Le phénomène d’horloge biologique serait aussi vérifiable dans les cellules de graisse, adipeuses, ce qui pourrait expliquer et corroborer l’importance des moments où vous prenez vos repas, selon santelog.com.
C’est ce qu’avance une nouvelle étude, qui vient rejoindre plusieurs autres précédentes sur le sujet, alors que des chercheurs ont réussi à enlever le « gène de l’horloge » des cellules adipeuses de souris.
Ce faisant, les messages envoyés par les cellules graisseuses au cerveau par l’entremise de l’hormone leptine pour annoncer les taux d’énergie en surplus ne se rendent plus.
Les souris commencent alors à grossir, voire devenir obèses, sans pour autant absorber plus de calories.
Il s’agit d’une découverte remarquable, qui pourrait prouver l’importance de manger à des heures régulières, ainsi que d’éviter de manger lorsque le corps s’attend à une période de repos. Cette dernière constatation viendrait d’ailleurs contredire certains articles publiés récemment sur le sujet.
On peut donc conclure que certaines personnes pourraient souffrir d’un syndrome que nous pourrions appeler celui de « l’horloge cassée », alors que les renseignements des cellules adipeuses ne se rendent plus, ou mal, au cerveau, et que la connexion avec le système nerveux central est déficiente.
Manger des repas à des heures aléatoires et pendant la nuit deviendrait alors catastrophique.