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4 minutes d’exercice en classe peuvent faire des miracles

Une nouvelle recherche mentionne que 4 minutes d’exercices amusants améliorent considérablement la capacité d’apprentissage et le comportement dans les classes du primaire.

C’est une excellente nouvelle, puisque de moins en moins de cours d’éducation physique sont compris dans les cases horaires scolaires. Le programme aurait donc tout avantage à être incorporé rapidement pour les élèves de la première à la sixième année.

Brendon Gurd est l’auteur de cette étude mettant à l’essai le FUNterval (intervalle amusant) pour les élèves de 2e et 4e année. Ces 4 minutes comprennent en intervalle des exercices de haute intensité et des informations sur la façon de vivre et de s’alimenter sainement.

« En Ontario, 20 minutes d’activité physique par jour sont requises dans les écoles primaires. Il y a cependant un besoin d’innovation et de méthodes accessibles pour que les professeurs puissent satisfaire aux exigences. »

Les activités ont été développées sous forme de thématiques, joignant des mouvements à une histoire (ex. : on ramasse du bois, on attrape des papillons), mentionne medicalnewstoday.com.

Les effets sur l’attention et le comportement se faisaient sentir pendant les 50 minutes qui suivaient l’exercice.

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5 indices qui vous mettent la puce à l’oreille pour le TDAH

Empowher donne des trucs pour reconnaître un enfant qui pourrait souffrir de trouble de déficit de l’attention avec hyperactivité (TDAH).

1- Les 3 principales catégories de symptômes sont l’inattention, l’impulsivité et l’hyperactivité.

2- Les filles ont tendance à démontrer plus d’inattention, alors que chez les garçons, la combinaison d’hyperactivité et d’inattention est plus fréquente.

3- À l’école, votre enfant risque de se démarquer par son incapacité à demeurer en place ou à écouter les consignes. Parlez aussi à l’enseignant.

4- Dans les sports, alors que les autres évoluent dans une même direction, votre enfant risque de regarder le chien qui se promène dans la rue.

5- Les oublis sont fréquents, partout où l’enfant va. Son manteau dans l’autobus, son parapluie chez un ami, son cellulaire… quelque part et il ne s’en souvient pas.

La seconde étape consiste à consulter votre médecin de famille ou pédiatre. Celui-ci pourra vous aider à établir un diagnostic.

Par la suite, avant même de penser à la médication, sachez qu’il existe des classes comptant moins d’élèves pour aider les jeunes avec des besoins spécifiques.

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Une diète et de l’exercice sont préférables pendant la grossesse

Selon une récente recherche rapportée par Science World Report, mieux vaut pour les femmes de prendre le moins de poids possible pendant la grossesse.

Les chercheurs de l’Université d’Adélaïde expliquent que seuls l’exercice et un régime alimentaire équilibré peuvent faire en sorte de réduire la prise de poids pendant une grossesse. Ces mesures n’aident pas seulement la future mère, mais le bébé à venir également.

Jodie Dodd, auteure de l’étude, confie : « Les femmes qui ont reçu des recommandations sur leur alimentation et leur style de vie ont augmenté le nombre de portions de fruits et légumes et diminué les gras saturés. Elles ont aussi inclus une moyenne de 15 à 20 minutes de marche rapide presque tous les jours de la semaine ».

Ces mesures diminuent non seulement le nombre de bébés nés à plus de 4 kg, mais réduisent le risque de souffrir de détresse respiratoire. Ils quittent aussi l’hôpital plus rapidement.

Selon Dre Rosalie Grivell, près de 50 % des femmes sont en surpoids ou obèses pendant la grossesse.

La recherche a été publiée dans la revue BMC Medicine.

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L’exercice ne diminue pas le risque de dépression des enfants

La recherche publiée dans la revue JAMA Pediatrics et rapportée par Science World Report a été menée auprès de 736 participants dont la moyenne d’âge était 14 ans. Ils étaient suivis pendant 3 ans.

Durant cette période, leur niveau de dépense énergétique lors d’activités, ainsi que le niveau de l’exercice (modéré à vigoureux) était pris en considération. En parallèle, les jeunes devaient répondre à des questionnaires quant à leur état d’esprit et leur humeur.

Au final, il n’y avait aucune corrélation entre l’activité physique à 14 ans et les situations dépressives à 17 ans.

« Notre résultat ne doit pas éliminer l’activité physique comme une option ayant des conséquences positives sur l’humeur dépressive dans la population en général », informe le Dr Umar Toseeb de l’Université de Cambridge. « On doit plutôt considérer que pendant l’adolescence, son effet est minime à inexistant. »

Le Dr Toseeb rappelle qu’il y a beaucoup d’autres bienfaits à l’activité physique modérée à intense sur la santé, même pour les adolescents.

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L’exercice avant l’école, bénéfique pour les enfants avec un TDAH

Ceux qui souffrent de TDAH, enfants comme adultes, ont beaucoup de difficulté à être attentifs, à éviter les comportements impulsifs ou à diminuer leur fébrilité.

Selon une recherche effectuée par l’Université d’État du Michigan et celle du Vermont, des activités d’aérobie avant l’école aideraient à diminuer les symptômes en classe, tout comme à la maison.

« Des études suggèrent que l’activité physique peut avoir un effet positif sur les enfants qui souffrent de TDAH », indique Alan Smith du département de kinésiologie.

La présente recherche a démontré une amélioration substantielle des fonctions cérébrales des enfants avec TDAH lorsqu’ils faisaient de l’exercice avant les cours. Ils avaient de meilleures aptitudes tant en mathématiques qu’en français.

Pour en arriver à cette conclusion, 200 enfants du primaire et d’âge préscolaire ont été séparés en deux groupes. Le premier faisait quotidiennement des exercices avant l’école, contrairement au second groupe. L’étude a duré 12 semaines.

« Même si beaucoup de questions demeurent en suspens, l’activité physique apparaît comme une méthode d’intervention prometteuse », a souligné Smith.

Science World Report mentionne que la recherche se retrouve dans le Journal of Abnormal Child Psychology.

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Stimuler une partie du cerveau pour améliorer la motivation sportive?

Ne serait-ce pas là l’intervention médicale la plus utilisée si celle-ci était permise au grand public? Les experts de l’institut de recherche pour enfants de Seattle ont justement découvert une petite région du cerveau qui motive un être à faire des activités physiques.

L’habenula est similaire chez les rongeurs et les humains. Elle comprend des fonctions de base qui régulent l’humeur et la motivation. Il s’agit donc d’une région qui détermine spécifiquement le désir d’exercice, informe le Dr Eric Turner.

« Les segments responsables de la motivation à l’activité physique étaient jusqu’à présent mal compris. Désormais, nous pouvons chercher une façon de manipuler ce désir en touchant uniquement la partie du cerveau concernée. »

Des souris modifiées génétiquement ont été testées, mentionne Headlines & Global News, et il s’est avéré qu’avec cette région du cerveau inhibée, elles sont devenues léthargiques.

Au contraire, celles dont l’habenula a été stimulée se sont transformées en ferventes de la roue d’exercice.

L’étude a été publiée dans le Journal of Neuroscience.

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Les enfants en forme sont-ils plus intelligents?

Une précédente étude a déjà prouvé que la matière grise, zones du cerveau importantes pour la mémoire et l’apprentissage, est plus développée chez les enfants qui sont en forme physiquement et qui bougent régulièrement, révèle Science World Report.

Pour la première fois, des chercheurs de l’Université de l’Illinois ont exploré comment l’aérobie et la mise en forme pouvaient avoir un lien avec certaines voies tracées par la matière blanche dans le cerveau des enfants.

En examinant l’apport d’eau dans les tissus cérébraux chez 24 enfants âgés de neuf et dix ans, les scientifiques ont découvert que chez les enfants en forme, une fois de plus, il y avait une différence. Les régions de la matière blanche reliées à l’attention et la mémoire étaient mieux approvisionnées.

Selon des études antérieures, l’activité physique apporte des bienfaits à la matière blanche du cerveau adulte. Désormais, les experts ont prouvé que le cerveau profite de ces bienfaits tout au long de sa vie.

La recherche a été publiée dans la revue Frontiers in Human Neuroscience.

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Il n’est pas trop tard pour améliorer votre santé

Medical News Today rapporte les résultats d’une étude menée par la Northwestern Medicine et qui mentionne que notre cœur n’est pas rancunier.

Les adultes de 30 à 49 ans qui effectuent des modifications de vie pour éliminer les facteurs de risque de maladies coronariennes peuvent arrêter et même renverser les dommages engendrés aux artères cardiaques.

L’étude a été publiée dans la revue spécialisée Circulation. « Il n’est pas trop tard », y explique Bonnie Spring, responsable de la recherche.

Ce sont plus de 5000 participants qui ont été examinés quant à la calcification des artères et de leur épaisseur. Les facteurs de santé à modifier étaient : cesser de fumer, être actif physiquement, éviter le surpoids, consommer peu d’alcool et manger sainement.

Chaque facteur ajouté diminuait le risque de développer des maladies coronariennes.

Ainsi, les chercheurs affirment que deux mythes ont été démystifiés. Ce n’est pas vrai que les gens ne sont pas prêts à apporter des changements à leur vie, et il est faux de croire que les dommages causés sont automatiquement irréversibles.

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La qualité de l’activité physique plus importante que la quantité

« La qualité est plus importante que la quantité » est un adage vieux comme le monde, et il semble qu’il s’applique également en matière de santé et d’activité physique, rapporte Top Santé.

En effet, selon une nouvelle étude américaine, cibler et varier le type d’exercice et miser sur l’impact de ceux-ci serait plus bénéfique pour la santé que de miser sur la répétition et la durée.

Pour arriver à ces conclusions, les auteurs de l’étude du Skidmore College de Saratoga Springs ont analysé les réactions de trois groupes de sujets volontaires. L’un des groupes ne devait simplement rien faire, le second devait miser sur un programme d’activité physique très intense et fréquent (quatre fois par semaine), alors que le troisième devait varier les types d’exercice et de programmes, mais de façon moins répétée.

Vous aurez deviné que le troisième groupe a bénéficié davantage de ce type de programme, tout en gagnant du temps précieux sur une base hebdomadaire.

« Pour être en bonne santé, il ne faut pas simplement faire plus de sport, mais pratiquer une gamme d’exercices appropriés qui sont bénéfiques et réellement utiles à la forme physique. Mais les résultats de l’étude suggèrent la nécessité de réévaluer les directives de santé dans le monde. En effet, leurs recommandations s’appuient aujourd’hui sur le temps passé à faire de l’exercice par semaine, et non sur les types d’activités physiques pratiquées », résume Paul Arciero, directeur de l’étude.

En ce moment, l’OMS suggère 150 minutes d’activités physiques dites « modérées » par semaine, ou 75 minutes d’activités très intenses.

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Le marathon gagne en popularité

Radio-Canada rappelle l’arrivée de la saison des marathons avec la venue de l’été et rapporte une hausse statistique des sportifs s’adonnant à cette épreuve des plus exigeantes sur le plan physique, mais aussi sur le plan psychologique.

Ainsi, on rapporte que les marathons attirent maintenant environ 500 000 personnes annuellement, comparativement à 150 000 il y a trente ans. Une hausse qui continue d’être observable depuis les années 80, en somme, et qui traduit bien le choix de plusieurs personnes de transformer leurs vies ou de se fixer un objectif intense d’entraînement.

Paradoxalement, si on retrouve toujours plus d’athlètes de ce niveau, on continue également d’observer une hausse des personnes sédentaires ou qui ne pratiquent pas d’activité physique, rapporte cette même source.

« On parle de 150 000 participants dans les années 80 et, aujourd’hui, on compte un demi-million de marathoniens. On constate qu’il y a plus de gens qui y participent, c’est devenu un sport plus démocratique », estime le spécialiste Marc Gosselin.

Il existe également maintenant des compétitions appelées « ultra-marathon », qui proposent des parcours de 160 kilomètres, de quoi rassasier les plus extrêmes.

Les spécialistes s’accordent toutefois pour dire qu’il est important de consulter un médecin pour un bilan de santé avant de se lancer dans un entraînement de marathonien, et de demander conseil auprès de différentes sources ou professionnels de la santé.