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Gossip Girl est de retour avec une toute nouvelle génération!

O-M-G! Gossip Girl est de retour avec une toute nouvelle version!!! Cette série télévisée qu’on a dû écouter au moins une dizaine de fois nous manque terriblement et on ne pourrait être plus excités à l’idée de découvrir la nouvelle génération. D’ailleurs, la première sera disponible en anglais le jeudi 8 juillet sur Crave et en français sur Crave Super Écran le vendredi 9 juillet.

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On retombera donc en amour avec plusieurs personnages qui nous ramèneront dans l’Upper East Side. Cette nouvelle génération d’adolescents qui suivent des cours dans certaines écoles privées de New York vivra plusieurs mésaventures neuf ans après que le site web Gossip Girl d’origine ait arrêté d’être mis à jour. Cette nouvelle version explorera entre autres à quel point les médias sociaux (et New York) ont changé au cours des dernières années.

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HBO Max a d’ailleurs publié le premier look des affiches de personnages et on peut constater qu’on y retrouvera Jordan Alexander, Eli Brown, Thomas Doherty, Tavi Gevinson, Emily Alyn Lind, Evan Mock, Zion Moreno, Whitney Peak et Savannah Lee Smith.

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GOSSIP GIRL est produit par Fake Empire et Alloy Entertainment en association avec Warner Bros. Television et CBS Studios. La série est écrite, produite par l’exécutif et développée par Joshua Safran de Random Acts. Les producteurs exécutifs incluent également Josh Schwartz et Stephanie Savage de Fake Empire, et Leslie Morgenstein et Gina Girolamo d’Alloy Entertainment. Lis Rowinski de Fake Empire est co-productrice exécutive. Karena Evans réalise deux épisodes et le créateur de costumes original Eric Daman rejoint la série.

Voici la bande-annonce tant attendue:

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Potins

Caroline Néron lance une collection pour adolescentes

Pour sa collection de bijoux, Caroline Néron pense à tout le monde : les femmes, les hommes et maintenant les adolescentes.

En effet, la femme d’affaires québécoise lance sa propre collection de bijoux spécialement réservée aux adolescentes et préados.

Sa principale source d’inspiration ? Sa propre fille, Emmanuelle.

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 « Mes créations ont toujours reflété une partie de moi, c’était donc tout naturel pour moi de créer des bijoux à l’image d’Ema. Elle m’inspire au quotidien et je suis fière de la jeune femme qu’elle devient », raconte Caroline Néron par voie de communiqué.

Appelée Ema, cette nouvelle ligne sera disponible dès demain (6 avril).

En outre, associée avec le Club des Petits Déjeuners, chaque bijou vendu offrira à un enfant un petit déjeuner.

Au début de l’année, Caroline Néron avait fait un tabac avec sa collection de bijoux très rock’n’roll lancée en partenariat avec Éric Lapointe.

Une nouvelle ? : scoop@buminteractif.com

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Bébé et cie

L’utilisation de la cigarette électronique a explosé chez les jeunes

Les chercheurs sont alarmés. Ils essaient de comprendre les motivations, mais croient aussi qu’éventuellement, les adolescents passent de la cigarette électronique à la cigarette traditionnelle. Un risque qui pourrait faire s’écrouler tous les efforts de campagnes anti-tabac.

La recherche du Dr Maciej Goniewicz et son équipe du ministère de la Santé comportementale à l’Institut du cancer de Roswell Park a été publiée dans la revue Journal of Adolescent Health. L’étude a été menée en collaboration avec les chercheurs de l’Université médicale de Silésie, en Pologne.

Les données colligées proviennent de deux études, spécifie medicalxpress.com. La première en 2010-2011 auprès de 1760 étudiants de 15 à 19 ans en provenance de 17 écoles, et la seconde provenant de 1970 étudiants de 21 écoles en 2013-2014.

À l’intérieur de cette courte période, l’essai de la cigarette électronique est passé de 16,8 % à 61,1 % (triplé), alors que l’utilisation régulière est désormais 6 fois plus importante. Leurs craintes ont également été confirmées quant à la cigarette traditionnelle.

Le taux de fumeurs occasionnels est passé de 23,9 % à 38 %, et les utilisateurs des deux types de cigarettes ont grimpé de 7,1 %.

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Bébé et cie

Le chantage des parents, une impasse pour les adolescents

La recherche, rapportée par Medical News Today, spécifie que l’emprise psychologique comprend toute manipulation affective. Entre autres la culpabilité, le retrait de l’amour, favoriser l’anxiété ou toute autre tactique visant à prendre le contrôle de ses motivations et comportements.

Il s’est avéré évident, au terme de l’étude, que les adolescents de 13 ans qui avaient subi ce genre d’emprise de la part de leurs parents étaient moins doués pour les relations amicales et romantiques saines. Ils n’arrivaient pas à équilibrer la proximité, l’autonomie et l’indépendance.

 « Ces tactiques mettent la pression sur les adolescents afin qu’ils prennent des décisions en fonction des besoins et motivations des parents au lieu des leurs », croit Barbara A. Oudekerk. « Sans occasions de prendre ses propres décisions, les adolescents sont plus susceptibles de céder aux décisions d’amis et de partenaires amoureux. »

Les résultats ont démontré que la difficulté relationnelle de ces adolescents persistait même à l’âge adulte.

La recherche, effectuée par les chercheurs de l’Université de Virginie, a été publiée dans la revue Child Development.

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Bébé et cie

Faites votre part pour empêcher l’intimidation

À l’adolescence, même si vos enfants ont l’air de dédaigner votre présence, la réalité veut qu’ils aient tout de même besoin de votre soutien. Certains ne savent pas comment l’exprimer, alors que d’autres refusent de l’admettre.

À vous, donc, de démontrer votre amour inconditionnel en demeurant « branché » avec vos jeunes, entre autres en ce qui a trait à l’intimidation. Voici quelques suggestions de Parenting Squad.

– Commencez par montrer l’exemple en adoptant un comportement approprié et respectueux envers autrui.

– Enseignez-leur l’empathie. Celle-ci est un outil pour désamorcer l’agressivité naturellement.

– Assurez-vous de créer un environnement chaleureux et plein d’amour à la maison.

– Même s’ils semblent ne pas vous écouter, ils tendent l’oreille. Continuez vos leçons sur l’importance de ne pas empiéter ou manipuler les sentiments des autres.

– Votre enfant vous soumet un problème. Plutôt que d’exposer la solution, demandez-lui ce qu’il compte faire. Il doit apprendre à trouver des solutions lui-même, dans le respect de chacun.

– Apprenez à connaître leurs amis et, dans la mesure du possible, rencontrez les parents de façon officieuse. Vous détecterez mieux l’environnement de chacun et aurez une idée des gens que vos enfants côtoient.

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Bébé et cie

Que cache l’automutilation chez l’adolescent?

Un enfant ou un adolescent qui sent le besoin de s’automutiler peut avoir un trouble de la personnalité, un trouble de l’alimentation ou être incapable de verbaliser ce qu’il vit au niveau émotionnel.

Une étude récente, publiée dans la revue British Medical Journal, a prêté attention aux statistiques, notamment basée sur la participation de 4799 adolescents.

On a réalisé que près d’un élève sur 5 avait déjà porté des gestes d’automutilation. Dans la plupart des cas, ceux-ci affirmaient ne pas avoir demandé d’aide, du moins pas encore.

Malheureusement, en regardant l’évolution au terme de 5 ans, les chercheurs ont réalisé que la problématique avait pris de l’ampleur. Certains en étaient aux tentatives de suicide, mentionne Science World Report.

Il n’a pas été étonnant pour les experts de réaliser que ceux qui étaient le plus à risque d’automutilation étaient ceux qui cachaient une maladie sous-jacente, diagnostiquée ou non.

« Nous avons ainsi démontré pour la première fois que les adolescents qui se blessent volontairement sont plus enclins à rencontrer de nombreuses conditions défavorables dès leur entrée dans la vie adulte », a expliqué Dre Becky Mars

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Bébé et cie

Les adolescents qui mangent trop sont ceux qui ne déjeunent pas

Des chercheurs de l’Université du Missouri ont établi des preuves irréfutables selon lesquelles l’absence d’un déjeuner est en lien direct avec le surplus alimentaire et les fringales. Évidemment, ces accès incontrôlés à la nourriture mènent inévitablement à un surplus de poids.

Le déjeuner riche en protéines stimule la région du cerveau reliée au sentiment de récompense, et celui-ci se poursuit tout au long de la journée, diminuant les fringales.

Les scientifiques ont bon espoir qu’en contrôlant cet aspect chimique du cerveau, il est possible d’éviter l’embonpoint, indique Science World Report.

« Notre étude a démontré que les gens voient leur envie de sucreries diminuer radicalement lorsqu’ils déjeunent », rapporte Heather Leidy. « De plus, lorsque le déjeuner est élevé en protéines, l’envie de matières grasses se résorbe également. »

L’étude a été menée lorsqu’on a constaté que dans les 50 dernières années, il y avait une corrélation entre l’augmentation de l’obésité et la diminution de la fréquence des repas. Le détail se retrouve dans la revue Nutrition Journal.

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Bébé et cie

Les risques des jeunes qui s’occupent de gens à la maison

Medical News Today appelle ces jeunes la population cachée. Cette jeunesse aux soins des autres s’occupe d’un membre de la famille, parent ou autre enfant, qui souffre de maladie mentale ou physique ou qui a une dépendance à la drogue.

Malheureusement, cette population cachée est en situation de stress physique et émotionnel chronique. Par conséquent, il y a de forts risques d’échec scolaire et de troubles divers de la santé.

Dre Julia Belkowitz et son équipe ont travaillé de concert avec l’American Association of Caregiving Youth (AACY) pour comprendre ce que vivent ces jeunes et proposer un plan de soutien.

Les données récoltées indiquent que 62 % des jeunes aidants sont des filles, et donc 38 % des garçons. L’âge moyen est de 12 ans. Ceux-ci passent environ 2,5 heures par jour à aider le membre de la famille. Le weekend, c’est plutôt 4 heures.

Le plan pour aider ces jeunes a été présenté lors de la conférence nationale de l’Académie américaine de pédiatrie à San Diego le 11 octobre dernier.

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La lésion traumatique cérébrale liée à un comportement néfaste chez les jeunes

Les adolescentes sont en effet plus à risque d’agir de manière à mettre leur santé en danger si elles ont subi une LTC (lésion traumatique cérébrale), selon Medical News Today.

Une nouvelle étude a analysé 13 comportements à risque tels que les idées suicidaires, fumer de la marijuana et surconsommer de l’alcool. En tout, 9288 adolescents ontariens ont participé au sondage.

« Les garçons comme les filles étaient plus à risque de divers comportements dangereux s’ils avaient un historique de LTC, mais les filles étaient plus nombreuses dans les 13 comportements, alors que les garçons se démarquaient dans 9 d’entre eux. »

Ainsi, selon Dre Gabriela Llie, « le genre est important lorsqu’il s’agit de lésion traumatique cérébrale ».

Dans la revue PLoS ONE, on peut lire que les filles étaient plus portées aux idées suicidaires, à fumer la cigarette, subir de l’intimidation et vivre une plus grande détresse psychologique.

Bien que ce type de lésion soit « invisible », informe Llie, ce n’est pas une excuse pour que les médecins, les intervenants scolaires et les parents ignorent les conséquences possibles.

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Le phénomène de gang, un cycle passager?

Selon Medical News Today, devenir membre d’un gang se produit habituellement à 13 ans, puis se termine à peu près deux ans plus tard.

L’information provient d’une étude effectuée par la Sam Houston State University. Le responsable de la recherche, David Pyrooz, a publié un article dans le Journal of Quantitative Criminology. « Les médias et la culture populaire nous ont donné une fausse idée sur l’appartenance à un gang, dont le mythe du membre à vie. »

Selon les données compilées, basées sur un échantillonnage de 9000 jeunes entre 12 et 16 ans, seuls 8 % ont admis faire partie d’une bande. De ceux-ci, moins de 10 % ont poursuivi leur appartenance à ce gang pendant plus de 2 ans, et 20 % ont rejoint les membres d’un gang une fois adulte. Les participants ont été interrogés jusqu’au début de la vingtaine.

« Premièrement, les résultats de l’étude démontrent que l’adhésion à une bande est grandement influencée par l’âge, tout comme les offenses criminelles », a expliqué Pyrooz.

Les chercheurs espèrent avec ces informations être en mesure de développer des stratégies d’intervention préventives visant les jeunes de la 6e année et de la 1re année du secondaire.