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Des chercheurs parviennent à introduire de nouveaux gènes sains chez des souris

Bienvenue à Gattaca aurait aussi bien pu être le titre de cet article, puisque ceux qui se souviennent du film qui mettait en vedette Ethan Hawke il y a plusieurs années risquent de très bien comprendre ce qui suit.

ScienceWorldReport rapporte en effet que des chercheurs seraient parvenus, selon leur propre rapport publié dans le journal FASEB, à modifier le destin génétique de rongeurs en introduisant de nouveaux gènes sains, corrigeant ainsi les défauts présentés par toute une génération et ses suivantes.

En clair, l’équipe de chercheurs, dont fait partie Anil Chandrashekran, aurait réussi à corriger des travers génétiques permettant d’assurer un meilleur avenir aux descendants d’une lignée, pavant ainsi la voie au retrait et au traitement de certaines maladies graves.

« La technologie transgénique est l’un des plus importants outils pour la recherche contre toutes sortes de maladies retrouvées chez les humains et les animaux, et pour mieux comprendre certains problèmes cruciaux en biologie », explique Chandrashekran.

Bien entendu, ce qui s’avère une grande nouvelle pour les uns sera scandaleux pour les autres, et on peut maintenant s’attendre à ce que le débat concernant les manipulations génétiques soit à son plus fort au cours des prochaines années… probablement avec raison.

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Le « gène de jouvence » pourrait accélérer le processus de guérison

Le Daily Mail (UK) rapporte une découverte effectuée par des chercheurs de la prestigieuse Université Harvard, et qui pourrait s’avérer le premier pas vers une véritable révolution en matière de santé.

Les chercheurs en tête de l’étude, d’ailleurs publiée dans le journal scientifique Cell, annoncent qu’ils sont parvenus à identifier le « gène de jouvence », le Lin28a, qui permet de régénérer les cellules et les tissus plus rapidement, à l’image de certains jeunes animaux.

C’est d’ailleurs en se basant sur les capacités de régénération accrue de certains jeunes mammifères que les chercheurs de Harvard ont cherché à savoir si la propriété génétique en question pouvait être identifiée et reproduite.

Il semble que oui, avec l’annonce de la découverte du gène Lin28a, hautement actif chez les bébés qui ne sont pas encore nés, et qui s’amenuise rapidement avec l’âge.

« Pourquoi certains animaux peuvent régénérer complètement leurs organes alors que d’autres ne peuvent pas est l’un des plus anciens mystères de la biologie. Nos recherches soutiennent l’idée que le système de récupération des tissus chez les mammifères peut être grandement amélioré en réactivant les gènes observables chez les plus jeunes », explique George Daley, impliqué dans ces travaux d’avant-garde.

On croit maintenant être possiblement en mesure de créer un médicament qui permettrait une meilleure capacité de guérison et de réparation des tissus chez l’homme.

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Traitement de l’Alzheimer : une prédiction futuriste étonnante

Le Daily Mail (UK) rapporte une prédiction stupéfiante en matière de traitement éventuel de la maladie d’Alzheimer, une nouvelle qui a de quoi semer l’optimisme chez les spécialistes, les chercheurs, les patients et la population vieillissante, si elle s’avère fondée.

Selon des chercheurs de l’Université Cardiff, Julie Williams en tête, il serait possible dans un avenir rapproché de mettre au point un traitement sous forme de vaporisateur nasal qui échangerait et ajouterait des gènes en santé chez le patient qui l’utilise.

Quels gènes? À commencer par les 11 identifiés dans cette recherche, la même qui mène à cette prédiction quasi historique. Cette dernière se base sur le travail de 180 chercheurs basés dans 15 pays différents, et qui concluent conjointement à l’existence de 11 autres gènes qui augmentent les risques de développement de la maladie d’Alzheimer, portant le total à 21.

Williams, directrice de la recherche, résume : « Ce qui nous a surpris le plus est le schéma très fort qui montre l’implication de plusieurs gènes menant à la démence. Chaque gène individuel apporte un risque faible, mais quand on place toute l’information ensemble, ils (les gènes) nous racontent une intéressante et nouvelle histoire. Ça nous mène dans une nouvelle direction ».

Encore une fois, la réponse semble bel et bien se trouver dans l’analyse génétique, et Julie Williams croit qu’il est raisonnable de croire à un traitement de l’Alzheimer d’ici les dix prochaines années.

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Connaissez-vous le syndrome de Martin et Bell ou de l’X fragile ?

Hier (10 octobre) se tenait la journée européenne de sensibilisation d’un syndrome appelé « X Fragile » ou « syndrome de Martin et Bell », rapporte Top Santé.

Le syndrome, qui toucherait un garçon sur 1000 et une fille sur 9000, est largement méconnu du grand public et mérite qu’on lui accorde de l’attention, croient les experts.

L’une des raisons qui expliquent cette méconnaissance est l’absence ou la subtilité des symptômes liés à la maladie. C’est d’ailleurs pourquoi un grand nombre de parents ne découvrent le problème chez leur enfant qu’à l’âge de l’apprentissage, où certains retards peuvent se manifester.

Le syndrome de Martin et Bell ou de l’X fragile tient son nom de la faiblesse observable au niveau du chromosome X chez le patient qui en souffre, et se caractérise par l’absence d’une protéine qui s’avère nécessaire au fonctionnement « normal » du cerveau humain.

Les spécialistes espèrent que cette journée de sensibilisation permettra à plus de gens de découvrir et de mieux comprendre le syndrome, dépisté par un test génétique.

Un film extrêmement touchant est par ailleurs proposé pour faire la lumière sur ce syndrome, intitulé Mission To Lars. Ce dernier raconte l’histoire de Tom Spicer et de son rêve ultime : rencontrer le batteur de Metallica, Lars Ulrich.

Voyez un extrait de Mission To Lars.

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Des chercheurs découvrent le « gène du couple »

Des chercheurs californiens affirment avoir fait une découverte qui permet d’expliquer pourquoi certaines personnes semblent plus douées pour vivre en couple, mais surtout en harmonie.

Si l’on se fie aux conclusions rapportées par le Daily Mail (UK), il semble que cela ait bien peu à voir avec le compromis ou encore la volonté, mais plutôt avec notre bagage génétique.

En effet, les chercheurs de l’Université de la Californie et de Berkeley, en collaboration avec l’Université Northwestern, tracent un parallèle entre le bonheur en amour et un gène appelé 5-HTTLPR. Ce dernier serait la clé d’un mariage heureux, selon la longueur de ses variantes.

Les chercheurs ont remarqué que les couples qui présentent des variantes plus courtes de ce gène semblent plus malheureux en amour que ceux qui présentent des variantes plus longues, une logique qui semble implacable pour Robert W. Levenson, un psychologue qui dirige l’étude.

« Avec ces nouvelles découvertes génétiques, nous comprenons maintenant beaucoup mieux ce qui détermine à quel point les émotions sont différentes pour chaque personne. Nous pouvons même affirmer que le bonheur conjugal est lié à la génétique. Deux personnes ayant des gènes 5- HTTLPR courts sont plus susceptibles de s’épanouir dans un mariage porté par des relations positives et souffriront dès que les relations se détérioreront. En revanche, les personnes ayant un ou deux gènes longs sont moins sensibles au climat émotionnel et supportent mieux les conflits et les relations négatives », explique Levenson, dans des propos également rapportés par Top Santé.

Les résultats de cette étude ont été publiés dans la plus récente édition du magazine Emotion.

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Le rat-taupe nu continue d’émerveiller la communauté scientifique

On rapportait récemment une étude fascinante effectuée sur le compte du rat-taupe nu et de son incroyable invulnérabilité au cancer, une recherche qui avait fait le tour du monde.

Voilà que le dossier se poursuit, explique Top Santé, alors qu’une nouvelle étude se penche maintenant sur la longévité stupéfiante de l’animal, qui peut vivre jusqu’à 35 ans!

Incroyable, si l’on considère que les animaux de la même famille vivent en moyenne deux petites années…

Une équipe de chercheurs menée par le professeur en biologie Andrei Seluanov a donc effectué des recherches plus poussées sur le rat-taupe nu, pour découvrir un système cellulaire et de création de protéines qui frisent la perfection.

« C’est important, car des protéines sans altération permettent au corps de fonctionner plus efficacement… Bien qu’il s’agisse de recherches fondamentales, nous espérons que notre découverte encouragera d’autres travaux sur des moyens d’améliorer la synthèse des protéines », explique Seluanov, visiblement enthousiaste. 

En clair, les recherches sur le rongeur africain pourraient un jour permettre de contrer certains effets retour du vieillissement, prévenir certaines maladies et peut-être protéger du cancer, comme on le mentionnait dans cette précédente étude publiée dans le magazine Nature récemment.

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Angelina Jolie fait-elle augmenter les requêtes de mastectomie?

Le Daily Mail (UK) rapporte une hausse des demandes de mastectomie, un phénomène que le journal n’hésite pas à lier à l’histoire d’Angelina Jolie, le baptisant même « l’effet Jolie ».

Les données britanniques rapportées semblent en effet confirmer une hausse spectaculaire des requêtes pour une mastectomie de la part des femmes à risque de développer un cancer du sein.

Un risque que les spécialistes sont maintenant capables de chiffrer, en analysant le bagage génétique d’une patiente. C’est précisément l’histoire d’Angelina Jolie, qui avait décidé d’opter pour une mastectomie complète après avoir reçu confirmation qu’elle portait le gène BRCA1, portant ses chances de développer un cancer du sein à 87 %.

Il semble que le choix de l’actrice ait influencé toute une génération de femmes, qui ont alors pris d’assaut le web afin de s’informer. Le phénomène s’est ensuite traduit par une hausse de telles demandes dans les cliniques et centres en oncologie, confirment plusieurs spécialistes.

Alors que plusieurs observateurs saluent le courage d’Angelina Jolie, d’autres croient plutôt qu’il faut être très prudent avec ce genre d’intervention, extrême s’il en est une, et rappellent qu’il existe d’autres alternatives pour faire baisser les risques de développer un cancer du sein.

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Le style de vie influence bel et bien notre ADN

Bien que plusieurs études et recherches avaient précédemment indiqué ce fait, une nouvelle publication confirme les impacts de nos choix de vie sur notre bagage génétique, selon Santé Log.

Cette plus récente étude allemande, parue dans le magazine Human Molecular Genetics, associe plusieurs comportements à des maladies découlant justement d’un changement sur le plan moléculaire.

Le tabagisme, le type d’alimentation, l’exercice physique, tous des facteurs connus depuis bien longtemps, qui s’avèrent capables de « modifier » notre ADN et de paver la voie à certaines maladies graves, comme le cancer ou le diabète notamment.

Sans modifier les gènes, l’hygiène et le style de vie provoqueraient certaines altérations qui sont visibles par l’équipe de chercheurs en tête de l’étude, ce qui confirme de façon convaincante les précédentes théories avancées par la communauté scientifique.

En contrepartie, ces découvertes permettent également d’en savoir plus sur de nouvelles possibilités de traitement cellulaire, le revers positif d’une médaille inquiétante.

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L’amour par l’odeur, une nouvelle étude le confirme

L’amour au premier… reniflement? Voilà ce que titre judicieusement le Daily Mail (UK) en rapportant une nouvelle étude qui confirme l’impact de l’odeur sur l’attirance entre hommes et femmes.

Attention, on ne parle pas nécessairement ici d’odeur corporelle ou d’hygiène, bien que plus qu’appréciée, mais plutôt « d’odeur génétique ».

On entend par là, et ceci concerne surtout la femme si l’on se fie aux données rapportées, que les futurs partenaires sont capables de détecter l’odeur subliminale du bagage génétique l’un de l’autre et ainsi de déterminer de façon subconsciente si celui-ci fera un bon géniteur.

C’est ce qu’avance le professeur Daniel Davis dans son plus récent livre, The Compability Gene, qui accorde aux femmes un sixième sens très développé pour ce genre de choses.

Le membre de l’Université de Manchester se base également sur une expérience menée en Suisse, une recherche baptisée « expérience du t-shirt ».

On demandait à des hommes de porter le même t-shirt pendant deux jours, en évitant tout contact avec quoi que ce soit qui pourrait altérer leurs odeurs naturelles. Puis, on plaçait les chandails dans des boîtes et on demandait à un groupe-test composé de femmes de les « renifler » et de choisir un partenaire en se basant sur cette seule facette.

Résultat? Les femmes volontaires ont presque systématiquement choisi les hommes avec lesquels elles pourraient concevoir des enfants possédant un avantage génétique évident!

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Percée majeure dans la compréhension du cancer et de son développement

Plusieurs spécialistes croient qu’il est possible d’améliorer les statistiques de guérison et de rémission de cancer grâce à des méthodes de traitements personnalisées et adaptées à chaque cas.

Une nouvelle recherche, rapportée par Santé Log, dévoile des découvertes fascinantes en matière de fonctionnement et de développement du cancer, lesquelles mènent à des conclusions qui abondent dans le même sens.

L’étude d’envergure mondiale produite par le Wellcome Trust analyse les mutations et les comportements génétiques de plus de 30 cancers dits « communs ». Cela permet de constater que ces mutations sont non seulement complexes, mais qu’elles peuvent aussi s’expliquer par plusieurs facteurs différents.

On comprend maintenant mieux que le cancer est une véritable mutation du bagage génétique, pavant ainsi la voie à de meilleures avenues de traitement.

C’est du moins ce que croient plusieurs experts, qui dévoilent leurs théories et leurs trouvailles dans ce long rapporté publié par le magazine Nature.

On se rend compte, malgré une compréhension bien plus grande du phénomène, que le cancer est un mal énigmatique et qu’il s’explique par plusieurs raisons. La découverte de 21 signatures génétiques, mentionnées dans le rapport permet d’élargir les horizons et de croire en des traitements plus efficaces d’ici peu.

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Une nouvelle recherche, rapportée par Santé Log, dévoile des découvertes fascinantes en matière de fonctionnement et de développement du cancer, lesquelles mènent à des conclusions qui abondent dans le même sens.

L’étude d’envergure mondiale produite par le Wellcome Trust analyse les mutations et les comportements génétiques de plus de 30 cancers dits « communs ». Cela permet de constater que ces mutations sont non seulement complexes, mais qu’elles peuvent aussi s’expliquer par plusieurs facteurs différents.

On comprend maintenant mieux que le cancer est une véritable mutation du bagage génétique, pavant ainsi la voie à de meilleures avenues de traitement.

C’est du moins ce que croient plusieurs experts, qui dévoilent leurs théories et leurs trouvailles dans ce long rapporté publié par le magazine Nature.

On se rend compte, malgré une compréhension bien plus grande du phénomène, que le cancer est un mal énigmatique et qu’il s’explique par plusieurs raisons. La découverte de 21 signatures génétiques, mentionnées dans le rapport permet d’élargir les horizons et de croire en des traitements plus efficaces d’ici peu.

Crédit photo : www.freedigitalphotos.net