Catégories
Uncategorized

L’altruisme serait meilleur pour la santé et les gènes que l’égocentrisme

Voici une recherche plus qu’intéressante proposée par The National Library of Medicine, initialement publiée par un groupe de chercheurs américains.

L’équipe californienne a en effet tenté de déterminer les effets de nos actions sur la santé et la génétique, en analysant les comportements de 80 personnes, divisées en deux groupes.

Le premier groupe comprenait les individus en quête d’une vie remplie de sens, d’altruisme et de générosité. Le deuxième groupe, on le devine, comprenait plutôt des gens plus égocentriques, à la recherche d’un plaisir et d’une gloire bien plus personnelle.

Les résultats, publiés dans la version web du magazine Proceedings of the National Academy of Sciences, sont étonnants.

Les sujets du premier groupe ont démontré une réponse des gènes qui se caractérise par une action des cellules immunitaires! On note moins de gènes « inflammatoires », et une exubérance des gènes antiviraux et protecteurs de l’organisme. Le contraire a aussi été observé chez le deuxième groupe.

« Les deux groupes semblaient profiter des mêmes niveaux d’émotions positives. Par contre, les génomes répondaient de façon très différente, malgré des états émotionnels relativement semblables et positifs. Le génome humain est beaucoup plus sensible aux différentes façons d’atteindre le bonheur que nos esprits conscients », résume Steven Cole, professeur à l’Université de Californie.

Incroyable!

Catégories
Potins

Paris Jackson et son frère Prince ont le même père

Jason Pfeiffer, un bon ami de Michael Jackson, aurait reçu sa confession environ 4 mois avant son décès.

Admettant ne pas être le père de ses deux plus vieux enfants, il aurait aussi avoué que l’acteur britannique Mark Lester, 54 ans, serait bel et bien le père biologique de Paris et Prince Michael.

Le roi de la pop serait cependant le vrai père de son plus jeune fils, Blanket, qu’il aurait eu à l’aide d’une mère porteuse.

Pfeiffer a déclaré au journal Daily Mirror : « Michael et moi parlions souvent de nos familles et de nos vies. Un jour, alors que nous parlions de ses enfants et de Debbie Rowe, il s’est tout simplement confié en disant que le père biologique de Paris et Prince Michael était Mark. Michael s’est exprimé calmement et a dit “Mon ami Mark a donné son sperme” ».

« J’ai été surpris, mais je n’ai pas posé de question. Michael considérait Mark comme un de ses plus proches amis. Il disait de lui qu’il était un très bon acteur et un homme bien. Il a aussi dit avoir eu en sa possession le sperme de plusieurs hommes, mais s’être arrêté sur celui de Mark. »

Voilà qui, espérons-le, mettra un baume sur le coeur de Paris Jackson, qui disait être dévastée de ne pas partager le même père que son frère Prince Michael.

Catégories
Uncategorized

Des chercheurs identifient le mécanisme de prolifération du cancer

Des chercheurs de l’Université du London College ont identifié un mécanisme de l’organisme qui expliquerait en partie ou en totalité la capacité du cancer à proliférer.

Ainsi, les conclusions de l’étude britannique proposée, et rapportée par le Daily Mail (UK), font état d’un véritable système de « poursuite » cellulaire! Les cellules malades seraient poursuivies par les cellules viables autour du corps, ce qui permet non seulement de mieux comprendre comment le cancer s’agrandit, mais aussi comment en arriver à un traitement.

« La plupart des décès liés au cancer ne sont pas dus à la formation de la tumeur initiale. En fait, les gens meurent des tumeurs secondaires qui découlent de la première cellule maligne, qui possède la capacité de voyager et de coloniser les autres organes vitaux du corps comme les poumons et le cerveau », explique Roberto Mayer, professeur et porte-parole officiel de l’étude.

Il conclut en affirmant : « Ceci se produit parce que la cellule maligne réussit à se faire suivre par des cellules saines. Personne ne savait comment cela fonctionnait, et nous croyons avoir percé le mystère. Si c’est le cas, il serait relativement facile de développer des traitements qui interfèrent avec cette interaction ».

Une nouvelle excitante et stupéfiante s’il en est une, qui prouve encore une fois que la lutte au cancer peut être remportée un jour.

Catégories
Uncategorized

Encore une étape de franchie dans la compréhension de l’autisme

L’autisme est encore un mystère pour bien des spécialistes et médecins, mais la génétique permet de comprendre de plus en plus le phénomène.

Santé Log rapporte d’ailleurs que des chercheurs de l’Université d’Oxford viennent de découvrir une empreinte génétique qui permet de déchiffrer les messages que le cerveau reçoit chez les personnes qui souffrent d’autisme.

En bref, on cherche à découvrir au final les anormalités présentées par l’ADN des patients autistes, et à expliquer pourquoi celles-ci provoquent les réactions observables chez les patients.

On remarque de plus que d’autres variantes de l’ADN permettent ce genre de troubles, ce qui fait dire aux chercheurs qu’il existe plusieurs corrélations possibles.

Ces déductions et analyses ont donc toutes contribué à l’élaboration de cette empreinte génétique complexe et élaborée, qui marque une autre étape dans la compréhension de la maladie.

Les détails et notes de cette recherche ont été publiés dans la revue PLoS ONE ce mois-ci.

Catégories
Uncategorized

Le « consortium du génome du canard » s’attaque à la grippe aviaire

La nouvelle souche de la grippe aviaire, le H7N9, inquiète un nombre considérable de spécialistes et d’observateurs en santé à travers le monde depuis son apparition récente.

Bien qu’il ne faille pas s’inquiéter outre mesure, rappellent les experts, il n’en demeure pas moins qu’il est important d’analyser et de comprendre le phénomène afin d’en arriver à des traitements efficaces.

Pour y parvenir, un nouveau groupe de recherche au nom grandiose vient de faire son apparition, rapporte Santé Log. Il s’agit du « consortium du génome du canard » qui, comme son nom l’indique, tentera de démystifier l’immunité du canard face au virus aviaire.

Ne présentant aucun symptôme physique, l’animal agit simplement comme conduit, ce qui étonne certains experts. Ces derniers aimeraient beaucoup mettre le doigt sur le facteur génétique qui permet cette caractéristique.

En ciblant l’explication génétique, on croit que l’on pourrait grandement faire avancer la cause, voire créer un traitement contre les différentes souches de grippes aviaires.

L’élaboration de cette nouvelle stratégie et de la création du « consortium du génome du canard » ont été révélées dans la plus récente édition du magazine Nature Genetics.

Catégories
Uncategorized

La personnalité ne serait pas que génétique

On pourrait croire que la génétique et notre ADN décident d’une grande part de qui nous sommes en termes de personnalité, mais il appert qu’elle n’est responsable que de 50 % de nos traits de caractère.

Après tout, lorsqu’on ressemble à nos parents et que l’on reproduit les manies et habitudes de l’un de ceux-ci, difficile de croire que l’on peut changer et s’éloigner de l’arbre familial.

Pourtant, selon une étude en provenance de l’Université Exeter, notamment rapportée par Santé Log, il semble que nous ayons beaucoup plus de contrôle sur le développement de notre personnalité au fil du temps qu’on pourrait le croire.

Testée pour l’instant sur des oiseaux et leurs descendants, la théorie des chercheurs s’est avérée exacte jusqu’à maintenant.

L’environnement, la prise de risques, l’aspect social et plusieurs autres facteurs peuvent véritablement changer la personnalité d’un individu.

D’un individu oiseau, pour l’instant, mais il serait certes fascinant de tester la même théorie sur les humains, qui croient trop souvent être victimes de leur propre personnalité. 

Catégories
Uncategorized

La longévité des parents pourrait diminuer le risque de cancer des enfants

Si vos parents mènent ou ont mené une vie sous le signe de la longévité, il est possible que cela se traduise par une baisse des risques de cancer dans votre cas.

C’est le Daily Mail (UK) qui rapporte ces conclusions, initialement proposées par des chercheurs de l’Université d’Exeter.

En somme, on note une baisse des risques de cancer substantielle chez les gens dont les parents atteignent au minimum le plateau des 65 ans. Chaque tranche d’âge atteinte par les parents signifierait des chances de moins pour leur progéniture de développer un cancer, et ce, jusqu’à 25 %.

Les taux de mortalité dus au cancer chutent même de 40 % lorsque les parents d’un individu atteignent 85 ans!

Encore une belle preuve de l’impact de la génétique sur la santé d’un individu et les problèmes auxquels il risque de faire face au cours de sa vie.

Ces conclusions ont été proposées à la suite de recherches effectuées sur plus de 10 000 Américains, sur une période de 18 ans. 

Catégories
Uncategorized

Le déclin de fertilité dû à l’âge chez la femme démystifié

Des chercheurs, supportés par les NIH, résument avec brio les raisons qui expliquent le déclin de fertilité chez la femme, alors que celle-ci atteint la quarantaine.

La perte graduelle de la capacité à procréer s’amorce vers la mi-trentaine, selon ce que l’on comprend des conclusions rapportées par les National Institutes of Health, et s’explique en partie par le déclin de certains mécanismes de défense comme le BRCA1.

Ce système de défense génétique, comme les autres, finit par s’user et perdre de son efficacité avec l’âge, ce qui est aussi vrai chez l’homme, et on peut en constater les effets chez les personnes âgées.

Ainsi, les femmes voient leurs ovules être moins forts qu’à l’époque et n’ont pas la chance de les « réparer » par les mécanismes de défense génétiques, et ils finissent par mourir. Une rationalisation du phénomène qui pourrait permettre de ralentir le procédé…

« Nous savons tous que la fertilité d’une femme baisse dans la quarantaine. Cette étude propose une explication moléculaire à ce qui arrive. Éventuellement, de telles informations pourraient nous aider à allonger la durée de la période reproductrice de la femme », explique avec enthousiasme la Dre Susan Taymans.

Catégories
Uncategorized

L’obésité des pères augmente le risque de cancer chez les enfants

Le journal BMC Medicine a publié les résultats d’une récente recherche qui s’est attardée à l’ADN de nouveau-nés, en particulier les données épigénétiques, c’est-à-dire la manière dont l’environnement et l’histoire individuelle ont une influence sur l’expression des gènes.

Les chercheurs voulaient particulièrement étudier l’effet de l’obésité des parents sur leurs enfants, et ont donc comparé ces données avec de l’information sur le poids des deux parents.

Ils ont constaté que le poids des deux parents avait un impact sur le risque de l’enfant de développer un cancer, et pas uniquement celui de la mère, tel que la science le croyait auparavant.

« Durant la spermatogénèse (la production des spermatozoïdes), certaines régions du code génétique pourraient être sensibles aux dommages environnementaux; ces effets peuvent être transmis à la prochaine génération. Il est possible que la malnutrition ou le niveau d’hormones des pères obèses puisse mener à une méthylation incomplète de l’ADN ou à une reproduction instable des gènes », ont noté les chercheurs, selon Medical News Today.

Des études plus poussées doivent être menées pour mieux comprendre ce facteur de risque.

Catégories
Uncategorized

Certaines mutations génétiques sont liées à une récidive de leucémie

Nature Genetics publie les résultats d’une étude indiquant qu’un jour, les médecins seront peut-être en mesure de déjouer la leucémie lymphoblastique, qui constitue 25 % des cancers pédiatriques.

En analysant les gènes des patients, les chercheurs pourraient arriver à identifier l’émergence de la forme de cette leucémie, qui résiste à la chimiothérapie plus rapidement chez les patients, et changer de traitement avant que la maladie revienne en force.

Lorsque la leucémie lymphoblastique survient, la moelle épinière produit trop de globules blancs. Les avancées scientifiques ont énormément amélioré le taux de guérison, qui se situe maintenant autour de 80 %, mais le pronostic est très difficile pour les 20 % des enfants qui sont résistants au traitement.

Les chercheurs ont analysé la séquence génétique de 10 enfants atteints à trois différents moments, c’est-à-dire au diagnostic, durant la rémission et lors de la récidive.

Les résultats ont montré que ces enfants avaient tous acquis de 1 à 6 mutations génétiques durant leur maladie. Un total de 20 mutations spécifiques à la récidive de la leucémie ont été identifiées, et aucune n’avait été associée au cancer auparavant, selon EurekAlert!.

Armés de ces nouvelles connaissances, les médecins croient qu’ils seront plus en mesure d’identifier les patients qui vivront une récidive et d’agir plus promptement.