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Ne privez pas votre adolescent de la grasse matinée!

Top Santé rapporte les données transmises par la recherche du Pr Damien Léger et du Dr François Duforez du Centre du sommeil et de la vigilance de l’Hôtel-Dieu.

Ainsi, les adolescents qui sont en carence de sommeil, du moins en pleine semaine, doivent se rattraper le weekend. C’est pourquoi il est essentiel que les parents les laissent dormir en matinée.

En moyenne, un adolescent sur quatre dort moins de 7 heures par nuit, alors que pour optimiser sa croissance et son développement, il devrait profiter de 9 h 30 de sommeil.  Selon l’étude, environ 30 % des adolescents de 15 à 19 ans sont en carence.

Difficile, cependant, de changer de mauvaises habitudes, selon les chercheurs. Ils offrent quelques solutions efficaces pour inciter votre jeune à dormir.

– Il faut bouger! Fatigue physique, mais aussi mentale garantie.

– Assurez-vous que le repas du soir est terminé au moins 2 heures avant l’heure du coucher et offrez-lui un dessert bien sucré. Le sucre serait un catalyseur du sommeil.

– Laissez la température de la chambre à coucher à 18 °C.

– Le dimanche, il ne faut pas se lever plus tard que 10 h pour favoriser le réveil lundi matin.

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Les commotions cérébrales liées à la dépression chez les adolescents

Plusieurs recherches et même des documentaires faisant état des conséquences néfastes des commotions cérébrales mettent en lumière les dangers reliés aux sports de contact.

La préoccupation première constitue la détection des commotions. Elles peuvent avoir lieu au football, comme dans un accident de voiture ou une chute d’un trampoline, rapporte She Knows. Et bien que l’enfant semble aller bien, des dommages peuvent quand même avoir affecté leur cerveau.

La recherche dont il est question ici a été menée en 2007 et 2008 auprès de plus de 36 000 jeunes de 12 à 17 ans. Sur cet échantillon, 2,7 % avaient souffert de commotion, et 3,4 % de ceux-ci avaient reçu un diagnostic de dépression.

Jeffrey Max, psychiatre, se spécialise dans les conséquences dues aux traumatismes crâniens chez les enfants et adolescents. « Durant notre recherche, nous avons découvert qu’environ 10 % des enfants présentaient les symptômes d’une dépression importante 6 mois après une commotion cérébrale. »

De plus, il est prouvé que les enfants ayant subi ce genre de blessure ont plus de difficulté à contrôler leur humeur et sont plus enclins à développer le TDAH (trouble de déficit d’attention avec hyperactivité).

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Boisson énergisante : facteur de consommation de drogue, alcool et cigarette chez l’adolescent

Une étude publiée dans le Journal of Addiction Medicine et rapportée par Medical News Today affirme que le tiers des adolescents américains sont de fervents consommateurs des boissons énergisantes.

Selon la chercheuse Yvonne M. Terry-McElrath et ses collègues de l’Institute for Social Research à l’Université du Michigan, ces doses d’énergie instantanée sont consommées dans le même état d’esprit que pour la drogue, l’alcool ou la cigarette. Il y a les notions « de recherche de risque et de sensation ».

Les données analysées regroupent les informations de près de 22 000 étudiants du secondaire. Environ 30 % des répondants ont affirmé consommer des boissons énergisantes format régulier ou en shot. Les données rapportent également que ce sont les plus jeunes (secondaire 1) qui consomment le plus de ces boissons.

En plus, parmi les consommateurs de boissons énergisantes, on retrouvait de 2 à 3 fois plus d’adolescents utilisant d’autres substances (drogue, alcool, cigarette), comparativement aux étudiants qui ne prenaient pas ce type de boisson.

« Cette étude démontre clairement que la consommation de boissons énergisantes est très répandue chez les adolescents et qu’elle risque d’être reliée à d’autres dépendances », a écrit Terry-McElrath. 

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Les jeux vidéo et la morale des ados

Publiés dansl’Educational Media International, les résultats d’une récente étude menée par Mirjana Bajovic de la Brock University sont clairs; les jeux vidéo violents nuisent au jugement moral des adolescents.

Un groupe d’enfants âgés de 13 et 14 ans ont été questionnés sur leurs habitudes de jeux vidéo. Leur degré de maturité sociale a ensuite été évalué.

Mme Bajovic a déterminé qu’il existait une grande différence entre ceux jouant à des jeux vidéo violents pendant 1 heure par jour et ceux qui jouaient plus de 3 heures par jour.

« Passer trop de temps dans un monde virtuel violent peut empêcher les joueurs de s’impliquer dans différentes expériences sociales positives dans la vie réelle et nuirait au développement de la notion entre le bien et le mal », déclare-t-elle.

Sachant que d’empêcher les jeunes de jouer à ces jeux n’est pas une solution réaliste, Mirjana Bajovic conseille aux parents et aux professeurs de s’impliquer avec ces jeunes et leur fournir les occasions sociales dont ils manquent, tels des services communautaires et des activités parascolaires stimulantes.

Bien que le fossé puisse parfois sembler trop large, intéressez-vous à leurs jeux, parlez-en avec eux et offrez-leur des alternatives. Ils préfèreront certainement cette approche plutôt que de se faire interdire de jouer.

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Un moyen efficace de traiter la phobie sociale chez l’adolescent

Lorsque la gêne est si importante qu’elle empêche la communication, on parle d’anxiété sociale. Selon Medical News Today, très peu de recherches ont été axées sur le sujet. Il est ici question de trouver un traitement adapté spécifiquement aux phobies sociales (PS) chez les jeunes de 13 à 16 ans.

L’étude a comparé les effets de la thérapie cognitive individuelle, la thérapie cognitivo-comportementale de groupe, ainsi qu’une forme de thérapie placebo. Sur l’échantillon de 279 adolescents ayant reçu un diagnostic primaire de phobie sociale, 57 ont assisté, de façon aléatoire, à l’une ou l’autre des thérapies.

Les participants ont été évalués avant et après leur thérapie, puis 12 mois plus tard à titre de suivi. Comparativement aux thérapies de groupe et placebo, la thérapie cognitive individuelle s’est avérée très prometteuse. Les jeunes présentaient une nette réduction des symptômes, ce qui n’a pas été le cas dans les deux autres environnements de traitement.

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Trouble anxieux chez l’enfant, gage de rechutes s’il est mal traité

La recherche a été menée aux États-Unis, sous le titre CAMELS (Child/Adolescent Anxiety Multimodal Extended Long-term Study), auprès de 288 volontaires âgés de 11 à 26 ans.

Les participants ont tous été traités pour troubles anxieux, à la suite d’une évaluation d’un spécialiste de la santé. Les notions de présence de troubles anxieux, de sévérité de l’anxiété et du fonctionnement quotidien global de l’individu ont été analysées.

Les jeunes ont été suivis à l’aide d’une thérapie cognitivo-comportementale, de la médication, une combinaison des deux, ou encore à l’aide d’un placébo. 

Les jeunes ont été réévalués 6 ans après le début des traitements. Si près de la moitié (46,5 %) étaient en rémission, il n’en demeure pas moins que 48 % des participants avaient subi un autre épisode de trouble anxieux nécessitant un traitement, les filles étant deux fois plus à risque de rechute.

Ceux ayant été traités à l’aide de médication étaient également plus à risque de vivre à nouveau de l’anxiété si le traitement n’était pas suffisamment long.

« Ce n’est pas parce qu’un enfant réagit bien à un traitement précoce que notre travail est fini, et que nous pouvons baisser la garde », explique la psychologue Golda Ginsburg, dans des propos rapportés par Top Santé.

Les résultats de l’étude ont été publiés dans la revue Jama Psychiatry.

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Comment préparer votre ado à prendre le volant

Avoir son permis de conduire est une étape importante pour le jeune. Elle est également stressante pour les parents. Si elle représente l’autonomie, elle est aussi synonyme de prudence… et de danger.

Si vous vous demandez comment vous préparer (autant votre enfant que vous-même), prenez quelques trucs.

1- Un privilège, pas un droit – Votre ado doit comprendre clairement que conduire est un privilège et qu’il peut se le faire retirer s’il est irresponsable. Si ce n’est pas par vous, ce seront les autorités qui s’en chargeront.

2- Prôner l’exemple – Prudence, respect de la vitesse et des indications routières… de beaux principes de base que vous devez commencer par respecter vous-même.

3- Responsabiliser l’adolescent – Conduire n’est pas uniquement un plaisir. Il en coûte de l’assurance, de l’entretien de véhicule et de l’essence. Il faut établir les montants dont il devra s’acquitter.

4- Évitez que la pratique tourne au vinaigre – Si vous êtes trop impatient, laissez le soin à votre partenaire ou un ami proche de guider votre adolescent. L’exercice ne doit pas représenter un moment de stress et de contrainte.

5- Profitez du temps de qualité – Oui, il s’agit d’une occasion unique d’écouter de la musique, de faire jasette, de parler d’avenir, de projets, etc. Maximiser positivement ce temps.

N’oubliez pas, le secret de la confiance au volant passe par la pratique. Vous devrez vous-même y consacrer beaucoup de temps. Attendez aussi que votre jeune soit plus à l’aise avant de le faire conduire de nuit.

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Une nouvelle initiative concluante pour contrôler l’asthme chez l’adolescent

Medical News Today rappelle que l’asthme est la maladie commune la plus répandue chez les enfants. Aux États-Unis uniquement, ce sont 9 % (environ 7 millions) des enfants qui en souffrent, donnant lieu à 10,5 millions de jours d’absence à l’école chaque année.

Selon la Dre Maria Britto, qui a mené la recherche sur 322 adolescents, la difficulté du traitement chez ceux-ci réside dans le fait qu’ils suivent rarement le traitement prescrit, contrairement aux plus jeunes enfants.

L’initiative a consisté à responsabiliser les adolescents. Ils se voyaient remettre un ensemble d’outils pour se soigner et leur permettre de contrôler leur asthme. L’ensemble comprenait de la médication et un plan personnalisé (auto-gestion et auto-évaluation) pour apprendre à surmonter les obstacles, ainsi que les coordonnées de ressources spécialisées.

Depuis le début de cette étude, soit en août 2009, le pourcentage d’adolescents qui ont appris à bien contrôler leur asthme est passé à 30 % et se maintient. D’autre part, les jeunes ont pris confiance en leur jugement pour éviter les déclencheurs de crise avec l’auto-gestion et le suivi offert par les spécialistes. De 70 %, ils sont désormais 85 % à se prendre en main adéquatement.

Chaque année, ce sont plus de 640 000 visites à l’urgence et 157 000 hospitalisations qui sont dues à l’asthme infantile.

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Votre adolescent est-il angoissé par l’école au point d’être malade?

Top Santé rapporte même que de nos jours, c’est 15 à 20 % des élèves en France, dès le début du secondaire, qui sont en détresse psychologique.  Pour certains, l’angoisse est si forte que les adolescents tombent malades. La psychiatre et psychanalyste de la Maison de Solenn, Marie Rose Moro, fait le point.

On peut distinguer les décrocheurs des adolescents présentant des phobies scolaires. Les décrocheurs ne veulent pas aller à l’école, alors que les jeunes en détresse ne peuvent tout simplement pas. Ils changent souvent de comportement, utilisent des drogues ou de l’alcool pour atténuer leur angoisse.

La cause peut être reliée au savoir ou aux relations sociales. Ces dernières seraient plus faciles à aborder que lorsque l’apprentissage est en cause. Souvent, l’adolescent ressent une pression soit sociale, soit parentale, ou les deux, et n’arrive tout simplement plus à aller à l’école parce qu’il n’a plus d’estime personnelle.

Marie Rose Moro recommande de ne pas retirer l’enfant de l’école complètement. Il faut au plus vite qu’il consulte un spécialiste et un éducateur pourra éventuellement l’accompagner. En attendant, il doit poursuivre avec les matières dans lesquelles il ne se sent pas menacé.

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3 adolescents sur 4 ne répondent pas aux normes de santé

La plus récente analyse des Centers for Disease Control and Prevention (CDC), peut sembler décourageante, mais avec le taux d’obésité, elle n’est pas non plus surprenante.

L’information a été récoltée auprès du 2012 National Youth Fitness Survey, sondage auquel 800 adolescents ont participé. Ils ont été questionnés sur leurs activités physiques quotidiennes, puis ont subi des examens physiques pour appuyer les données.

Science World Report rappelle que les normes de santé physique ont été établies en 2008 pour les 12 à 15 ans.

Les chercheurs sont tout de même optimistes, puisque depuis l’établissement de ces normes, 25 % des adolescents participent désormais plus à des activités physiques extérieures, incluant des sports.

« Nous pouvons faire mieux que 25 % », suggère Tala Fakhouri, responsable de la présente étude. « Nous espérons voir ces résultats s’améliorer », a-t-il ajouté dans un communiqué.

Pour ce faire, il faut poursuivre les encouragements et les mesures déjà instaurées pour susciter l’intérêt chez les jeunes.