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Des exercices occasionnels peuvent être néfastes si la condition physique n’est pas bonne

Des chercheurs ont analysé 14 études regroupant 9 300 personnes, surtout des hommes de 57 à 63 ans. On constate que l’activité physique ou les relations sexuelles occasionnelles peuvent entraîner de graves problèmes pour ceux qui ceux moins actifs.
 
Pour l’activité physique, les risques d’infarctus du myocarde sont multipliés par 3,5, alors que pour ce même infarctus, les risques sont plus grands de 2,7 fois lors d’une relation sexuelle occasionnelle, comparativement à ceux qui s’abstiennent.
 
Ceux qui s’entraînent seulement à l’occasion ont cinq fois plus de risques de mourir subitement après une activité. Toutefois, pour les risques de décès, on n’établit aucun lien avec les relations sexuelles.
 
Donc, l’exercice, physique ou sexuel, est bon pour le cœur, mais pour les personnes qui sont en moins bonne condition physique, cela peut représenter un danger, rapporte le Journal of the American Medical Association.
 
Le risque absolu demeure tout de même minime, mais les experts recommandent fortement de consulter un médecin avant de se lancer dans un programme d’entraînement intensif.
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20 % de la population ne ressent aucun bienfait de l’exercice

Des chercheurs londoniens en arrivent à une conclusion étonnante qui risque de soulever la colère des groupes qui prônent l’activité physique.
 
Selon le docteur James Timmons et son équipe de l’université de Londres, environ 20 % de la population perdrait son temps à courir, nager, faire de l’aérobie ou toute autre activité physique. Les chercheurs affirment en effet que ces personnes ne ressentent pas les bienfaits de l’exercice sur leur santé, car elles n’ont pas une prédisposition génétique qui le permet.
 
Selon eux, ces personnes devraient donc se concentrer sur leur alimentation afin que celle-ci soit équilibrée pour éviter les problèmes de santé comme les maladies cardio-vasculaires.
 
Selon le Dr Timmons, cette étude ouvre la voie à de futures recommandations personnalisées d’après les résultats d’un test d’ADN effectué sur la personne. Ainsi, on pourrait mettre à exécution un plan qui permettrait à ces individus de rester en forme et de préserver une bonne santé, notamment celle de leur cœur.