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Les dommages de la cigarette sont plus rapides qu’on ne le croyait

Moins de trente minutes suffisent pour produire des dégâts cellulaires après que vous ayez fini votre cigarette.
 
Des chercheurs américains ont découvert avec étonnement que la fumée de cigarette endommage en moins de 30 minutes l’ADN en produisant des mutations génétiques qui peuvent engendrer le cancer.
 
Selon le journal Chemical Research in Toxycology, les scientifiques ont voulu suivre les traces des hydrocarbures aromatiques polycycliques (HAP) des produits contenus dans le tabac. 12 fumeurs se sont prêtés au test. De 15 à 30 minutes après qu’ils aient fumé leur cigarette, on a noté des changements de leur ADN.
 
Les effets sont si rapides qu’on mentionne qu’ils sont comparables à une injection intraveineuse de phénanthrène, un produit toxique que l’on retrouve dans la cigarette.
 
Il s’agit donc d’un autre avertissement sérieux pour les fumeurs, le cancer du poumon étant l’un des plus meurtriers, rappellent les chercheurs.
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Les dommages de la cigarette sont plus rapides qu’on ne le croyait

Moins de trente minutes suffisent pour produire des dégâts cellulaires après que vous ayez fini votre cigarette.
 
Des chercheurs américains ont découvert avec étonnement que la fumée de cigarette endommage en moins de 30 minutes l’ADN en produisant des mutations génétiques qui peuvent engendrer le cancer.
 
Selon le journal Chemical Research in Toxycology, les scientifiques ont voulu suivre les traces des hydrocarbures aromatiques polycycliques (HAP) des produits contenus dans le tabac. 12 fumeurs se sont prêtés au test. De 15 à 30 minutes après qu’ils aient fumé leur cigarette, on a noté des changements de leur ADN.
 
Les effets sont si rapides qu’on mentionne qu’ils sont comparables à une injection intraveineuse de phénanthrène, un produit toxique que l’on retrouve dans la cigarette.
 
Il s’agit donc d’un autre avertissement sérieux pour les fumeurs, le cancer du poumon étant l’un des plus meurtriers, rappellent les chercheurs.
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Nouveau test génétique durant la grossesse

Une analyse de l’ADN abaisserait de 98 % le besoin de tests plus invasifs pour savoir si le bébé à venir sera atteint d’une défaillance génétique, selon le British Medical Journal.

En ce moment, les manières les plus courantes de le savoir sont l’amniocentèse et la choriocentèse qui permettent de détecter le syndrome de Down ou trisomie 21.

Or, des chercheurs de l’Université de Hong Kong ont fait passer ce nouveau test sanguin à 753 femmes enceintes. Parmi elles, 86 portaient un enfant atteint du syndrome de Down.

Ce test génétique est donc hautement efficace et ne comporte pas de risques de fausses couches comme les autres méthodes habituellement employées.

Rappelons que le syndrome de Down touche 1 enfant sur 1 800. Nous savons aujourd’hui que les futures mères plus avancées en âge sont plus à risque d’accoucher d’un enfant atteint de cette malformation génétique.

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Un test sanguin prénatal pourrait prédire de nouveaux syndromes

On pourrait déchiffrer le code génétique de l’enfant à venir en utilisant un échantillon sanguin prélevé à aussi peu que 12 semaines, apprend-on dans Science Translational Medicine.

Ce nouveau test sanguin pourrait prévenir des syndromes et des maladies, et ce, en analysant l’ADN du foetus. On entend par là l’autisme, le syndrome de Down, voire les possibilités d’Alzheimer et de cancer.

Bien sûr, ce test éliminerait les risques actuels de fausse couche qu’entraîne par exemple l’amniocentèse, lorsqu’il faut pousser les analyses sur le fœtus. On sauverait ainsi une centaine de bébés par année.

Or, des scientifiques mettent en garde la venue d’un tel test. Les futurs parents pourraient tomber dans le piège de la recherche de l’enfant parfait en sachant tout sur sa santé future dès les premiers mois de grossesse.

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Un test d’ADN pour connaître le sexe du bébé vers la septième semaine

Selon Mail Online, il s’agit ici d’un test sanguin tout simple. En relevant ainsi l’ADN du bébé à naître, on connaîtrait son sexe à 99 %, sans aucun risque pour lui.

Jusqu’ici, il fallait patienter jusqu’à la 20semaine pour connaître le sexe du bébé.

Ce test a été développé par la Dre Esther Guetta du Centre médical Sheba à Tel-Aviv, en Israël. Il sera dorénavant offert dans plusieurs cliniques privées à travers le monde.

Il consiste à repérer le chromosome Y propre aux hommes, les femmes présentant quant à elles deux chromosomes XX.

Déjà, des partisans pro-vie se soulèvent, car cette mesure pourrait encourager des avortements, en particulier en Chine et en Inde. Comme nous le savons, ces pays dénombrent de nombreux avortements et abandons de fillettes.

La Dre Guetta a donc fait appel à un comité d’experts pour traiter de la question éthique qu’entraîne ainsi son nouveau test.

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Un test d’ADN pour choisir son régime

Bientôt, il sera possible de choisir le régime qui nous convient parfaitement grâce à un test d’ADN.
 
Des chercheurs de l’Université Stanford, en Californie, ont fait une découverte pour le moins étonnante. Un test d’ADN permettrait de choisir le régime qui est le mieux adapté à notre corps, soit pauvre en glucides ou en graisses.
 
Ainsi, notre profil génétique pourrait prédire le succès de notre régime pour perdre du poids.
 
Pour la recherche, 138 femmes ont suivi un régime particulier pendant douze mois. Certaines avaient un régime très pauvre en glucides ou simplement pauvre en glucides, alors que d’autres suivaient un régime très pauvre en graisses ou pauvre en graisses. Au début, on leur a fait un prélèvement d’ADN.
 
Les femmes qui avaient eu un régime correspondant à leur profil génétique avaient perdu deux fois ou même trois fois plus de poids que les autres.
 
L’auteure principale de cette étude, Mindy Dopler Nelson, explique comment la génétique peut déterminer le bon fonctionnement d’un régime :  « En fait, parmi la centaine de gènes liés à l’obésité, trois d’entre eux ont été identifiés pour leur association biologique avec le régime et la perte de poids. Ces gènes présentent des variations que l’on appelle polymorphisme nucléotidique simple (SNP). Une combinaison de SNPs prédéterminés a été utilisée pour catégoriser la compatibilité avec tel ou tel régime ».
 
D’autres études seront maintenant nécessaires pour confirmer les premières données.
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Un nouveau traitement contre les allergies

Des chercheurs ont découvert qu’une séquence de l’ADN pourrait contribuer à créer un traitement efficace contre certaines maladies allergiques comme l’asthme, sans toutefois modifier le système immunitaire.
 
Des chercheurs européens de l’INSERM ont nommé cette séquence de l’ADN « antisens ». Le tout a été testé sur des souris asthmatiques avec succès et on souhaite maintenant que les humains répondent de la même façon au traitement.
 
Cette séquence peut neutraliser les canaux calciques qui sont responsables de certaines allergies alimentaires, respiratoires et cutanées. Elle aurait le contrôle de la réponse immunitaire.
 
L’antisens a été introduit à des cellules avec canaux calciques et les chercheurs ont constaté que ceux-ci étaient considérablement diminués. Ce nombre étant réduit, les maladies allergiques pourraient donc être mieux maîtrisées, car ce sont ces canaux qui provoquent les réactions du corps face à des allergènes.
 
Cela représente donc un grand espoir pour les personnes étant incommodées par ces problèmes de santé qui peuvent parfois présenter de graves complications et qui sont difficilement gérables encore aujourd’hui.
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Un gène associé au sommeil

Les travaux menés par la neurologue Ying-Hui Fu, de l’Université de Californie à San Francisco, l’amènent à conclure qu’une mutation génétique sur le gène DCE2 pourrait expliquer pourquoi certaines personnes peuvent dormir moins de six heures par nuit sans en être affectées.

Rappelons que la communauté scientifique s’entend pour dire qu’un sommeil réparateur compte huit heures par nuit et qu’une privation peut entraîner des conséquences, comme une hausse du risque de cancer, une dysfonction des glandes endocrines, des pertes de mémoire et des sautes d’humeur.

La Dre Fui croit donc que le gène DEC2 joue un rôle dans la régulation du temps de sommeil ainsi que dans le processus de maintien en éveil.

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Espoir pour ceux qui souffrent de dystrophie musculaire

Une recherche effectuée sur des souris par l’équipe du Dr Charles Thornton de l’Université de Rochester, à New York, laisse entrevoir un nouveau traitement efficace contre la dystrophie musculaire.

Le chercheur a injecté un mélange dans les muscles des souris afin de neutraliser le gène associé à la maladie, ce qui a permis aux rongeurs de gagner un peu de tonus musculaire. « Nous n’avons pas réparé le gène fautif, mais nous avons réussi à le faire fonctionner de manière plus appropriée », a indiqué le Dr Thornton à la revue Science.

Avec ces résultats, le scientifique croit que nous sommes sur la bonne voie pour trouver un traitement à la dystrophie musculaire.

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Une mutation génétique pour expliquer l’asthme

Des chercheurs de l’Université d’Édimbourg, en Écosse, croient qu’une mutation du gène codant pour la filaggrine, une protéine qui aide la peau à former une barrière externe protectrice, pourrait prédisposer aux maladies allergiques comme l’asthme et l’eczéma.

Ils ont analysé 24 études sur le sujet pour en arriver à cette conclusion. « Nos résultats démontrent une forte évidence que les personnes qui souffrent de troubles allergiques ont une défectuosité du gène de la filaggrine, qui devient un facteur de risque pour développer de l’eczéma », ont souligné les auteurs de cette étude.

En préface à cette recherche publiée dans le British Medical Journal, Hugo Van Bever, professeur à l’Université nationale de Singapour, note que cette découverte est marquante pour la compréhension génétique des maladies allergiques.