Catégories
Uncategorized

Du cresson pour faire le plein d’énergie

L’activité physique est bénéfique à bien des égards, mais elle entraîne la production de radicaux libres, des molécules d’oxygène dangereuses que l’on connait pour avoir un rôle à jouer dans le vieillissement ainsi que dans le développement du diabète et du cancer.

Le cresson serait riche en antioxydants qui détruisent ces radicaux libres.

« Ce que nous avons découvert est que consommer une quantité relativement petite de cresson chaque jour peut augmenter le niveau de vitamines antioxydantes qui peuvent aider à protéger notre corps et nous permettre de profiter des effets positifs de le garder en forme », explique le scientifique sportif de l’Edinburgh Napier University, Mark Fogarty.

Cependant, ceux qui n’aiment pas particulièrement le goût du cresson ne sont pas obligés d’en consommer chaque jour. Les recherches, publiées dans le British Journal of Nutrition, ont démontré que de manger un sac de 85 grammes de laitue deux heures avant de faire de l’exercice avait des effets similaires.

Aussi, le docteur Fogarty rappelle que le cresson est de la même famille que le chou-fleur, le brocoli et le chou. Cependant, en quantité égale, c’est le cresson qui contient le plus de nutriments bénéfiques.

Catégories
Uncategorized

Les enfants battus vieilliraient prématurément

L’ADN d’un enfant de dix ans victime de violence dans son jeune âge montrerait des signes d’usure normalement associés au vieillissement, selon les chercheurs de l’Université Duke en Caroline du Nord.

« C’est la première fois qu’il est prouvé que nos télomères peuvent rétrécir à un rythme plus élevé et même à un jeune âge quand les enfants vivent un stress », explique le chercheur en psychologie et en neuroscience au Duke Institute for Genome Science & Policy, Idan Shalev.

Les télomères sont des séquences d’ADN que l’on trouve au bout des chromosomes et qui préviennent l’effilochage de l’ADN, un peu comme le fait le bout de plastique des lacets de chaussure.

Les télomères raccourcissent chaque fois que les cellules sont brisées, ce qui crée une limite de fois où la cellule peut se briser.

Ainsi, le corps vieillit plus vite à mesure où les enfants reçoivent des coups.

De plus, le tabac, l’obésité, les désordres psychologiques et le stress peuvent avoir une incidence sur la perte des télomères.

Rappelons que 100 enfants au Royaume-Uni meurent chaque année ou sont handicapés par des blessures après avoir été frappés, et ce, presque toujours par un proche, selon le professeur du Royal College of Paediatrics and Child Health, Terence Stephenson.

Catégories
Uncategorized

Un lien entre les défauts génétiques et l’autisme chez l’enfant?

Trois nouvelles études à grande échelle, avec des chercheurs provenant des universités Yale et Harvard, ont mis en évidence l’importance des erreurs dans l’ADN des ovules et des spermatozoïdes comme l’une des causes de l’apparition de l’autisme.

Les résultats des études, publiés dans la revue Nature, démontrent qu’un cas d’autisme sur sept serait dû à ces erreurs.

La croyance générale veut que certaines maladies viennent d’erreurs génétiques présentes dans l’ADN des parents et transmises aux enfants. Toutefois, on parle ici de mutations de novo. Celles-ci apparaissent en premier dans l’ADN de l’enfant et sont causées par des problèmes de spermatozoïdes et d’ovules.

Les chercheurs ont constaté que ces mutations de novo proviennent majoritairement du sperme. Pour quatre mutations provenant du sperme du père, une seule était attribuable à l’ovule de la mère.

Ainsi, plus l’homme est âgé, plus son sperme risque de présenter des anomalies, et plus il a de chances d’engendrer un enfant autiste.

Pour en arriver à ces conclusions, l’ADN de centaines de parents, d’enfants autistes et de leurs frères et sœurs a été analysé.

 « Ces résultats démontrent clairement le potentiel de la technologie de séquençage de l’ADN pour définir les facteurs de risque spécifiques de l’autisme. Nous avons seulement gratté la surface, mais avec la poursuite des efforts de collaboration, ces découvertes génétiques nous montreront les racines biologiques sous-jacentes de l’autisme », a déclaré Mark Daly du Massachusetts General Hospital, un des auteurs.

Rappelons que l’autisme est une réalité 10 fois plus présente qu’il y a 30 ans.

Catégories
Uncategorized

Pourquoi les enfants autistes ont-ils un plus gros cerveau?

Ces anomalies découvertes par les chercheurs de l’USCD, dont l’étude préliminaire a été publiée dans PLoS Genetics, peuvent aider à expliquer le mécanisme sous-jacent faisant en sorte que le cerveau adopte un mode de prolifération (multiplication rapide de cellules) chez les enfants autistes.

Cette récente étude confirme les analyses antérieures qui démontraient que le cortex préfrontal, qui est la clé des pensées complexes et des comportements, y compris la langue, le comportement social et la prise de décisions, est une région du cerveau plus grosse chez l’enfant autiste.

En fait, cette anomalie de croissance contribue probablement de façon significative à la qualité de vie sociale, à la communication et aux déficits émotionnels communs chez les personnes atteintes d’autisme, pensent les chercheurs.

Il a été prouvé qu’une quantité excessive de neurones pourrait expliquer la prolifération. Alors que les enfants qui se développent normalement ont environ 0,88 milliard de neurones dans le cortex préfrontal, les enfants autistes en ont environ 1,57 milliard.

En plus des différences d’ADN connues, des différences dans l’ARN entre les cerveaux autistes et non autistes ont été observées.

L’ARN joue un rôle crucial dans les cellules, servant d’intermédiaire entre l’ADN, les plans pour l’information génétique et la production de protéines qui effectuent une vaste gamme d’activités vitales dans les cellules.

Dans le cas des personnes autistes, l’ARN anormal semble être impliqué avec des gènes qui codent des protéines pour réguler la croissance cellulaire.

Des études supplémentaires sur un plus grand échantillon seront nécessaires pour démontrer la cause à effet.

Catégories
Uncategorized

Obésité infantile : tout commence dans l’utérus

Vous faites de l’exercice, vous mangez bien et vous ne réussissez pas à perdre vos kilos en trop. Que se passe-t-il? Il se pourrait bien que vous puissiez blâmer votre mère de votre état actuel.

En effet, des chercheurs de l’Université de Newcastle ont analysé les gènes d’enfants âgés de 9 à 11 ans et ont découvert qu’il est possible d’être programmé à devenir gros, pendant que le bébé est dans l’utérus.

Il semblerait que si la mère ne faisait pas beaucoup d’exercice, ne mangeait pas bien, fumait, prenait de l’alcool et était même exposée à des polluants, cela active et fait monter des gènes.

C’est en recherchant des gènes de même lettre que les experts se sont aperçus que chez les enfants avec un surplus de poids, les gènes se comportaient différemment comparativement à ceux qui étaient minces.

À la naissance, les enfants qui ont développé du surpoids quelques années plus tard affichaient déjà des marques chimiques différentes à leur ADN.

Toutefois, ces marques chimiques sont ouvertes au changement si la personne responsable (mère) modifie son mode de vie.

Les résultats se retrouvent dans la revue PLoS Medicine.

Catégories
Uncategorized

Le véritable amour serait inscrit dans nos gènes

Le véritable amour ne serait pas simplement une coïncidence. Selon la société suisse Gene Partner, l’amour serait inscrit dans notre ADN.
 
En fait, deux personnes qui ont des ADN similaires auraient plus de chances d’être compatibles et de tomber amoureuses.
 
Ces personnes ressentiraient une sensation d’adéquation parfaite, une harmonie qui ferait en sorte qu’elles pourraient bien vivre ensemble.
 
Un ADN similaire favoriserait des rapports sexuels de qualité et une meilleure fertilité au sein du couple.
 
Le site Gene Partner propose aux gens de tester leur compatibilité selon leur ADN. Ce service est décrit comme étant un supplément aux sites de rencontres.
 
Selon la sexologue Esther Hirsch, l’amour est aussi une question de bon moment.
 
« Il y a aussi le hasard de la rencontre. Combien de personnes me disent qu’elles n’ont pas été capables de faire cette rencontre, d’aller vers l’autre, car à ce moment-là et pour différentes raisons, elles n’étaient pas prêtes », dit-elle au journal Le Soir.
 
Catégories
Uncategorized

Le véritable amour serait inscrit dans nos gènes

Le véritable amour ne serait pas simplement une coïncidence. Selon la société suisse Gene Partner, l’amour serait inscrit dans notre ADN.
 
En fait, deux personnes qui ont des ADN similaires auraient plus de chances d’être compatibles et de tomber amoureuses.
 
Ces personnes ressentiraient une sensation d’adéquation parfaite, une harmonie qui ferait en sorte qu’elles pourraient bien vivre ensemble.
 
Un ADN similaire favoriserait des rapports sexuels de qualité et une meilleure fertilité au sein du couple.
 
Le site Gene Partner propose aux gens de tester leur compatibilité selon leur ADN. Ce service est décrit comme étant un supplément aux sites de rencontres.
 
Selon la sexologue Esther Hirsch, l’amour est aussi une question de bon moment.
 
« Il y a aussi le hasard de la rencontre. Combien de personnes me disent qu’elles n’ont pas été capables de faire cette rencontre, d’aller vers l’autre, car à ce moment-là et pour différentes raisons, elles n’étaient pas prêtes », dit-elle au journal Le Soir.
 
Catégories
Uncategorized

Une découverte pour le traitement des cancers pédiatriques

Cette découverte peut avoir des conséquences importantes sur le traitement de cancers infantiles, notamment sur celui du cerveau, un cancer mortel qui est insensible à la chimiothérapie et la radiothérapie.

Pour une première fois, les chercheurs ont identifié deux mutations génétiques qui sont responsables, jusqu’à 40 %, des glioblastomes chez les enfants.

L’un de ces gènes est gardien du patrimoine génétique. Il est un élément clé dans la modulation de l’expression de nos gènes. Lors de mutations, celles-ci empêchent les cellules de différencier normalement et d’aider à protéger l’information génétique de la tumeur, ce qui la rend moins sensible à la radiothérapie et la chimiothérapie.

Publiée dans la revue Nature, l’étude révèle qu’une équipe de recherche internationale, dirigée par l’Institut de recherche du Centre universitaire de santé McGill (IR CUSM), a fait une percée majeure génétique qui pourrait changer la façon dont les cancers pédiatriques sont traités à l’avenir.

La réglementation inappropriée de ce gène a aussi été observée pour d’autres cancers tels que du colon, du pancréas, le lymphome et la leucémie. Des recherches futures pourraient donc révéler des traitements améliorés pour ces maladies.

Les tumeurs cérébrales sont la principale cause de décès chez les enfants atteints de cancer en Europe et en Amérique du Nord. Le diagnostic de glioblastome chez un enfant ou un adolescent demeure une condamnation à mort, et environ 200 enfants au Canada meurent chaque année de ce cancer. La plupart des enfants vont mourir dans les deux ans suivant leur diagnostic, indépendamment du traitement.

Catégories
Uncategorized

Une découverte pour le traitement des cancers pédiatriques

Cette découverte peut avoir des conséquences importantes sur le traitement de cancers infantiles, notamment sur celui du cerveau, un cancer mortel qui est insensible à la chimiothérapie et la radiothérapie.

Pour une première fois, les chercheurs ont identifié deux mutations génétiques qui sont responsables, jusqu’à 40 %, des glioblastomes chez les enfants.

L’un de ces gènes est gardien du patrimoine génétique. Il est un élément clé dans la modulation de l’expression de nos gènes. Lors de mutations, celles-ci empêchent les cellules de différencier normalement et d’aider à protéger l’information génétique de la tumeur, ce qui la rend moins sensible à la radiothérapie et la chimiothérapie.

Publiée dans la revue Nature, l’étude révèle qu’une équipe de recherche internationale, dirigée par l’Institut de recherche du Centre universitaire de santé McGill (IR CUSM), a fait une percée majeure génétique qui pourrait changer la façon dont les cancers pédiatriques sont traités à l’avenir.

La réglementation inappropriée de ce gène a aussi été observée pour d’autres cancers tels que du colon, du pancréas, le lymphome et la leucémie. Des recherches futures pourraient donc révéler des traitements améliorés pour ces maladies.

Les tumeurs cérébrales sont la principale cause de décès chez les enfants atteints de cancer en Europe et en Amérique du Nord. Le diagnostic de glioblastome chez un enfant ou un adolescent demeure une condamnation à mort, et environ 200 enfants au Canada meurent chaque année de ce cancer. La plupart des enfants vont mourir dans les deux ans suivant leur diagnostic, indépendamment du traitement.

Catégories
Uncategorized

La vie de famille change les gènes

Une équipe de chercheurs de diverses universités canadiennes vient de démontrer que les conditions de vie d’un enfant sont associées à des changements notables sur l’ADN de celui-ci, lit-on sur Psychcentral.

Les facteurs sociaux et économiques liés à la vie familiale seraient en relation avec certaines transformations des gènes. Une différence a en effet été remarquée entre des enfants qui vivaient au sein d’une famille de haut niveau de vie et d’autres issus de milieux à faible niveau.

C’est toutefois quant aux conditions de vie en bas âge que les différences les plus marquantes ont été relevées. Elles étaient fortement associées avec les conditions socio-économiques de l’enfant devenu adulte.

Pas moins de 1252 différences génétiques ont ici été relevées, en comparaison avec les 545 provenant des conditions générales. On tentait d’explorer de quelle manière les conditions du début de vie pouvaient devenir biologiquement intégrées, pour ensuite influencer la santé générale au cours des années suivantes.

On pourrait ici expliquer en partie pourquoi les problèmes et faiblesses de santé pouvaient demeurer toute une vie en étant associés avec des conditions socio-économiques.