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Obésité chez l’enfant et l’adolescent : causes différentes, mais liées

Il s’agit des conclusions d’une étude menée auprès de 19 125 enfants de 1 à 17 ans, divisés en deux catégories, soit avant et après 9 ans. C’est à l’Université de la Caroline du Nord que les chercheurs ont procédé au sondage. Les résultats détaillés, selon santelog.com, se retrouvent dans l’édition du 10 septembre 2012 de la revue Pediatrics.

Avant l’âge de 9 ans, c’est la mauvaise alimentation ou le surplus de consommation de nourriture qui développe l’obésité. Par conséquent, ces enfants deviennent de moins en moins actifs physiquement.

Après 9 ans, la sédentarité étant déjà installée, même si les préadolescents et adolescents consomment moins de calories que leurs pairs, ils maintiennent ou accroissent leur obésité. Impossible, donc, de contrer le surplus de masse graisseuse accumulée au cours des années de la petite enfance et de l’enfance.

Il n’y a pas de multiples solutions, les parents doivent sans attendre porter une attention particulière à la consommation de nourriture de leurs jeunes enfants.

Justement, une étude ultérieure mentionnait qu’il faut éviter de forcer l’enfant s’il n’a pas faim. Qui plus est, ne laissez jamais un jeune enfant se cloîtrer et devenir inactif, car il en paiera le prix à l’adolescence, moment où il est le plus difficile de se priver de nourriture.

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Le cannabis affecte le QI

Une étude néo-zélandaise démontre que la consommation de cannabis à l’adolescence a des effets durables sur le cerveau, ce qui occasionne une détérioration des capacités intellectuelles.

Cette nouvelle étude a été réalisée sur une période de cinq ans auprès de 1037 enfants nés en 1972 et 1973. Elle vient d’être publiée dans les Actes de l’Académie américaine des sciences.

En réalisant des tests de QI réguliers auprès des cobayes, les chercheurs ont pu démontrer que ceux qui avaient consommé régulièrement du cannabis ont vu leur QI limité par rapport à ceux qui n’avaient jamais fumé.

Cette détérioration des capacités intellectuelles se manifeste entre autres par de plus faibles capacités de mémorisation, de concentration et de vivacité d’esprit.

Autre facteur important mis en évidence par l’étude, l’arrêt de la consommation ne restaure pas complètement les fonctions neuropsychologiques de ceux qui ont commencé à l’adolescence.

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Les livres pour enfants ont la cote

L’association des éditeurs américains a annoncé une augmentation importante des ventes de livres, toutes classes confondues, pour l’année 2011. Toutefois, ce sont les livres pour enfants et adolescents qui ont été les plus populaires entre janvier 2011 et janvier 2012.

Alors qu’en 2010, le Kids & Family Reading Report, publié tous les deux ans par les Éditions Scholastic, inquiétait les parents en disant que les appareils technologiques nuisaient à l’intérêt des jeunes pour la lecture, l’énoncé semble vouloir se démentir.

En effet, la hausse la plus remarquable notée par l’association des éditeurs américains concerne les livres pour enfants et adolescents en format numérique : 457,1 % de hausse pour les ventes de livres numériques sur l’année 2011. Quant aux ouvrages papier, une augmentation de 61,9 % pour les livres brochés et 68,9 % pour les livres reliés a été constatée.

Au total, le secteur des livres pour enfants et adolescents a connu une croissance de 80,5 % par rapport à 2010, si l’on se fie aux chiffres basés sur un rapport publié tous les mois qui considère les ventes de 1149 éditeurs.

En 2010, le rapport de Kids & Family Reading Report avait révélé que son sondage, effectué auprès de 1045 écoliers âgés de 6 à 17 ans et leurs parents, avait permis de conclure que 56 % des enfants de 6 à 8 ans lisaient fréquemment, comparativement à seulement 24 % des adolescents de 15 à 17 ans.

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Mère dépressive, jeune dépressif?

Il ne s’agit pas là d’une question héréditaire ou biologique, mais plutôt de traumatismes.

L’équipe du Pr Ian Colman de l’Université d’Ottawa a démontré, par le biais d’une étude longitudinale publiée dans la revue PLoS, qui s’est étendue de la naissance à l’adolescence pour 937 enfants canadiens, que la dépression chez la mère pouvait provoquer divers traumatismes chez ses enfants.

En effet, la dépression, qui touche environ une femme sur 8, peut conduire un enfant de 2 à 5 ans à ressentir un sentiment de perte lorsque sa mère, principale fournisseuse de soins, devient dépressive, mentionne Radio-Canada.

Déjà très tôt, le développement cognitif et social du jeune peut gravement écoper de la dépression maternelle et des périodes d’absence de la mère. Cela peut avoir des effets troublants, quelques années plus tard, sur la santé mentale de l’enfant.

Selon des données de l’Institut Douglas, les taux de dépression clinique sont peu élevés dans l’enfance et au début de l’adolescence, mais ils augmentent de façon importante à la fin de l’adolescence (environ 17 %), et ce, surtout pour les filles, même si le suicide chez les jeunes touche de plus en plus les garçons.

Le site dépressionnerveuse.fr a établi que les critères qui pouvaient conduire une femme à la dépression sont la grossesse, le syndrome prémenstruel, la puberté, la dépression post-partum, la ménopause, la pauvreté, des sévices physiques ou sexuels, une relation amoureuse difficile, de lourdes responsabilités, l’accumulation de tension et la sensibilité au stress.

Il y a environ deux fois plus de femmes que d’hommes parmi les dépressifs.

Le Professeur Colman rappelle qu’il est important pour les mères d’aller chercher de l’aide afin d’éviter que la dépression ne s’aggrave et pour faire en sorte de cerner le problème chez le jeune rapidement.

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Pipi au lit : la constipation est souvent la coupable

Selon une étude du Wake Forest Baptist Medical Center, si la constipation n’est pas diagnostiquée, les enfants et leurs parents doivent supporter une quête inutilement longue, coûteuse et difficile à guérir.

« Avoir trop de selles dans le rectum réduit la capacité de la vessie », a déclaré l’auteur principal de l’étude, Steve J. Hodges, professeur adjoint d’urologie au centre.

30 enfants et adolescents qui cherchaient un traitement pour l’énurésie ont été examinés par les chercheurs avec des rayons X. Tous avaient de grandes quantités de selles dans le rectum, plus que la majorité des autres jeunes ayant des habitudes intestinales normales.

En trois mois, grâce à un traitement laxatif, 25 des 30 enfants (83 %) ont été guéris de l’énurésie nocturne.

Selon les spécialistes, l’un des problèmes majeurs est que les enfants ne sont souvent pas capables de décrire ou de cerner des habitudes intestinales compatibles avec la constipation (selles non quotidiennes et consistance dure).

Les chercheurs avertissent que tout traitement médical pour l’énurésie doit être supervisé par un médecin.

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L’obésité chez les ados a un lien avec la qualité de la relation mère-enfant

La baisse de la qualité de la relation en terme de sécurité affective de l’enfant et de sensibilité de la mère augmenterait le risque qu’un enfant soit obèse à l’âge de 15 ans, selon l’étude publiée dans le numéro de janvier de la revue Pediatrics.

Parmi ces bambins qui avaient de mauvaises relations avec leur mère, plus d’un quart étaient obèses à l’adolescence, par rapport à 13 % de ceux qui avaient des liens plus étroits avec leur mère pendant l’enfance, indique la recherche.

« Il est possible que l’obésité infantile puisse être réduite par des interventions qui améliorent les liens affectifs entre les mères et leurs enfants plutôt que de se concentrer uniquement sur l’apport alimentaire des enfants et l’activité physique », a déclaré Sarah Anderson, professeure adjointe d’épidémiologie à l’Ohio State Universityet auteure principale de l’étude.

Le lien entre la mère et son enfant peut être influencé par certains facteurs qu’elle ne peut pas nécessairement contrôler. « Nous devons réfléchir à la bonne façon de soutenir une meilleure qualité des relations mère-enfant parce que cela pourrait avoir un impact sur la santé des enfants », a souligné Sarah Anderson.

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Boire du lait : une saine habitude à prendre

L’American Journal of Clinical Nutrition rapporte que les jeunes qui boivent du lait seront non seulement plus susceptibles d’en boire encore une fois adulte, mais ils verront leurs risques de diabète de type 2 réduits.

Selon une recherche menée à la Harvard University qui a suivi les habitudes de consommations du lait chez 37 000 femmes, celles qui en buvaient à l’adolescence au moins 4 portions par jour continuaient leur saine habitude une fois adulte. Ces femmes avaient aussi 43 % moins de risques de développer le diabète de type 2.

De plus, les personnes qui étaient des adeptes du lait conservaient aussi les autres bonnes habitudes plus longtemps et gagnaient moins de poids que celles qui ne buvaient pas de lait. En moyenne, il y avait quatre kilos de différence entre les deux groupes.

Le lait est également une bonne source de protéines, ce qui n’est pas négligeable, également.</p

 

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La boxe est à éviter pour les enfants

On lit dans Pediatrics une nouvelle mesure de l’American Academy of Pediatrics quant à la boxe chez les plus jeunes. Nous y retenons que ce sport ne devrait pas être pratiqué par des enfants, car il comporte de trop nombreux dangers.

La raison en est que le but premier de la boxe est de donner des coups à la tête, donc d’y porter un choc. Mais le cerveau d’un enfant est beaucoup plus vulnérable aux commotions cérébrales que celui d’un adulte.

De plus, une blessure à la tête chez un enfant prend beaucoup plus de temps à guérir que chez un adulte. Donc, si les risques de blessures à la tête et au visage sont élevés pour les amateurs de boxe – d’où le casque de protection –, ils le sont d’autant plus pour un enfant.

La boxe semble pourtant gagner en popularité. Depuis les années 90, le nombre de blessures liées à ce sport a considérablement augmenté.</p

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Les coups de chaleur touchent beaucoup les enfants

On apprend sur UPI.com que de nombreuses personnes sont incommodées par la chaleur en pratiquant un sport ou une activité récréative, au point de se rendre à l’hôpital.
 
Chaque année, selon les chiffres obtenus par des autorités de la santé américaine, près de 6 000 personnes entrent aux urgences dans ces conditions aux États-Unis.
 
De plus, les Centers for Disease Control and Prevention’s Morbidity and Mortality Weekly Report ajoutent qu’il s’agit la plupart du temps d’enfants et d’adolescents. Ces derniers représentent les trois quarts des cas.
 
Les deux activités sportives menant le plus souvent, parmi toutes, aux urgences, sont le football et l’exercice physique. On recommande donc, encore une fois, de suivre les règles de base de prévention.
 
Ainsi, lors de la pratique d’un sport ou de toute autre activité récréative durant la saison estivale, on prévoit plusieurs pauses et l’on voit à boire beaucoup de liquide pour demeurer hydraté.
 
De plus, on suggère fortement de réduire, voire d’éviter l’activité physique lors des journées particulièrement chaudes et humides.
 
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Décrypter les livres pour enfants

Une nouvelle étude présentée par l’Université des Pays Basques donne une toute nouvelle lumière sur la façon dont se transmettent des principes éthiques dans la littérature destinée aux enfants et aux adolescents, apprenons-nous sur Medical News Today.

Car sachons-le : rien n’est laissé au hasard dans ce type de littérature. Tout dans ces livres sert à transmettre des valeurs et une morale, que ce soit les actions ou les personnages. Grâce à la lecture, l’enfant peut ainsi améliorer ses aptitudes de raisonnement et de pensée critique.

Or, selon la thèse de ladite étude, l’imagination éthique ne peut jamais rejoindre celle qui relève de la littérarité, dans les livres pour enfants. La réalité y étant toujours présentée de façon simplifiée, la vraisemblance éthique s’en trouve aussi limitée.

C’est pourquoi on remarque souvent un manque de concordance entre les sentiments réellement impliqués dans un moment de l’histoire et ceux qui sont racontés.

L’une des plus grandes conclusions de cette analyse est donc que « l’imagination éthique n’est jamais à la hauteur de l’imagination littéraire. »