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Une autre étude confirme les effets de la diète méditerranéenne sur la santé

Une nouvelle étude en provenance d’Espagne vient cristalliser ce que plusieurs précédentes avançaient également : la diète méditerranéenne est une puissante alliée dans la prévention des attaques cérébrales et cardiaques, notamment.

Ce sont les conclusions proposées par ces chercheurs de l’Université de Barcelone, qui tendent à prouver les effets bienfaiteurs de ce type de régime, composé entre autres de légumes, de fruits, de poissons, de vin et d’huiles végétales.

Ajoutez à cela les huiles d’olive et de noix, et vous vous retrouvez avec des risques de problèmes cardiovasculaires grandement diminués, même parfois jusqu’à 30 %, rapporte Santé Log.

Même son de cloche en ce qui concerne les AVC, qui seraient également moins enclins à se produire en adoptant la diète méditerranéenne.

Cette récente étude a été commandée et publiée dans le cadre de l’effort PREDIMED, qui tente de définir les impacts réels de ce régime sur la santé, depuis 2003.

De plus en plus, donc, les vertus de la diète méditerranéenne semblent incontestables.

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Nouvelle thérapie pour les victimes de crise cardiaque et d’anévrisme

Des chercheurs israéliens proposent une nouvelle façon de faire pour aider les victimes de crise cardiaque et d’anévrisme à se rétablir complètement, rapporte The National Library of Medicine.

Il s’agit d’une thérapie qui utilise l’oxygène pour accélérer le processus de rétablissement des patients à la suite d’un AVC ou d’une crise cardiaque. Ce n’est pas une nouvelle méthode en soi, puisque celle-ci est utilisée dans d’autres domaines et est connue sous le nom de thérapie hyperbare (utilisé notamment dans le sport professionnel).

Les chercheurs israéliens voulaient cette fois déterminer avec certitude les effets de la méthode hyperbare sur leurs patients, et ils ont réussi. Selon eux, tous les 59 patients observés lors de l’étude ont démontré des signes avancés de rétablissement précoce, à plus ou moins grande échelle.

Pour certains patients, les chercheurs parlent carrément d’une « amélioration radicale ».

La thérapie par oxygène cible particulièrement les lésions cérébrales causées par des accidents de type AVC, permettant de les soigner et de ramener le cerveau à son état fonctionnel antérieur.

On note particulièrement le cas d’une dame âgée de 62 ans qui a retrouvé la capacité de lire, parler, écrire, manger et marcher grâce à cette méthode.

Il s’agit d’un grand pas en avant pour des millions de patients à travers le monde, victimes de crise cardiaque et de rupture d’anévrisme.

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Plus de chances de survivre à un arrêt cardiaque selon la classe sociale

Même s’il semble discriminatoire de tenir de tels propos, www.nlm.nih.gov avance une étude qui prétend que les chances de survie lors d’un arrêt cardiaque peuvent varier selon l’endroit où vous vous trouvez et votre classe sociale.

En fait, il semble que les gens issus ou résidants d’un milieu plus aisé soient plus enclins à tenter des manœuvres de réanimation (RCR) sur une victime que les autres.

La Dre Comila Sasson, de l’école de médecine de l’Université du Colorado, résume : « L’endroit où vous aurez une crise cardiaque aura un impact sur vos chances de survie, et celles-ci peuvent même varier selon le côté de la rue où vous vous trouvez. Il s’agit d’un phénomène psychosocial et économique réel ».

Chaque année en Amérique, plus de 300 000 personnes sont victimes d’un arrêt cardiaque, et l’endroit où la crise se produit influence les chances de voir un pur étranger leur venir en aide.

Plus de 14 225 de ces cas ont été étudiés, tous en milieux urbains, et la moyenne statistique des chances qu’un inconnu tente des manœuvres de réanimation seraient de 29 %. Celles-ci passeraient à 55 % dans les quartiers les plus favorisés, un écart très significatif.

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Prévenir les accidents cardiaques chez la femme

Santelog.com rapporte que les accidents cardiovasculaires font plus de ravages chez les femmes plus âgées que le cancer du sein.

Il serait donc prudent d’agir en conséquence et de prévenir d’éventuels problèmes cardiaques, mais il semble que les femmes elles-mêmes tendent à sous-estimer le problème.

En effet, une minimisation des risques, doublée d’autres facteurs comme le tabagisme, une mauvaise contraception, le surpoids ou la sédentarité, peut mener une femme vers de sérieux troubles cardiaques.

Si le rapport parle des femmes mûres, on recense aussi une augmentation de 12 % des décès chez celles de moins 50 ans, une statistique alarmante.

Le style de vie moderne est aussi à pointer du doigt, lui qui comporte son lot de stress et de soucis, en plus de se dérouler à une vitesse extrême. Ce sont tous des facteurs qui augmentent les risques d’ACV et d’autres problèmes.

Une autre statistique surprenante est celle concernant la cigarette, qui gagnerait en popularité chez les femmes. En effet, plus de femmes fumeraient, et ce, malgré le fait que les dangers du tabagisme soient plus grands pour elles (25 % supérieurs) que pour les hommes.

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Les sévices conduisent à des maladies

Les petites filles qui subissent de la maltraitance physique ou des sévices sexuels seront plus enclines à souffrir de maladies cardiovasculaires, lit-on sur Medical News Today. Précisément, elles sont exposées à de plus grands risques de crise cardiaque, de maladies cardiaques et d’AVC.

Une récente étude indique que les filles victimes de maltraitance physique durant l’enfance courent un risque 45 % plus élevé de tels problèmes de santé à l’âge adulte. Si elles ont été forcées à des rapports sexuels répétés, elles se retrouvent 62 % plus à risque d’une maladie cardiovasculaire.

Parallèlement, des violences « légères à modérées », si l’on peut les nommer ainsi, n’ont pas été reliées à des risques particulièrement plus élevés.

Le plus influent facteur, dans le cas d’un haut risque de maladie cardiovasculaire, est que les jeunes filles maltraitées avaient fortement tendance à prendre du poids durant l’adolescence et la vie adulte.

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Du Pradax plutôt que de la warfarine

Selon une étude publiée dans le New England Journal of Medicine, il est préférable de traiter les patients ayant souffert d’un accident vasculaire cérébral (AVC) au Pradax plutôt qu’à la warfarine, un médicament prescrit depuis 50 ans contre les AVC et l’arythmie cardiaque.

Grâce à des essais cliniques, les chercheurs ont découvert que l’incidence d’un second AVC et d’embolie chute de 34 % chez les patients à qui l’on a donné 150 mg de Pradax deux fois par jour.

Le médicament réduit aussi le risque d’hémorragies associé à la consommation d’anticoagulants. « Nous disposons dorénavant d’un traitement par voie orale offrant une protection supérieure contre les AVC avec un risque réduit de saignement et ne nécessitant pas la surveillance régulière de l’anticoagulation », a fait savoir l’un des chercheurs derrière ces résultats, le Dr Stuart Connolly.

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Les méfaits du désespoir

Selon la Dre Susan Everson-Rose, de la Faculté de médecine de l’Université du Minnesota, les femmes qui se sentent fréquemment désespérées sont plus à risque de faire des plaques dans les artères de leur cou, ce qui augmente l’incidence d’accident vasculaire cérébral (AVC).

Plusieurs études antérieures avaient démontré l’association entre le stress ou la dépression et les maladies coronariennes, mais la recherche de la Dre Everson-Rose est la première à se pencher sur le manque d’optimisme et son effet sur la santé.

Cette dernière a travaillé avec 559 femmes en bonne santé dont l’âge moyen était de 50 ans. Elles ont rempli un questionnaire afin de démontrer leurs perceptions envers le futur et les objectifs qu’elles souhaitaient atteindre. Ensuite, on a mesuré l’épaisseur des artères du cou.

Les artères des sujets les plus pessimistes étaient plus épaisses que celles des participantes optimistes, ce qui les rend plus vulnérables à souffrir d’athérosclérose et d’AVC.

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L’exercice physique réduit les lésions après un AVC

Selon un rapport publié dans le Journal of Neurology, Neurosurgery and Psychiatry, les personnes ayant fait de l’activité physique régulièrement avant un accident vasculaire cérébral (AVC) avaient moins de séquelles.

Sur 673 cas étudiés, on a remarqué que 50,5 % des patients qui mentionnaient avoir fait de l’exercice une à trois fois par semaine s’en tiraient mieux après un AVC que les personnes inactives. Chez ceux faisant des exercices quatre fois par semaine ou plus, les résultats étaient encore meilleurs.

On a fait l’étude sur deux échelles de mesure. La première, Index Barthel, mesure la capacité d’effectuer 20 activités quotidiennes comme s’habiller seul ou se laver seul. L’échelle Handicap Oxford Scale, plus générale, tient compte de la capacité à s’exprimer clairement, de retourner au travail ou de lire.

On recommande donc des études plus poussées sur le sujet afin que cette forte tendance d’un lien entre l’exercice physique et les séquelles moindres d’un AVC soit confirmée.

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Essais cliniques sur un traitement contre les AVC

Des essais cliniques pour améliorer la mobilité de patients ayant souffert d’un accident vasculaire cérébral seront menés par une équipe de chercheurs de l’Hôpital Royal Victoria.

Le traitement, baptisé ENHANCE, consiste à combiner une stimulation magnétique transcrânienne répétitive (SMTr) à des séances de physiothérapie traditionnelle.

Cette stimulation, conçue dans les années 80, était surtout utilisée pour traiter les migraines, la maladie de Parkinson, la dystonie et les acouphènes.

« Avec la SMTr, nous stimulons les neurones du cerveau au moyen d’une petite bobine placée à la surface de la tête. Cette bobine délivre un champ magnétique qui induit alors un faible champ électrique dans les cellules du cerveau situées à proximité. Nous pensons que la SMTr avant les séances de physiothérapie stimule le cerveau des patients et les rend plus réceptifs aux effets de la réadaptation », a expliqué l’un des chercheurs, Lisa Koski.

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L’AVC exacerbé par les conflits familiaux

Des travaux, menés auprès de 88 adultes ayant subi un accident vasculaire cérébral (AVC), permettent à Annie Rochette, professeure à l’Université de Montréal, de conclure que les conflits familiaux augmentent le risque d’AVC, particulièrement quand les rôles des parents sont ambigus.

 

Mme Rochette a interrogé ses patients sur plusieurs aspects de leur vie quotidienne un mois avant l’attaque cérébrale et a observé que, dans plusieurs cas, il y avait une certaine tension dans les relations interpersonnelles de ces familles.

 

Ces témoignages lui font croire que ces conflits pourraient être à l’origine de l’AVC.

 

Selon Mme Rochette, son étude peut représenter une piste de prévention de l’attaque cérébrale, comme elle en témoigne : « Cette stratégie pourrait se révéler efficace et d’autant plus nécessaire que ceux qui ont eu un premier ACV sont à risque d’en avoir un second. »

 

Selon l’Organisation mondiale de la santé, il se produit un accident vasculaire cérébral toutes les cinq secondes dans le monde.