

En clair, selon The National Library of Medicine, les opinions et les idées préconçues sur l’obésité et le surpoids influenceraient les habitudes alimentaires de la plupart des consommateurs.

Des chercheurs ont mis sur pied un vaste sondage impliquant des répondants de partout dans le monde. Ils ont rapidement découvert qu’un fort pourcentage de ceux-ci associaient la prise de poids à une mauvaise alimentation ou à l’absence d’activité physique, mais rarement aux deux en même temps.

L’ADN et le bagage génétique semblent aussi des raisons complètement oubliées.

Ainsi, les répondants qui croient que le manque d’exercice physique est uniquement à blâmer pour le surpoids auraient tendance à manger plus, notamment de chocolat!

Par contre, ceux qui accusent la mauvaise alimentation afficheraient, quant à eux, une masse corporelle moins importante que les autres.

Ces derniers n’ont cependant pas plus raison que les autres répondants, le gain de poids s’expliquant très souvent par les deux facteurs combinés, et non pas un seul.

Les auteurs de l’étude croient qu’il s’agit de la preuve qu’une meilleure sensibilisation et information de la population est possible dans le dossier. 

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Les habitudes alimentaires au travail blâmées dans le dossier de l’obésité

Le dossier du surpoids en Amérique du Nord ne cesse de faire jaser et d’alimenter les pages web spécialisées en santé et en nutrition.

On cherche des coupables, des solutions, et voilà qu’une nouvelle théorie vient d’être émise par des sondeurs de la compagnie CareerBuilder, une théorie rapportée par le Daily Mail (UK) notamment.

C’est après avoir réalisé un sondage auprès de 3700 travailleurs que les chercheurs sondeurs ont commencé à apercevoir des similitudes entre certaines réponses.

Ainsi, les habitudes alimentaires au travail pourraient être responsables dans certains cas de surpoids ou d’obésité. Notamment, on parle du manque d’activité physique découlant d’emplois statiques ou de bureau, en plus de l’absence de gym ou de temps, tout simplement.

Puis, les fameux 5 à 7 sont aussi ciblés, en plus des nombreuses sucreries rapportées sur les lieux de travail, comme les beignes.

Au final, 55 % des répondants affirment afficher un surpoids, et 41 % d’entre eux blâment directement leur actuel emploi pour cette prise de poids!

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Être inactif est plus dangereux que de fumer?

Les fumeurs et amateurs des produits du tabac sont séquestrés dans une catégorie peu enviable depuis quelques années, reclus et méprisés par une population de plus en plus anti-tabac.

Voilà un phénomène qui pourrait aussi frapper les plus paresseux et sédentaires d’entre nous, alors qu’une étude rapportée par Santé Log fait état de risques cardiovasculaires plus importants chez ces individus que chez les fumeurs.

Mondialement, on rapporte que c’est facilement le tiers de la population qui ne pratique aucune activité physique, donc qualifié de sédentaire. Du lot, on associe 5,3 millions de décès reliés à cette procrastination physique, contre 5,1 millions liés au tabagisme.

Le fait de ne pas bouger ou de ne pas pratiquer d’activités physiques est donc devenu un facteur de risque de troubles cardiovasculaires mortels plus important que la cigarette, ce qui inquiète plusieurs observateurs.

C’est d’ailleurs pourquoi l’International Chair on Cardiometabolic Risk (ICCR) publie un rapport qui dévoile ces chiffres, afin de sensibiliser la population à cet état de fait et tenter d’en convaincre une partie de retrouver ses chaussures de sport.

De plus, ces personnes associent souvent ce comportement de farniente à un régime alimentaire trop gras, trop salé et pauvre en nutriments et minéraux. Un cocktail visiblement mortel.

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L’effet antidépresseur de l’exercice physique vanté

Alors que plusieurs études et rapports de spécialistes indiquent qu’il serait peut-être bon de revoir à la baisse le nombre de prescriptions d’antidépresseurs et de diagnostics « préventifs » de dépression, voici une étude qui vante l’exercice comme méthode alternative.

Pour les Drs Chad Rethors et Madhukar Trivedi de l’Université du Texas, l’activité physique permet non seulement de garder une bonne santé générale, mais aussi mentale, rapporte Top Santé

Peu onéreux et très efficace, l’exercice est une option de choix en prévention ou en traitement de troubles dépressifs. Cependant, les chercheurs croient qu’il existe des contextes et des paramètres précis pour assurer le bon fonctionnement de ce traitement alternatif.

D’abord, il ne faut pas lésiner. On conseille vivement jusqu’à cinq séances par semaine d’exercice physique, de 45 minutes minimum chacune, à bonne intensité.

On constate que cette façon de faire commence à porter des fruits après la quatrième semaine de labeur, et qu’il faut maintenir le rythme durant près de 12 semaines pour assurer un « traitement » complet.

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Les étirements avant l’activité physique remis en question

C’est plutôt étonnant de voir les étirements être remis en question dans le cadre d’un programme d’activité physique, mais l’étude dévoilée ici semble pourtant très sérieuse.

Elle est de plus publiée par le New York Times, avant d’être rapportée par Top Santé, ce qui ajoute à l’intérêt de la chose.

Selon cette recherche en provenance de Croatie, donc, les étirements seraient à déconseiller avant le sport, car ils n’auraient que très peu (ou pas) d’impact sur la prévention des blessures et ne feraient qu’enlever de précieuses énergies aux sportifs et athlètes, en fin de compte.

On parle aussi d’une réduction de la force musculaire de 5 %, toujours selon l’étude publiée initialement dans The Journal of Strength and Conditioning Research.

Attention cependant, on tient à rappeler qu’il existe une différence entre étirement et réchauffement, le deuxième conservant l’appui des spécialistes en tête de la recherche.

Or, c’est justement l’une des causes de la confusion, beaucoup de sportifs croyant à tort qu’étirement et réchauffement sont une seule et même chose.

On suggère de garder les étirements pour la fin de l’activité physique, un moment qui serait beaucoup mieux choisi pour étirer ses muscles.

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Les boissons énergisantes n’augmentent pas les capacités cognitives

Plusieurs grandes compagnies de boissons énergisantes, de plus en plus populaires, utilisent dans leur mise en marché des éléments qui laissent croire que la consommation de ces boissons augmente les capacités cognitives.

Certains de ces produits laissent miroiter une amélioration de l’énergie physique, mais aussi mentale, une affirmation qui n’a pas de fondement, suggèrent des chercheurs du Texas qui se sont penchés sur la question en analysant les réactions de cyclistes.

Leurs conclusions, que rapporte Medical News Today, font état d’une amélioration minime ou inexistante des capacités cognitives lors de la consommation d’une boisson énergisante.

Ils confirment cependant certaines vertus en ce qui concerne les capacités physiques, bien que l’on conseille vivement de ne pas en abuser ou de développer un besoin envers ces produits.

Les recherches, publiées dans le Journal of Caffeine Research, ne semblent pas complètes, ce qui indique que des contre-études sont attendues sur le sujet, car même les améliorations physiques reconnues par certains spécialistes sont mises en doute par d’autres.

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Êtes-vous un petit ou un grand rêveur?

L’INSERM était chargé d’analyser l’activité cérébrale chez les dormeurs en tout genre, et l’institut y va de quelques révélations intéressantes, rapportées par Top Santé.

Notamment cette distinction entre « petit » et « grand » rêveur, qui se définit entre autres par la capacité à dormir paisiblement et à se souvenir de ses rêves.

Alors que les petits rêveurs seraient plus susceptibles de dormir paisiblement, on apprend que les grands rêveurs peuvent être victimes de nuits plus agitées et se réveiller plus souvent au cours de la nuit, mais ont aussi la faculté de se souvenir plus aisément de leurs rêves.

Baptiste Eichenlaub et Perrine Ruby, chercheurs de l’INSERM, qualifient ces phases de rêves de « micro-réveil », période au cours de laquelle les dormeurs seraient plus sensibles aux perturbations extérieures ainsi qu’aux distractions environnantes.

On parle donc d’une phase qui frôle le réveil, au sens où les grands rêveurs sont conscients de l’environnement tout en dormant.

Les petits rêveurs enregistrent aussi ces phases de micro-réveil, expliquent les deux chercheurs, elles sont simplement plus courtes. On parle de cinq minutes de ce phénomène par nuit pour les petits rêveurs, et de 15 minutes pour les grands.