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La santé mentale des adolescentes affectée par leurs relations amoureuses

Le responsable de l’étude, Brian Soller, a expliqué : « J’ai découvert que les filles à risque de dépression sévère, d’idées suicidaires et de tentatives de suicide augmentaient proportionnellement à l’écart entre leur idéologie romantique et la réalité de leurs relations »,

La recherche, publiée dans la dernière édition du Journal of Health and Social Behavior, a également démontré qu’il en est tout autrement chez les garçons, rapporte Medical News Today.

En tout, plus de 5300 étudiants du secondaire ont été interrogés à deux reprises. La première fois, on leur demandait de lister les étapes importantes d’une relation amoureuse, notamment se tenir par la main, s’embrasser, avoir des relations sexuelles, etc.

Un an plus tard, on demandait aux mêmes étudiants de répondre aux mêmes questions, en se basant sur leur expérience personnelle. Évidemment, les réponses divergeaient. Lors des deux rencontres, les élèves passaient une évaluation psychologique.

Selon Soller, contrairement aux filles, les garçons développent leur identité dans le sport ou avec les amis, et non en se basant sur la réussite d’une relation amoureuse, ce qui fait toute la différence.

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La peine d’amour de votre ado vous épuise-t-elle?

SheKnows.com rappelle aux parents que l’amour entraîne un flux de sérotonine, de norépinéphrine et de dopamine au cerveau. Donc, le corps est sous l’influence de drogues naturelles.

Si de votre côté vous savez que cet amour finira par s’éteindre, votre ado ne le sait pas, et son corps non plus. Donc, avant de faire l’erreur de dédramatiser la situation ou d’être agacé par sa réaction, sachez ceci :

– La zone cérébrale du jugement n’est pas encore développée chez l’adolescent. Cela peut facilement mener à des spirales émotives négatives.

– Votre adolescent est prédisposé à la dépendance. Comme l’amour est une forme de drogue, il est facile pour lui de s’y accrocher et d’être accablé lorsque cette sensation disparaît.

– Il vit dans le présent. L’ado a ainsi beaucoup plus de difficulté à envisager le futur, et donc à comprendre qu’il s’en remettra.

Comment l’aider? Écoutez votre enfant, fournissez-lui les outils et ressources et demeurez disponible.

Accordez-vous aussi le droit à de l’aide (travailleur social ou autre) si sa douleur devient vôtre, que son état vous inquiète et que vous manquez de ressources.

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Les adolescents populaires aussi peuvent souffrir d’intimidation

La contradiction, dans la nouvelle recherche, réside dans le fait que tout au long de l’ascension vers la popularité, le risque d’intimidation de l’adolescent s’accroît. Par contre, lorsqu’il est au sommet, le risque disparaît totalement.

Selon les dires de Robert Faris, professeur en sociologie à l’Université de Californie, les étudiants en quête de popularité représentent les victimes invisibles de l’intimidation. Sa partenaire de recherche, Diane Felmlee, abonde en ce sens.

« Contrairement aux stéréotypes indiquant que seuls les élèves effacés représentent des cibles pour leurs pairs, les adolescents relativement populaires sont également à haut risque. »

Medical News Today rapporte les statistiques du gouvernement américain, dévoilant que plus d’un étudiant sur 4 a vécu de l’intimidation dans les dernières années (entre 20 et 28 %).

Faris et Felmlee se sont basés sur les données récoltées auprès de 4000 adolescents dans 19 écoles secondaires de la Caroline du Nord.

Selon eux, les élèves plus populaires sont encore plus anxieux, en colère et dépressifs, puisqu’ils croient qu’ils ont plus à perdre, car ils « tombent de plus haut ».

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Comment savoir si votre adolescent consomme de la drogue

La pression des pairs est un déclencheur fréquent chez les adolescents. She Knows vous donne des indices précis pour reconnaître les signes et symptômes reliés à l’utilisation de drogues.

On parle surtout de marijuana, de médicaments sans prescription, d’ecstasy et son dérivé, MDMA (Molly), des hallucinogènes, des sels de bain et même d’héroïne et de cocaïne.

Les signes physiques
– Yeux rouges
– Hématomes inexplicables
– Difficulté à parler
– Changements soudains de l’apparence ou du poids
– Fatigue anormale ou changement dans la routine de sommeil
– Toux persistante
 
Les changements sociaux
– Manque d’intérêt pour des activités appréciées
– Nouveau groupe d’amis
– Mauvaises notes à l’école et absentéisme
– Évitement du contact visuel
– Sorties tard le soir ou absence prolongée
– Agressivité lorsque le parent pose des questions sur le changement de comportement
 
Les symptômes émotionnels
– Agressivité anormale ou confrontation envers l’autorité
– Dépression ou retrait de la vie sociale
– Irritabilité
– Manque de jugement

Même si l’adolescence apporte de grands changements chez l’individu, vous connaissez vos enfants. Si des changements trop soudains surviennent, consultez un spécialiste, à l’école ou au CLSC, pour trouver des ressources pour répondre à vos questions.

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3 moyens détournés pour mieux communiquer avec votre ado

On parle de l’adolescence dès que votre jeune atteint 12 ou 13 ans, selon les enfants. Leur comportement change peu à peu, ils se font plus secrets, plus distants dans certains cas.

Si vous souhaitez avoir plus de succès en communiquant avec un adolescent, suivez ces quelques conseils :

Posez des questions précises : évitez de demander « comment a été ta journée? », puisque c’est trop vague. Vous ne recevrez qu’un « bien » en retour. Renseignez-vous sur un examen, une expérience en sciences ou le conflit avec son ami. Vous démontrerez ainsi un plus grand intérêt envers lui.

Utilisez la technologie à votre disposition : sans fouiller dans son cellulaire, il vous est possible de vous rapprocher de votre ado en utilisant sa façon de communiquer, soit par texto, courriel ou encore par Facebook. Cependant, ne devenez pas agaçant en envoyant une tonne de messages sur tous les médias.

Soyez une oreille attentive : même si le sujet ne vous intéresse pas, si votre adolescent se confie à propos d’un ami, une situation à l’école, un jeu vidéo, c’est important pour lui. Soyez ouvert et gardez en mémoire ce qu’il vous dit. Utilisez ces mêmes informations pour démarrer d’autres conversations.

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Risque accru de démence chez les adolescents au faible QI

La recherche comprenait les données de 1,1 million de jeunes hommes suédois. Selon les résultats, ceux qui présentaient une moins bonne santé cardiovasculaire et un QI plus bas pendant l’adolescence étaient plus sujets à développer des signes précoces de démence.

L’experte principale, Jenny Nyberg de l’Académie Sahlgrenska, a expliqué dans un communiqué : « Des études antérieures ont montré la corrélation entre la santé cardiovasculaire et le risque de démence chez les personnes âgées. Pour la première fois, nous démontrons que ce risque s’applique également à la démence précoce et ses précurseurs ».

Selon les résultats rapportés par Science World Report, à l’adolescence :

– Une faible santé cardiovasculaire représente un risque accru de 2,5 fois de développer une démence précoce;

– Le risque de ceux ayant un faible QI était quant à lui 4 fois plus élevé;

– La combinaison d’une mauvaise santé cardiovasculaire et d’un QI sous la moyenne faisait grimper ce risque à 7 fois.

Même en combinant d’autres facteurs tels que l’historique médical, l’hérédité et les circonstances socio-économiques, le risque demeurait le même.

Le professeur Georg Kuhn affirme que l’exercice demeure la meilleure solution préventive. « En d’autres mots, une bonne santé cardiovasculaire rend le cerveau plus résistant aux dommages et maladies. »

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L’estime de soi chez les jeunes, influencée par la culture

C’est une psychologue spécialisée dans les facteurs sociaux, Maja Becker, qui a évalué l’estime de jeunes en tenant compte des différences culturelles.

Ce sont plus de 5000 adolescents et jeunes adultes de 19 pays qui ont pris part à l’étude récemment publiée dans le bulletin en ligne Personality and Social Psychology.

La psychologie a toujours basé l’estime de soi des individus sur la réalisation des valeurs qui sont importantes pour eux. Cependant, ces valeurs diffèrent d’un pays à l’autre.

Les jeunes provenaient de différentes régions de l’Europe, l’Amérique, l’Afrique et l’Asie. Dans chaque pays, c’est environ 200 élèves de l’école secondaire qui étaient interrogés, âgés de 16 et 17 ans.

Les facteurs d’estime communs étaient le contrôle exercé sur sa propre vie, faire son devoir, faire une différence auprès des autres, puis l’acquisition d’un bon statut social. Les différences se situaient dans l’importance que revêtaient ces facteurs.

Par exemple, en Europe de l’Ouest et dans certaines régions de l’Amérique du Sud, la liberté individuelle et la réussite d’une vie stimulante étaient ce qui revêtait le plus d’importance pour la confiance des jeunes de cette région.

La recherche met en lumière l’importance de développer des interventions adaptées à la culture des jeunes lorsqu’ils nécessitent de l’aide.

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L’obésité est maintenant aussi un phénomène européen

L’Amérique du Nord et les États-Unis n’ont plus le « monopole » de l’obésité, semble-t-il, alors que le phénomène semble maintenant s’étendre jusqu’en Europe.

C’est ce que rapporte Top Santé, qui reprend un rapport de l’OMS sur la santé des Européens et sonne l’alarme alimentaire sur le territoire du vieux continent.

Le rapport de l’OMS parle de « nouvelle norme » en matière de poids pour l’Europe, statuant que le surpoids est maintenant plus une moyenne qu’une exception, à l’image des Américains.

L’alimentation des citoyens des 53 pays analysés ferait très souvent largement défaut, ce qui fait augmenter les statistiques de surpoids chez les plus jeunes. 33 % des jeunes 11 ans seraient près de l’obésité, pour 27 % des adolescents, toujours en Europe.

« L’obésité gagne du terrain pour deux raisons. Un trop peu d’activité physique et une surconsommation de produits riches en sucre, en sel et en graisse. Cette combinaison de facteurs est mortelle, d’autant que le phénomène n’étonne plus », lance la directrice de l’OMS en Europe, Zsuzsanna Jakab.

Outre la sédentarité, il ne faudrait peut-être pas oublier de mentionner le phénomène « d’américanisation » observable un peu partout dans le monde, qui comprend ses avantages, mais aussi ses inconvénients.

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Prévenir la consommation de cannabis des adolescents passe par la communication

Selon Top Santé, le premier pas consiste à être attentif, à l’écoute, plutôt que de tomber dans le harcèlement trop incisif. Le pédopsychiatre Olivier Revol a répondu à quelques questions que se posent les parents.

Si vous savez que les copains de votre ado consomment du cannabis, il ne faut pas juger, critiquer ou l’empêcher de les fréquenter. Vous devez plutôt instaurer un climat de confiance et lui donner vos conseils, sans trop le questionner. Laissez-le s’ouvrir plutôt que le forcer.

Il semble qu’il soit inutile de plaider la cause de la santé. Mieux vaut mettre l’accent sur l’information. Entre autres, les effets désagréables, notamment l’angoisse et le délire parfois associés à la marijuana. Appuyez-vous sur de vraies expériences, des faits… et insistez sur la dépendance.

Si vous le prenez la main dans le sac ou que l’école le fait à votre place, il est encore préférable d’insister sur le côté judiciaire que de lui faire la morale.

Prônez par l’exemple. Si vous fumez vous-même et qu’il vous pose des questions, évitez de mentir. Mieux vaut cesser avant qu’il ne vous questionne.

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Le premier biomarqueur relié à la dépression chez les garçons adolescents

Medical News Today rapporte que selon la National Institute of Mental Health, 11,2 % des adolescents américains âgés de 13 à 18 ans ont déjà souffert d’une dépression sévère. Les chercheurs du Royaume-Uni viennent d’établir un biomarqueur qui pourrait aider à déceler et prévenir la dépression chez les garçons.

Les spécialistes ont mesuré le niveau de cortisol, une hormone de stress, présente dans les échantillons de salive d’adolescents qui devaient par la suite répondre à un questionnaire évaluant les symptômes de dépression. En se basant sur le niveau de cortisol et les symptômes, ceux-ci ont été séparés en 4 groupes.

Après un suivi échelonné entre 12 et 36 mois, les chercheurs ont réussi à établir quel groupe était le plus à risque de développer des troubles psychiatriques. Ils ont découvert qu’un niveau élevé de cortisol chez les garçons était le messager de la dépression.

Le professeur Goodyer a expliqué que cette percée permettra de réduire le nombre de personnes souffrant de la dépression en s’assurant de la traiter de façon préventive.

Les résultats de la recherche ont été publiés dans la revue Proceedings of the National Academy of Sciences.