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À quel moment intervenir auprès des adolescents qui se mettent en danger

Une conduite à risque, informe Le Figaro, comprend la consommation de tabac, alcool et cannabis, mais encore, il s’agit de danger physique comme une mauvaise conduite automobile ou autre.

Le Dr Chambry met en garde devant le comportement « naturel » de l’adolescent qui n’a pas confiance en lui. Souvent, il s’agit d’une réponse à des difficultés relationnelles, mais comme il se refermera sur lui-même, il est difficile pour le parent de deviner ce qui se passe.

« Il peut alors surinvestir des sensations qui lui donnent l’illusion d’une maîtrise qu’il n’a pas avec autrui. » C’est pourquoi les adolescents s’accrochent facilement à toute substance ou activité qui leur donnera la sensation d’être plus forts, mieux dans leur peau.

Là où le parent doit intervenir, c’est lorsque les conduites dangereuses se répètent ou se multiplient. Il faut dès lors consulter, puisqu’on rappelle que le suicide à l’adolescence est bien moins lié à la dépression qu’à l’intolérance et à la déception. « Ils n’ont pas envie de mourir, mais ne veulent pas être déçus. »

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La thérapie la plus efficace pour les adolescents dépressifs

Un groupe de chercheurs de la Grèce a publié un rapport sur le traitement thérapeutique des adolescents vulnérables à la dépression. Celui-ci se retrouve dans la revue Psychotherapy and Psychosomatics.

Les traitements effectués sur une période de 9 mois ont été menés auprès de 72 patients de 9 à 15 ans. Un groupe recevait de 8 à 14 séances hebdomadaires de 90 minutes de la thérapie familiale intégrée (FT), laquelle se concentrait sur la dysfonction familiale. Elle ne tenait pas compte des conflits psychiques non résolus et de la petite enfance.

L’autre groupe profitait d’une thérapie différente, soit une psychothérapie psychodynamique (PP) avec un accent sur les relations interpersonnelles, le stress de la vie et les relations dysfonctionnelles. Une fois sur deux, les séances incluaient les parents. Ceux-ci obtenaient de 16 à 30 séances de 50 minutes chaque semaine.

Ils ont réalisé que de part et d’autre, les jeunes s’en sortaient aussi bien. Medical News Today indique que l’objectif était atteint dans les deux cas, c’est-à-dire redonner confiance aux jeunes et leur donner les outils pour faire face aux événements stressants.

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Marijuana et alcool, les conséquences sont différentes chez l’adolescent

Aux États-Unis, les autorités craignent de plus en plus la légalisation de la marijuana, surtout à cause des conséquences chez les jeunes. Certes, sur le plan médical, elle est reconnue pour l’atténuation de la douleur et de certains symptômes de diverses maladies.

Par contre, des chercheurs se sont penchés sur les différences comportementales lorsque les adolescents consomment de la drogue, comparativement aux habitués de l’alcool.

Si l’alcool est responsable par exemple de problématiques relationnelles avec autrui et de conduite dangereuse sur la route, il en est tout autre avec la marijuana. Celle-ci compromet les relations de l’utilisateur à toute figure d’autorité, rapporte Medical News Today.

De ce fait, les troubles relationnels avec les enseignants et les parents provoquent une perte d’intérêt et d’énergie sur les plans scolaire et professionnel, entraînant une baisse de performance.

Malheureusement, la marijuana comporte de moindres effets désagréables que l’alcool (lendemains de veille, regrets, accidents), ce qui encourage les jeunes à en faire usage.

Les résultats de cette première étude, menée auprès de 7437 étudiants par les spécialistes l’Université de New York, ont été publiés dans la revue American Journal of Drug and Alcohol Abuse.

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Quand le piratage de photos de célébrités sert de leçon pour les adolescents

Il n’y a pas si longtemps, pour sensibiliser les jeunes à l’illégalité de transmettre des photos osées via le web, on lançait une campagne publicitaire radio et télévisée.

Des adolescents propageaient des photos d’une jeune fille (mineure). Plus tard, ceux impliqués se retrouvaient dans le bureau du directeur de l’école, mais également devant un policier.

Or, avec le piratage qui vient d’avoir lieu avec des photos et vidéos explicites d’une centaine de femmes célèbres, la sensibilisation s’élève encore d’un cran. Le simple fait de prendre la photo, et il est déjà trop tard.

On accuse iCloud et Dropbox, notamment, d’avoir des failles dans leur système. Le FBI mène l’enquête, mais affirme aussi qu’il s’agissait de photos supprimées depuis longtemps.

Ainsi, votre adolescent qui prend des photos de lui-même ou d’autrui sur son cellulaire, lequel est branché à un réseau internet, laisse des traces. Qu’il les efface de son portable ne garantit pas leur suppression définitive.

Les placer dans le nuage (iCloud) ne représente pas plus un gage de sécurité. Faites valoir à vos jeunes que pour toute nouveauté technologique, il existe potentiellement une solution pour y creuser une faille et recueillir les données.

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Les repas familiaux éloignent les conséquences de la cyberintimidation chez l’adolescent

Ce type d’intimidation est devenu une préoccupation grandissante à travers le globe. Or, les adolescents qui en sont victimes sont souvent difficiles à cerner, et les conséquences émotionnelles et psychologiques sont extrêmement destructrices.

Des experts de l’Université McGill à Montréal ont réussi à démontrer que les adolescents qui partagent régulièrement des repas en famille sont plus enclins à échanger et s’ouvrir sur le sujet. Par ailleurs, ces moments privilégiés augmentent le bien-être du jeune.

« Un adolescent sur cinq est victime de cyberintimidation », souligne Frank Elgar, chercheur à l’Institut de santé mentale Douglas. « Il est essentiel de trouver les facteurs de protection pour les jeunes qui y sont exposés. »

En tout, 20 385 adolescents du Wisconsin ont été observés, informe Science World Report. En comparant l’intimidation traditionnelle à celle en ligne, les experts ont découvert que la nouvelle forme d’intimidation est plus dévastatrice que celle « face à face ».

« Nous avons découvert que les troubles comportementaux et émotionnels ainsi que l’utilisation de drogue sont de 2,6 à 4,5 fois plus fréquents dans le cadre de la cyberintimidation. »

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Une excellente nouvelle pour la santé mentale des adolescents

Il s’agit d’une excellente nouvelle, selon le psychiatre David Axelson. Cependant, il faudrait valider qu’ils en reçoivent tous, et que l’aide soit appropriée au degré de sévérité du trouble de santé mentale.

Selon livescience.com, on estime que 6 % de tous les adolescents de 12 à 17 ans sont atteints de troubles de santé mentale.

Dans le plus récent rapport fourni par les Centers for Disease Control and Prevention (CDC), entre 2010 et 2012, on a vérifié les interventions sans médication. Cela signifie des thérapies de toutes sortes fournies à l’école, en centre pour enfants, en clinique, à la maison ou ailleurs. Ils incluent également les programmes scolaires adaptés.

Il s’est avéré que plus des deux tiers des adolescents avaient eu recours à une aide psychologique. « Il existe une panoplie de services alternatifs à la médication », affirme Axelson, « alors il est important de s’assurer que les adolescents les reçoivent ».

Un trouble sévère peut néanmoins nécessiter une combinaison à de la médication. Mais avant toute chose, Axelson insiste sur le fait que la thérapie doit absolument faire partie du processus.

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Les pédiatres recommandent que les adolescents commencent l’école plus tard

NBC News rapporte une nouvelle campagne menée par les pédiatres visant à faire comprendre aux commissions scolaires le besoin de sommeil des jeunes du secondaire.

L’American Academy of Pediatrics stipule que l’horaire des cours ne devrait pas commencer avant 8 h 30, et que 9 h serait l’idéal.

Un débat dans les différents États aux États-Unis a lieu à l’heure actuelle à ce propos. En Californie et en Caroline du Nord et du Sud, plusieurs districts ont modifié les horaires de classe pour tester la théorie.

« Notre recherche est claire, les adolescents qui ont suffisamment de sommeil réduisent le risque d’obésité, de dépression, d’accidents de la route et ont de meilleurs résultats scolaires », explique Dre Judith Owens. « Autrement, ils sont en état de décalage horaire en permanence. »

Après seulement une semaine d’essai, les élèves démontraient des comportements plus positifs et, surtout, ils étaient éveillés pendant les cours.

« Autour de la puberté, un changement s’opère au niveau du rythme circadien (horloge interne) », mentionne la Dre Owens. « La plupart des ados ne s’endorment pas avant 23 h et ont tout de même besoin d’au moins 8 heures de sommeil ».

L’étude se poursuit, mais elle est déjà concluante.

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La négligence parentale engendre des adolescents violents

C’est en interrogeant des jeunes détenus de sexe masculin dans un centre de détention en Pennsylvanie que des sociologues de PennState ont réalisé les conséquences de la négligence physique pendant l’enfance.

Ce serait le plus grand prédicateur d’un futur comportement violent, écrit Science World Report.

Bien que la violence physique soit un facteur clé du comportement violent, la négligence physique influence encore plus cette probabilité chez les garçons devenus adolescents. C’est ce que révèlent les résultats présentés à la réunion annuelle de l’American Sociological Association à San Francisco.

Les gamins qui ont manqué de nourriture, ont été mal vêtus et n’ont pas été soignés chez un médecin sont plus susceptibles de devenir violents à l’adolescence que les petits qui ont été bien entourés ou même ceux qui ont été victimes de violence physique.

Selon les chercheurs, même si cela peut paraître paradoxal, l’absence de soins peut être pire que la violence physique, car cette dernière, contrairement à la négligence, donne une « forme d’attention » au jeune.

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Cinéma

Érik Canuel complète le tournage d’un film pour Disney

Érik Canuel aurait mis la touche finale à son plus récent projet, rapporte le Journal de Québec, un téléfilm produit par Disney.

Le film s’intitule Bad Hair Day, et met en vedette deux stars « maison » de la célèbre compagnie de divertissement, soit les actrices Laura Marano et Leigh-Allyn Baker.

« C’est une sorte de Bon Cop, Bad Cop pour adolescentes », explique celui qui a lui-même réalisé ce film québécois qui avait tout balayé sur son passage lors de sa sortie.

En effet, l’histoire de Bad Hair Day implique un membre des forces de l’ordre, alors qu’une adolescente devra recourir aux services d’une policière afin de dénicher un bijou qui complètera sa tenue de finissante.

« J’ai lu le scénario et j’ai beaucoup aimé. C’est bien écrit, drôle, rocambolesque. Il y a des cascades, de l’action », explique Canuel, qui a convaincu le géant du cinéma de garder une touche personnelle « ils voulaient aller dans la même direction ».

Le cinéaste commence donc à faire sa marque, lui aussi, du côté américain. Il réalisera par ailleurs deux épisodes de la version anglophone de 19-2, cet automne.

Bad Hair Day sera diffusé sur Disney Channel en 2015.
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Apprendre à parler une seconde langue avant l’adolescence

Les adolescents et les adultes ont un cortex préfrontal plus développé que les jeunes enfants. Cela fait en sorte qu’ils ont plus de difficulté à apprendre une nouvelle langue, car ils sont portés à analyser trop d’informations.

Certes, ils ont la faculté de retenir du vocabulaire, mais les enfants seraient plus aptes à cibler et se remémorer des nuances subtiles d’une langue que les adultes ou adolescents. Après quelques semaines à l’étranger ou à vivre dans un foyer qui parle une autre langue, le bambin est en mesure d’être bilingue.

Tout serait une question de cerveau et de mémoire, démontre une étude du Massachusetts Institute of Technology parue dans la revue PLOS ONE. La mémoire déclarative (qui encaisse les connaissances et les faits) serait beaucoup plus forte que la mémoire procédurale (qui éclaire nos tâches inconsciemment) chez l’adulte ou l’adolescent, tandis que c’est l’inverse chez l’enfant.

En d’autres termes, lorsque la personne plus âgée apprend une nouvelle langue, sa mémoire déclarative serait plus utile pour l’apprentissage du vocabulaire et des règles de grammaire. La mémoire déclarative aurait le dessus sur la mémoire procédurale, qui serait plus utile pour l’apprentissage des règles subtiles liées à la « morphologie » de la langue, explique-t-on sur Santé Log.