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Ce qui motive la cyberintimidation

Qu’on se le dise, les mots tuent. Au sens propre. L’anonymat d’internet fait sortir le côté le plus noir de la nature humaine. La cyberintimidation prend plusieurs formes. Avec les médias sociaux, blogues et forums, les agressions se multiplient. Mais il y a également les cellulaires, et les textos peuvent rapidement empoisonner la vie de votre enfant.

Ainsi, mieux vaut garder un œil non seulement sur le Facebook de votre enfant, mais aussi sur ses textos et sur les différents forums qu’il consulte. Aujourd’hui, l’intimidation est constituée sur une toile de fond virtuelle, mais les dommages, eux, sont réels.

C’est encore 80 % des cas de cyberintimidation qui ne sont pas rapportés, parce que les enfants et même les adolescents ont encore plus peur de dénoncer que de subir. Et surtout, cessez de chercher celui qui a l’air du « mauvais garçon ». Les pires sont désormais les enfants qui ont la cote de popularité la plus élevée, garçon ou fille.

Abaisser les autres pour prendre du galon, voilà la nouvelle norme. Plus on est cruel avec les autres, plus on devient populaire. Faites aussi attention à ceux qui par le passé ont eux-mêmes été victimes d’intimidation. Ils deviennent parfois les pires bourreaux, puisqu’ils sont passés par là.

Il s’agit d’un « combat social », comme l’expliquent les sociologues Robert Faris et Diane Felmlee, dans une récente étude menée pour CNN.

Et surtout, les autres jeunes hésitent à soutenir ceux sur qui on crache, de peur d’être le prochain sur la liste.

Notre rôle premier? Empêcher notre propre enfant de devenir l’un de ces bourreaux.

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La technologie en renfort à la lutte au tabagisme

Des spécialistes américains ont décidé de passer au 2.0 en matière de prévention du tabagisme, rapporte Santé Log.

En effet, des chercheurs et médecins du Centre contre le cancer de l’Université du Texas ont mis sur pied une nouvelle application mobile attrayante qui informe et incite les jeunes à renoncer à la cigarette.

S’adressant aux fumeurs, non-fumeurs, ainsi qu’aux jeunes en général, l’application propose plusieurs éléments interactifs et amusants, en plus d’une foule de faits concernant la cigarette.

Bien que la nouvelle génération n’aime pas se faire dire quoi faire comme toutes celles qui l’ont précédé, l’application semble attirante et pourrait toucher la cible. Et même si ce n’était pas le cas, on ne pourra pas taxer les spécialistes américains de ne pas avoir essayé!

L’application aurait été créée, à tout le moins plusieurs aspects, par des adolescents, ce qui ajoute à sa crédibilité.

On recense plus de 1 000 téléchargements jusqu’à maintenant.

Découvrez et téléchargez cette application antitabac unique (anglais).

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Les médias sociaux en prévention du suicide

Les médias sociaux ont souvent eux-mêmes mauvaise presse et sont vus de haut par d’aucuns, parfois à tort ou à raison, mais il existe un phénomène qui semble difficile à contredire.

En effet, si les médias sociaux sont un lieu d’intimidation fréquent, et qu’il s’agit d’un problème de société flagrant chez la jeune génération, ces mêmes systèmes peuvent aussi sauver des vies.

De plus en plus de cas sont observés et rapportés, de jeunes (et moins jeunes) individus qui se tournent vers la toile et leurs médias sociaux favoris pour demander de l’aide en situation de crise et de détresse psychologique.

C’est le phénomène rapporté par le Daily Mail (UK), alors qu’une nouvelle étude fait état du réflexe des jeunes à se tourner vers les technologies pour partager leurs émotions les plus sombres et leurs idées suicidaires, plutôt que de parler à un proche ou d’appeler une ligne anti-suicide.

Des chercheurs de l’Ohio, auteurs de deux études sur le même sujet, croient qu’il faut concentrer les efforts de prévention du suicide vers le web et ce genre de plateformes, là où se trouvent véritablement les jeunes et les adolescents.

Ici, au Québec, plusieurs cas qui abondent dans ce sens ont aussi été rapportés.

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L’impact des agressions entre frères et soeurs

Alors qu’elles peuvent être perçues comme quelque chose de tout à fait normal et même bénéfique aux yeux de certains, les agressions entre frères et sœurs ont des répercussions plus graves qu’on pourrait le croire.

Une récente étude menée à l’Université du New Hampshire et publiée dans l’édition de juillet du journal Pediatrics démontre les dommages causés par de telles situations.

En fait, les séquelles seraient semblables à celles vécues lors de l’intimidation causée par des pairs, phénomène largement médiatisé depuis quelques années maintenant, à la suite du suicide de plusieurs jeunes.

Concernant les résultats de l’étude ayant analysé le cas de 3599 enfants de 1 mois à 9 ans, la Dre Corinna Jenkins Tucker de l’UNH déclare : « Même les enfants n’ayant rapporté qu’un seul incident marquant présentaient plus de détresse de santé mentale que les autres. Notre étude démontre que peu importe le type d’agressions et la fréquence de celles-ci, il n’y a rien de bénin, et ce, que ce soit chez les jeunes enfants ou les adolescents ».

En résumé, que ce soit des agressions verbales, physiques, avec ou sans « arme », aucun incident ne devrait être considéré comme faisant simplement partie de la relation entre frères et sœurs, et il faut en discuter sérieusement avec les enfants, peu importe leur âge.

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La pression sociale commence jeune

Une recherche présentée dans le numéro de mai/juin 2013 du magazine Child Development vient démontrer que le phénomène n’est pas déclenché à l’adolescence comme il était précédemment cru.

En fait, il a été découvert que les enfants sont touchés par la pression sociale dès l’âge de 9 ans. Il s’agirait de la première étude s’interrogeant sur l’impression des enfants du primaire vis-à-vis des évènements injustes ou non traditionnels.

Les résultats ont permis de mettre en lumière leurs visions sur les conflits de loyauté envers le groupe et l’équité.

« L’émergence de groupes de pairs dans le développement de l’école primaire aide les enfants en leur fournissant des amitiés positives, des relations et du soutien social », dit Melanie Killen, psychologue du développement à l’Université du Maryland.

« Les inconvénients comprennent, entre autres, l’influence excessive d’un groupe quand il impose des normes inéquitables, en particulier sur les étrangers ou des membres de “groupes extérieurs”, qui est souvent créée lorsque les pairs forment un groupe », ajoute-t-elle.

Il est cependant démontré que les enfants sont généralement en mesure de détecter l’injustice et l’égoïsme. Ils auront alors tendance à se ranger du côté des autres, qui sont plus justes et égalitaires.

Killen conclut en disant : « Les enfants savent que leurs groupes pourraient ne pas apprécier, mais ils savent qu’il peut y avoir des moments où se tenir debout devant de mauvaises décisions est la bonne chose à faire ».

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Comment convaincre son enfant de nettoyer sa chambre

Par exemple, Parenthood mentionne que pour des enfants âgés de 3 à 5 ans, il faut s’assurer de la simplicité du travail à effectuer. D’autre part, il est bien d’en faire un jeu. Mettez une chanson et faites la course pour mettre les jouets dans le coffre. Ou encore, dites-lui que son coffre est un crocodile affamé et qu’il faut le nourrir de jouets.

Un autre truc qui peut devenir essentiel, si vous souhaitez faire participer les plus jeunes, consiste à étiqueter tous les bacs de rangement avec un mot et une image. On combine alors l’apprentissage, le jeu et le ménage.

Dès les premières années du primaire, les enfants sont en mesure d’effectuer des tâches plus complexes. Vous pouvez donc intégrer le rangement des vêtements dans les tiroirs et même ceux accrochés sur les cintres. En plus, ils sont capables de faire leur lit seul.

Vers l’âge de 11 ans, ou avant si nécessaire, pensez à débarrasser la chambre des jouets inutilisés, vêtements, décoration, etc. Il faut renouveler la pièce, en faisant le tour avec son enfant, puis en choisissant ensemble ce qui sera relégué au grenier ou à la vente de garage.

Pour l’adolescent, sa chambre représente une extension de sa personnalité. Vous avez le choix de vous obstiner ou d’émettre des règles simples. Il apporte les vêtements sales dans la salle de lavage, puis ferme la porte si sa chambre est bordélique. Ne vous acharnez pas inutilement.

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Le TDAH peut se poursuivre jusqu’à l’âge adulte

The National Library of Medicine rapporte une étude qui suggère que le fameux TDAH, ou trouble du déficit de l’attention et d’hyperactivité, peut aussi se transposer dans la vie d’adulte.

On croit souvent que le trouble est plus juvénile ou adolescent, mais cette étude du Developmental Medicine Center, situé au Boston Children’s Hospital, révèle des statistiques étonnantes.

On apprend que les jeunes souffrant du TDAH sont nombreux à encore en ressentir les effets jusqu’à la fin de la vingtaine. En fait, c’est près de 30 % du groupe qui sera encore affligé par le trouble à l’âge de 27 ans.

Ces révélations, publiées dans l’édition du 4 avril du journal Pediatrics, permettent de mieux comprendre le développement du TDAH.

« Ceci démontre que le TDAH est une condition chronique sérieuse, qui n’est pas présentée adéquatement. C’est probablement une description plus exacte de ce qui se passe dans le vrai monde », lance le Dr William Barbaresi, qui commente sa propre étude.

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Les jeunes conviés à surveiller leur taux de cholestérol eux aussi

Les jeunes adultes et les adolescents devraient déjà commencer à surveiller leur taux de cholestérol dans le sang, propose une étude rapportée par www.nim.nih.gov.

Plutôt que d’attendre à plus tard, lorsque les problèmes surviennent, les chercheurs suggèrent aux plus jeunes de faire du dépistage à cet effet, ce qui n’est pas sans soulever la controverse parmi la communauté scientifique et le public.

Les conclusions, publiées dans le Journal of the American College of Cardiology, tendent à conclure que les mutations naturelles encourues lors du vieillissement normal du corps prendraient une tangente de bonne santé cardiaque lorsque le mauvais cholestérol dans le sang demeure bas toute sa vie.

On affirme que les risques de problèmes cardiovasculaires sont réduits de trois fois par rapport à ceux qu’encourent les gens sous médication pour contrôler le cholestérol.

Mieux vaut prévenir que guérir, donc, est une maxime qui ne s’est jamais aussi bien appliquée que pour cette situation.

Les maladies cardiaques demeurent la principale cause de mortalité à travers le monde et sont responsables du tiers des décès aux États-Unis seulement.

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Statistiques alarmantes de consommation chez les adolescents

La plus récente étude de l’Institut de la statistique du Québec concernant les habitudes de consommation diverses de nos adolescents renferme certaines statistiques alarmantes, rapporte radio-canada.ca.

D’abord, les chiffres sont toujours élevés en matière de surplus de poids, quoi que la courbe de progression, elle, ait ralenti.

La drogue, l’alcool et les produits du tabac sont toujours aussi prisés par la jeunesse québécoise, bien que l’on n’enregistre pas de hausse massive récente.

Il faut aussi noter qu’il s’agit de la première étude d’importance du genre dans le domaine, et qu’il est difficile de comparer avec des données précédentes, recueillies par d’autres méthodes. Ainsi, même si l’on semble constater que les courbes de progression sont stables, les chiffres n’en demeurent pas moins très élevés, surtout pour de jeunes humains encore en croissance.

En voici quelques-uns : 1 adolescent sur 5 présenterait des problèmes de poids (surplus), alors que la moitié (49 %) affirme ne pas être à l’aise avec son apparence corporelle.

En matière de consommation, l’alcool semble être le choix de prédilection du groupe visé, avec un taux de 60 % des répondants qui affirment avoir consommé de l’alcool au cours des 12 derniers mois.

La drogue fait partie de la vie du quart des répondants, qui avouent en avoir consommé dans l’année en cours. La marijuana est encore le choix numéro un des amateurs de stupéfiants dans nos écoles.

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Les boissons sans sucre sont-elles efficaces chez les jeunes?

Même si ça semble évident, le doute demeure toujours lorsqu’il est question des boissons dites « sans sucre ». La question se pose spécialement chez les jeunes, ces derniers étant friands des nombreuses boissons retrouvées sur le marché.

Une étude menée à l’hôpital pour enfants de Boston démontre que la prise de poids est moins sévère lorsque les jeunes consomment des boissons dépourvues de sucre. Il s’agirait donc d’une arme puissante dans la lutte à l’obésité, fléau grandissant en Amérique du Nord.

Selon ce que nous apprend santelog.com, l’étude a été conduite par Cara Ebbeling et David Ludwig, professeurs au New Balance Foundation Obesity Prevention Center. Ces derniers ont donc évalué les consommations de boissons sucrées de 224 adolescents, puis fait la corrélation avec la masse corporelle acquise durant cette période donnée.

La différence de poids acquis entre les consommateurs de boissons sucrées et non sucrées tournerait autour de deux kilos sur une période d’un an. Il s’agit là d’une différence substantielle.

Personne ne sera surpris d’apprendre que les boissons sucrées diverses ont le plus gros impact dans la nutrition des jeunes. On parle ici de 10 à 15 % de l’apport calorique total.

 C’est donc un changement drastique pour le corps que de passer au « sans sucre », surtout lorsqu’on pense que les jeunes nord-américains consomment jusqu’à 1,7 fois plus de liquides sucrés que leurs homologues français.

Il faut également rappeler que de saines habitudes de vie prises en bas âge constituent un avantage majeur tout au long de la vie d’adulte.