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Un test pour prédire quels adolescents surconsommeront de l’alcool

Aux États-Unis, l’âge légal pour consommer de l’alcool est de 21 ans. Or, 11 % des jeunes de 12 à 20 ans boivent régulièrement.

L’équipe de recherche était menée par le Dr Robert Whelan de l’University College Dublin en Irlande. L’étude a permis d’analyser les facteurs déterminants dans l’influence de la surconsommation d’alcool chez l’adolescent.

Selon le National Institute on Alcohol Abuse and Alcoholism, trop boire signifie qu’à l’intérieur de 2 h, le taux d’alcoolémie dans le sang atteint 0.08 %.

Les chercheurs ont laissé de côté la génétique et se sont concentrés sur la structure du cerveau, divers événements de la vie et de la personnalité de l’adolescent.

Les données de plus de 2000 jeunes de 14 ans en provenance de l’Angleterre, l’Irlande, la France et l’Allemagne ont contribué aux profils menant aux résultats.

Medical News Today rapporte que les jeunes qui avaient moins de matière grise à 14 ans, ou qui avaient des relations romantiques ou sexuelles, des expériences de vie négative et 1 ou 2 expériences de consommation d’alcool étaient tous plus susceptibles de développer une surconsommation à 16 ans.

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Comment aider notre adolescent à éviter les troubles alimentaires

Les troubles alimentaires, rappelle Parentingsquad.com, touchent les gens de tous âges, et ce, peu importe le genre. Ils comprennent notamment l’anorexie, la boulimie et l’hyperphagie.

Or, l’adolescence peut représenter une période vulnérable pour ce trouble de santé, considérant la pression de l’image véhiculée par la société.

La communication est votre allié le plus précieux. Soyez à l’écoute, soyez alerte et assurez-vous d’être actif aussi sur les mêmes réseaux sociaux que votre adolescent.

Discutez de l’image véhiculée par ces réseaux. Les adolescents doivent se bâtir une bonne estime d’eux-mêmes, et vous pouvez y contribuer.

Soyez un parent, et non un ami. Vos enfants ont déjà des amis. Votre rôle consiste à faire des choix sensés pour leur santé. Montrez l’exemple, et ne faites pas de la nourriture un ennemi.

Changez d’alimentation, diminuez les portions, assurez-vous que toute la famille est active et boit beaucoup d’eau. Si vous ne montrez pas l’exemple, vous ne pourrez pas améliorer la confiance de votre jeune.

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La consommation de caféine a augmenté parmi les adolescents

Une étude effectuée par l’équipe de chercheurs de l’University of Buffalo School of Public Health and Health Professionals démontre que la caféine n’influence pas de la même façon filles et garçons.

Pour les filles, le rythme cardiaque et la pression sont altérés de façon plus importante, et en plus, ces réactions physiques sont différentes selon la phase du cycle menstruel, rapporte Science World Report.

Les spécialistes, lors de cette recherche, souhaitaient déterminer les différences des effets de la caféine sur les enfants, adolescents et adultes. Ils ont également ajouté le sexe des participants comme variable, afin de noter si celui-ci était avait un impact quelconque.

Il s’est avéré qu’il « existe une interaction entre le genre et la caféine, les garçons étant plus enclins à réagir à la caféine que les filles. Également, les réactions différaient à cause du genre après la puberté, mais pas avant », a indiqué Jennifer Temple, du département de l’exercice et de la science nutritionnelle.

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La marijuana chez l’adolescent diminuerait son QI

Selon des chercheurs du National Institute of Drug Abuse (NIDA), les effets à long terme de la consommation de pot sont bien moins reluisants que ceux qui sont immédiats. La pensée critique est compromise, ainsi que la mémoire, et ce, pendant plusieurs jours dans certains cas.

Ce qui est pire encore, rapporte le Daily Mail, c’est que l’étude ajoute une nouvelle conséquence, particulièrement chez les adolescents. Leur QI serait diminué par cette drogue. Même s’ils cessent de fumer, les effets demeurent.

« Il est important d’alerter le public. L’utilisation de la marijuana pendant les années d’adolescence apporte son lot de risques académiques, sociaux et de santé. » La directrice du NIDA, Dre Nora D. Volkow, ajoute : « Les spécialistes de la santé devraient intervenir en informant les familles des conséquences de la marijuana, notamment au niveau des développements cognitifs et sociaux ».

Les chercheurs tiennent à sensibiliser les jeunes au fait que les nombreuses variétés de marijuana aujourd’hui disponibles augmentent de beaucoup les risques de dommages associés.

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Le cancer de la peau gagne encore du terrain au Canada

Il semble que le cancer de la peau gagne toujours du terrain au Canada, rapporte Le Devoir, et se place maintenant à égalité au palmarès peu enviable des cancers les plus fréquents diagnostiqués sur notre territoire.

Au Québec seulement, on estime à 30 000 nouveaux cas à prévoir au cours de l’année 2014. Le plus inquiétant, et peut-être étonnant, est qu’il existe des méthodes de prévention et des causes connues pour ce type de cancer, à commencer par les rayons UV.

« Malheureusement, la mode du bronzage est encore présente, et les gens ont un peu perdu les consignes de sécurité. Ils s’exposent plus qu’avant et se protègent moins qu’il y a 20 ans. On voit qu’il y a encore de l’éducation à faire. Les jeunes bébés, les enfants, ça, les parents ont compris. C’est bien intégré dans les moeurs. Mais dès que l’adolescence arrive, les consignes de sécurité sont complètement mises de côté », explique le porte-parole de la Société canadienne du cancer (SCC), André Beaulieu.

Un retour en arrière qui expliquerait en partie cette hausse statistique des cas de cancer de la peau, selon la SCC, qui y va d’une vaste campagne de sensibilisation à l’aube de la saison estivale.

Les données et informations concernant le cancer de peau sont disponibles sur le site officiel de la SCC

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Un adolescent sur 10 a déjà considéré l’automutilation

L’automutilation et la surdose sont les deux solutions en tête de liste chez les adolescents qui vivent des problèmes sérieux au niveau personnel, émotionnel ou de santé mentale.

Les résultats du sondage annuel Young Life and Times (YLT) démontrent cependant que malgré les campagnes de sensibilisation aux troubles mentaux et les améliorations du système de santé, les données ne se sont pas améliorées en 5 ans.

Parmi les 1367 adolescents de 16 ans ayant participé au sondage, et ce, à travers l’Irlande du Nord, près d’un tiers admet avoir vécu l’un ou l’autre des problèmes mentionnés à un certain point dans la dernière année.

Medical News Today rapporte que :

– Seulement le tiers de ceux qui ont vécu cette détresse ont demandé de l’aide professionnelle.

– 13 % des répondants ont sérieusement pensé à faire une surdose ou se faire du mal, 6 % ont répondu qu’ils y avaient pensé à l’intérieur du dernier mois.

– 13 % des répondants ont avoué être passés à l’acte pour l’automutilation, dont 5 % une seule fois, et 8 % plus d’une fois.

La raison principale de ce comportement chez l’adolescent est pour « se punir ».

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Les fréquentations amoureuses des adolescents ont bien changé

La technologie représente le tournant dans les relations des adolescents d’aujourd’hui. Mais en tant que parent, vous devez maintenir les règles de base lorsque votre jeune commence à fréquenter quelqu’un.

Par exemple, avant qu’ils partent pour une soirée en tête à tête, vous devez insister pour avoir rencontré l’élu de son cœur en face à face, et non uniquement par sa photo de profil Facebook.

D’ailleurs, la première règle d’une relation saine est la communication. Votre jeune doit considérer qu’une relation amoureuse ne peut pas être basée sur de courts écrits.

Rappelez-leur que dans leurs échanges écrits, ils manquent toute la beauté du langage corporel, de la timidité, des premiers gestes amoureux, des papillons lorsque l’on voit l’autre réagir à nos gestes et paroles.

Selon le directeur en psychiatrie Dr Scott Carroll, l’autre grosse différence aujourd’hui est l’explosion de la bisexualité et de l’homosexualité, surtout chez les filles (environ 50 %).

Les filles voient désormais leur sexualité différemment. Il n’est pas rare qu’elles fréquentent une fille et un garçon en même temps. Soyez donc aux aguets et encouragez l’échange avec votre adolescent.

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Un questionnaire simple pour détecter la dépression chez l’adolescent

Quelques minutes à peine pour aider le praticien à déterminer si l’adolescent en face de lui nécessite un réacheminement vers un spécialiste.

L’étude a été réalisée par Sharolyne Dihigo et ses collègues de l’UT Arlington College of Nursing. Ils ont examiné 14 recherches pour déterminer les questions à inclure dans le formulaire, afin que celui-ci soit représentatif et efficace.

« Voir à ce que les adolescents aient le traitement dont ils ont besoin a le potentiel de sauver des vies », explique Dihigo, directrice par intérim du programme de soins infirmiers.

Le formulaire de 20 questions permet aux jeunes de contourner les difficultés et l’hésitation associées à « l’expression de leurs émotions et comportements liés à la dépression ».

Dre Dihigo a donc trouvé une façon très peu coûteuse pour le système de santé pour évaluer l’état mental des adolescents. Elle met celui-ci en pratique à l’heure actuelle dans sa propre clinique pour appuyer son étude.

Il est estimé, selon Medical News Today, que 5 à 20 % des adolescents souffrent de la dépression, mais ne reçoivent pas les traitements appropriés.

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Insuffisance rénale reliée à l’obésité chez l’adolescent

Tel est le résultat présenté par des chercheurs lors du National Kidney Foundation’s 2014 Spring Clinical Meetings.

Parmi les 242 adolescents qui participaient à l’étude longitudinale de l’évaluation de chirurgie bariatrique, 17 % présentaient des protéines dans leur urine, 3 % ont obtenu un débit de filtration glomérulaire (DFG) anormalement bas, alors que pour 7 % il était anormalement élevé (plus de 150).

Comme l’explique Medical News Today, l’albuminurie et la protéinurie (protéine dans l’urine) sont des signes précurseurs de lésions rénales.

D’autre part, les médecins utilisent le test DFG en complément pour estimer la quantité de fluide filtré par les reins.

Un DFG de 90 ou plus indique une filtration normale, mais s’il est trop élevé, cela signifie que les reins sont en hyperfiltration, et donc qu’ils travaillent trop. À long terme, l’hyperfiltration peut mener à une fuite de protéines dans l’urine.

Le Dr Nianzhou Xiao et son équipe du Children’s Hospital Medical Center, à Cincinnati, ont l’intention de suivre les candidats de la chirurgie bariatrique après leur opération pour valider si celle-ci a un impact sur la fonction rénale de ces adolescents.

L’insuffisance rénale fait donc partie des conséquences de l’obésité sévère, et ce, dès l’enfance.

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L’intimidation en baisse chez les jeunes Américains

Les campagnes de sensibilisation et la mobilisation globale de la population en matière d’intimidation semblent porter leurs fruits, à tout le moins de l’autre côté de la frontière.

The National Library of Medicine rapporte en effet une baisse générale du phénomène de l’intimidation chez les adolescents, aux États-Unis, depuis les dix dernières années.

L’étude proposée repose sur des sondages complétés auprès d’étudiants entre 1998 et 2010, et suggère que l’intimidation verbale et physique est en forte baisse. On parle même d’une réduction du phénomène de moitié, surtout chez les garçons.

« Au cours des récentes années, il y a eu plus d’attention accordée aux efforts anti-intimidation, comme des programmes et des politiques scolaires. On espère que ces efforts de prévention et l’attention additionnelle accordée au problème puissent être la raison de ce déclin », explique l’auteure de l’étude, Jessamyn Perlus.

Pendant ce temps au Québec, d’autres recherches semblent suggérer un effet contraire, mais de nouvelles études seront nécessaires pour offrir un véritable constat de la situation québécoise et canadienne.

Les résultats de l’étude rapportée ont été publiés dans l’American Journal of Public Health.